Le Début D'une Belle Aventure Avec Richy Plume-RAM

Je réponds au nom de Marck MENSAH, un jeune homme d'affaire âgé de 3Oans. Mon histoire à commencé lorsque j'ai eu mes 28ans. Tout d'abord nos parents avaient pris beaucoup d'années avant d'avoir des enfants, donc pour eux surtout pour ma mère, ils vieillissent et ils sont pressés de voir leurs petits enfants. 

Le puîné d'une famille riche que je suis, dans laquelle nous sommes 4. Ma grande soeur Vanessa qui est la fille aînée et mes deux autres frère et soeur ( Felix et Justine). Nos parents sont prêts à tout pour nous et tout allait super bien. Après l'obtention de ma maîtrise en marketing, j'avais fait mon adhésion dans l'affaire comme mon père. Grâce aux conseils précieuses que mon père me donnait, je faisait que des exploits dans l'entreprise de ce dernier jusqu'à ce qu'il a décidé de m'envoyer le représenter dans ses affaires dans certains pays. 

Mais avec mon âge, sans avoir une femme, une fiancée ou même pas petite amie,ma mère a commencé à mettre des choses dans la tête de mon père et ce dernier aussi commençait à me mettre la pression pour que je me marie. Moi en ce temps, les relations amoureuses et autres n'étaient pas trop mon souci. Alors je consacrait juste mon temps à mon travail et rien d'autre. C'est pas que je m'étais jamais lancé dans une relation, au contraire, j'avais eu des relations au moins avec deux différentes filles. Mais avec le temps j'ai réalisé que ces dernières s'intéressaient juste à mon argent et rien de plus. Alors j'ai mis de coté cette affaire de relation amoureuse pour construire mon avenir. C'est pas parce que mes parents sont tous des hommes d'affaires et qu'ils sont capables à satisfaire mes besoins que je serai dépendant d'eux toute ma vie. 

J'ai deux amis Érick et Richy, Les amis les plus fou que j'ai jamais eu dans ma vie. Éric est un ami d'enfance et qui gère son propre restaurant. Quant-à Richy, lui, je l'ai rencontré dans une boîte lors d'une réunion et ce dernier est un mec super cool que les meufs adorent. Car ce dernier a la romance qui coule dans ses veines et la femme est si précieuse pour elle, on eut dit qu'il considère la femme comme une déesse sur la terre ce qui fait de lui un homme cool.

Richy a déjà une petite amie et Erick s'est déjà marié. Ce dernier me conseillait chaque fois qu'il me voit de me marier, contrairement à Richy qui me disait de prendre mon temps pour ne pas regretter après. Mes parents n'arrêtaient pas de me chanter la même chanson qui est : *‹‹‹ Mon fils ont veut faire la connaissance de ta petite amie ou de ta fiancée. Nous voulons voir nos petits enfants avant de quitter ce monde des vivants. ›››*

Il fut un jour, j'étais au salon assis dans le sofa, mes yeux braqués dans mon ordinateur lorsque ma mère qui voulait sortir avec mon père décida de me chanter encore une fois la même chanson avant de me fausser compagnie. 

— Bonjour mon garçon, comment vas-tu ce matin? 

— Bonjour ma maman chérie, je vais super bien et vous ? 

— Je rend grâce à Dieu, dit moi tu veux pas aller quelque part aujourd'hui ? 

— Non mère, nul part, nous sommes en week-end donc....

— Si je comprends bien tu n'iras nul part et tu vas juste rester à la maison c'est ça ? 

— Mais oui maman y a-t-il un problème à cela? 

— Mais Marck comment vas-tu trouver une bonne femme si tu ne sors pas de la maison les week-ends pour te distraire en compagnie de tes amis. Celui ou celle qui cherche vraiment ne reste pas tranquille. Tu as quoi au juste mon garçon ? Tout temps c'est ton ordinateur, on dirait qu'il est devenu ta femme ou je ne sais quoi. 

— Maman, s'il vous plaît ne recommencez pas encore ce matin. Nous avions déjà discuté de tout ça  hier soir. Il y a un temps pour chaque chose ce que vous me disiez avant. Maintenant pourquoi vous n'arrêtez pas de me mettre la pression en sachant très bien qu'il a un temps pour chaque chose ? Maman je ne vous comprends plus. 

— Tu dois me comprendre parce qu'il est temps maintenant pour toi d'avoir une femme, Temps pour que tu ais ta propre maison avec ta propre famille. 

— Mais maman j'ai juste 28ans. 

— Quoi ? Pour toi 28 ans est juste ? Tu auras 50 ans avant de savoir que tu es âgé ? Dans quelques jours tu auras 29ans et 30 ans en une année et tu me dis que tu as juste 28ans. 

— OK OK , maman j'ai compris. 

— Tu as compris quoi ? 

— Tout ce que vous venez de dire. 

— Mon garçon c'est pour ton bien, les gens commencent à penser que tu es un gay et ils ont raison. Sinon comment un bel homme comme toi peut exister sans une reine digne du nom à ses côtés? 

— C'est compris maman je ferai de mon mieux. Vous allez où comme ça papa et toi? 

— Tu as déjà oublié ? 

— Oh c'est pour amener la nouvelle domestique. 

— Oui comme Tacha veut se marier, elle ne pourra plus travailler ici comme domestique. Son mari veut l'amener dans son pays. 

— OK c'est cool ça,  Mais n'oubliez pas de chercher une fille propre et respectueuse comme elle. 

— Ne t'inquiète pas mon chéri, en parlant de toutes ces qualités que Tacha a, pourquoi tu l'as pas demandé en mariage? Parce que je sais que tu l'aimes bien . 

— Maman!!!!! Bonne journée à vous papa vous attend dehors. 

— Ton père est toujours à l'étage. 

—Mon père :  Bon nous pouvons partir. Dit mon père. 

Lorsque j'avais entendu la voix de mon père je m'étais dit que le bon Dieu a enfin écouté ma prière. Ma mère....oh non.. Mon père et moi avions échangé quelques mots et ils étaient parti. Je me sentais enfin en paix et j'avais continué ce que je faisais lorsque mon portable commençait à sonner. J'avais pris et c'était Érick. 

— Allô !!! Mon frère comment vas-tu ? 

— Super cool bro, on dit quoi de beau ? Ne me dit pas que tu es encore occupé ce week-end hein? 

— Pourquoi dis tu ça ? 

— Parce que c'est ta chanson de toujours et on dirait même que tu n'as plus autre chose à faire à part le travail. 

— Bon dit moi y a-t-il quelque chose ? 

— Oui un plan piscine accompagné d'un barbecue. 

— OK cool à quel heure ? 

— Déjà à 12h nous allons quitter la maison, j'ai déjà informé Richy et il a approuvé mon idée. 

— Ok cool. 

— Vraiment ? 

— Oui je serai du partie, Vous viendrez à la maison et nous irons ensemble. 

— OK cool nous allons passer un moment cool entre pote. 

— Je pense bien aussi mon frère, bon on se dit à tout à l'heure. 

— Oui mon grand. 

Érick avait raccroché l'appel, j'avais terminé avec ce que je faisais et après je montai dans ma chambre. Je commençai à me demander ce que j'allais porter comme habit, parce que je m'étais habitué aux costumes. Bon j'ai décidé de m'habiller simple pour ne pas dire trop chic. 

Je suis déjà prêt et j'attendais mes amis au salon. J'étais là lorsqu'ils avaient débarqué dans ma maison. Érick était avec sa femme et Richy en compagnie de sa petite amie, une petite amie qu'il aime plus que tout au monde. On eût même dit qu'il est fou et envoûté par cette femme. Ils étaient entré dans la salon et déjà Érick avait pris la parole. 

—Érick :  Waouh mon grand toujours stylé...!!!

— S'il te plaît Érick ne recommence pas avec tes taquineries, Toi même tu sais que c'est dans le sang. Mais en parlant de style, que diras-tu de Richy et de sa petite amie? 

—Richy :  Oh les mecs s'ils vous plaît, ne me mettent pas dans votre affaire de style. 

—Érick : Ah ha ha !!!!!! 

Nous commençâmes à rigoler, les deux déesses de mes amis étaient là et nous regardaient. J'avais enfin prise la parole concernant la sortie. 

— Bon les amis on dit quoi ? Parce que moi j'ai pris déjà certains liqueurs avec moi et aussi de la bières, si je me trompe pas quelques biscuits et sucreries. 

—Érick :  Cool c'est déjà bon, on dirait que Richy et toi vous êtes toujours au top. Bon moi je vais me charger du reste. Et ton frère ? 

— N'oublie pas qu'ils préparent leurs examens. C'est pas parce que toi tu gâtes tes frères et soeurs que moi aussi je ferai de même. 

—Érick :  Mais j'ai dit quoi maintenant ? Mon frère toi aussi. 

— Je sais que tu voulais l'inviter, malheureusement pour toi. Maintenant nous pouvons partir ? 

—Richy : Oui mon grand.

—Érick : Attendez une question.

— Oui quoi encore Érick ? 

—Érick :  Marck ne me dit pas que tu veux rester seul là-bas hein. 

— Y a-t-il un problème dans le fait que je sois seul là-bas ? 

—Érick : Mon frère toi aussi avec toutes ces meufs qui tournent autour de toi? 

—Richy : Éric mais laisse le respirer un peu avec cette affaire de meuf. 

— Merci beaucoup Richy, ils veulent ma mort concernant cette affaire. 

Nous sortîmes de la maison, Richy était monté dans sa voiture avec sa petite amie et Éric et sa femme étaient monté dans la mienne. c'était vraiment cool, surtout si nous nous retrouvons ensemble. 

Après avoir passé des heures sur la route entrain de chercher un endroit le plus cool, nous arrivâmes à un endroit digne de son nom. Nous avions coupé les moteurs de nos véhicules et fîmes notre entrées.

Nous avions commencé à passer une moment vraiment cool, une fois dans la piscine nous faisions que nous taquiner. Érick et Richy faisaient pleins de choses avec leurs princesses mais moi j'ai que moi même et ma solitude. J'avais décidé de les fausser compagnie et je suis sorti de la piscine. 

Je prenait ma bière hors de la piscine et les regardait de loin, Érick et Richy aussi avaient laissé leurs princesses et vinrent me rejoindre. De loin Érick faisait que me taquiner et ils étaient venus près de moi. 

— Érick tu peux au moins fermer un peu ta bouche ? Ou bien tu as un souci avec moi ? 

—Érick :  Non mon frère le truc est que je ne te comprends pas du tout, Comment un chic homme comme toi n'a pas une princesse dans son royaume d'amour. Tu peux au moins nous dire ce qui t'empêche? Tu vas penser que je me moque de toi ou que je t'embête alors que c'est pas le cas, ça me fait mal de te voir solo comme ça. Tu dois aussi goûter à ces bonnes choses mon frère, voir une femme gémir entre tes jambes. 

—Richy : Erick tu veux dire quoi par là? Que Marck n'a jamais touché une femme dans sa vie ? Qu'il est encore chaste? 

—Érick : Oh que oui c'est bien ça, Richy il n'a jamais eu de rapport sexuel avec une meuf. 

—Richy : Marck, Éric est sérieux avec ce qu'il dit ? 

— Les gars c'est pas de ma faute, le truc est que je ne drague pas une fille à cause de son sexe. Mais d'aimer cette dernière et de construire ma vie avec cette dernière. Je sais que une fois que nous serons ensemble, nous allons eu le rapport sexuel, ça c'est forcé. Mais après mes analyses avec mes deux ex petites amies, elles avaient acceptées d'être avec moi à cause de ma situation financière et rien d'autre juste à cause de luxe. 

—Richy :  Oh je comprends maintenant, donc tu n'as pas eu le temps de commettre l'irréparable avec aucune d'elles? 

— C'est bien ça, comment coucher avec une fille que tu vois qu'elle ne veut pas de toi dans sa vie comme toi tu la veut dans ton monde d'amour ? Pour moi coucher avec ces dernières c'est commettre un péché. 

—Érick : Mon frère Tu parles de quel péché ? Elles bouffent pas ton argent ? C'est rapidement faire même. Si j'étais toi, je vais les baiser comme un fou, je vais les faire l'amour comme si elle étaient des esclaves de sexe. 

—Richy : Mon frère toi aussi, comme des esclaves de sexe ? Non non j'aime pas ce côté de ta phrase. C'est vrai que si moi aussi j'étais à sa place j'allais tout faire pour avoir ces filles, je vais forcément les avoir dans mon lit. Mais les baiser comme toi tu dis là, c'est pas cool. Si elles me prennent comme un simple financeur et elles m'aiment juste à cause de mon argent, moi aussi je vais les aimer juste à cause de leurs sexes et elles seront juste comme mes femmes de plaisir et rien d'autre. La vie c'est  donnant-donnant dit-on. 

— Mes amis, le truc est que je vais pas dire qu'à cause de mon argent qu'elles ont bouffée, ce sera à cause de ça que je vais les baiser. Et si c'était que j'avais perdu l'argent ? 

—Richy : Mon frère tu as vraiment raison et je te comprends, moi aussi malgré les relation amoureuses que j'ai eu, c'est-à-dire les aventures sans lendemain que j'ai eu dans mon passé, mon idée n'est pas de me lancer dans ce monde de plaisir sexuel. Je sortais pas avec les filles à cause de leur sexes, mais plus tôt pour vivre ma vie avec cette dernière et pour l'aimer toute ma vie, Faire tout pour la mettre au rang des reines. Vous me comprenez j'espère ? J'ai vécu avec ma mère et je connais presque toutes les souffrances d'une femme. Donc pour moi, abuser d'une femme, c'est commettre un péché contre la nature et tout ce qui va avec. À cause des destructions que mon coeur a subi, j'ai pris des années pour le reconstruire et je m'étais même dit que j'avais pas la chance en amour et que le monde de relation avec lendemain ne m'appartenait pas. Mais je me trompais, car je partage à présent mon royaume d'amour avec une reine qui m'aime de tout son coeur, une reine qui n'est pas comme les autres meufs qui profitaient juste de moi, mon argent et autres. 

— Mon frère tu as tout dit, Ce qui est bizarre est que le monde est devenu bizarre et étrange. Avant c'est-à-dire au temps de nos parents, nos ancêtres, avant de voir la nudité d'une femme, c'est pas la joie et même c'est difficilement qu'une femme laisse un homme découvrir son corps et même coucher avec elle. Mais maintenant de nos jours, les filles sont devenue, les machines de sexes et ce qui est encore bizarre c'est plus les garçon qui demandent le sexe mais les filles. De nos jours, le sexe n'est plus un sujet tabou. Avant une fille te quitte si tu lui demande chaque fois le sexe, mais maintenant une fille te quitte parce que tu lui fais pas l'amour. Il y a même d'autres qui te disent qu'elles sont vierge alors que c'est pas ce qu'on dit. D'autres prennent même des cours entre copines concernant le sexe. 

—Richy : Mon frère le monde est brisé concernant ce sujet, il n'y a plus et il en aura plus de sujet tabou concernant le sexe. Les réseaux sociaux, w******p, f******k et consorts ont déjà tout gâté.

—Érick : Je vous comprends les amis, mais Marck tu veux rien comprendre toi, les filles  ont jouée avec toi et tu dois les rendre la monnaie de leurs pièces.

— Bon oublions cette affaire. 

—Érick : OK cool comme tu veux, mais fait de ton possible pour avoir une petite amie, tu dois goûter à cette vie mon frère. Les filles de nos jours sont vraiment de ouff, sans te mentir moi personnellement je ne peux pas laisser ma femme pour rien au monde. Elle me procure le plaisir en abondance, surtout lorsqu'elle

prend ma bite dans la bouche je n'arrive pas à supporter. Elle prend bien soin de ça et on dirait que sa vie en dépendait. Elle vraiment superbe au lit, avec des positions pas possible. La position que j'adore le plus c'est levrette et imaginé avec ses belles et rondes fesses. Elle me tue avec des twerks, c'est pas la joie mon frère. Toi tu seras là avec ton âge sans goûter à ces plaisirs. Tu vois toutes ces belles nanas....

—Richy : Érick tu sais que tu es mauvais? On sait que tu es un professionnel avant d'avoir rencontré ta femme et que cette dernière te procure le plaisir, mais c'est bon OK ? 

Je ne savais même pas ce que j'allais dire à Érick parce qu'il faisait tout pour me pousser à draguer une meuf comme il avait vu qu'ils y avaient pleins de belles femmes là où nous étions. Mais ce qu'il oubliait, est que moi je ne suis pas comme lui, à qui on parle de ces choses et il commence à avoir envie de faire l'amour. 

Nous avions passé un bon moment ensemble et déjà vers 2Oh comme ça, j'étais déjà chez moi. Mes parents étaient du retour, ma mère était dans sa chambre et mon père suivait le journal à la télé. J'avais salué mon père et décide de prendre de l'eau frais dans la cuisine lorsque je suis tombé sur une déesse de beauté. Une beauté qui n'a pas son nom sur la terre des immortelle, elle est vraiment belle  avec une forme Coca-Cola. J'avais perdu la vue, c'était comme si elle m'avait flashé. Elle cuisinait et me faisait dos, alors elle m'avait pas aperçu. C'était après avoir ouvert le frigo qu'elle s'était retourné pour voir et là, sans vous mentir j'étais tombé sous le charme. Elle avait immédiatement emprisonnée mon coeur avec son visage qui fera sourire un bébé en pleur pendant des années. Elle s'était rabaissée pour me saluer.

— Bonsoir monsieur. 

— Bonsoir comment vous allez ? 

— Je vais bien monsieur. 

— D'accord mais s'il vous plaît, c'est vous la....

— Oui c'est moi la nouvelle domestique de madame. 

— Vraiment ? 

— Oui monsieur. 

— OK moi c'est cool j'espère que je peux vous tutoyer ? 

— Oui monsieur ça me gêne en rien, vous êtes aussi mon boss après tout. 

— Non non, il n'y a rien de boss ici, tu me tutoies et je te tutoie c'est simple. Moi c'est Marck et toi ? 

— Je m'appelle Bella. 

— Bella!!! Un joli prénom, c'est cool ça. Bon je viens juste de rentrer à la maison c'est pour ça que j'étais surpris de voir une déesse de beauté comme toi dans ma cuisine. Je comprends maintenant pourquoi toute la cuisine fait que briller. 

— Oh je suis flattée monsieur, merci beaucoup pour le compliment. 

— Non je dis juste la vérité, Bon je te fausse compagnie. 

J'avais faussé compagnie à Bella, belle comme son prénom le dit. Je voulais sortir de la cuisine lorsque je croise ma mère qui voulait entrer dans la cuisine.

— Bonsoir ma maman chérie !!!

— Bonsoir mon garçon tu es parti où ? Parce que je t'ai pas vue lorsque nous étions rentré à la maison. 

— J'étais sorti avec mes amis. 

— Oh Dieu merci, j'espère que tu t'es bien amusé ? 

— Oui oui on peut dire ça. 

— Tu as déjà fait la connaissance de Bella? 

— Oui oui et elle est vraiment gentille. 

— Et belle aussi, vient pour que je te la présente mieux.

— Mais maman la personne est entrain de cuisinier. 

— Ça gêne pas mon chéri. 

J'étais obligé de suivre ma mère à nouveau dans la cuisine. Tout d'abord je faisais juste l'hypocrisie car j'avais bien envie de retourner dans la cuisine pour contempler encore et encore cette beauté qui m'envoyait aux anges. Nous entrâmes dans la cuisine et ma mère commença avec ses présentations. 

— Bella lui c'est mon garçon aîné, il s'appelle Marck MENSAH, il est un homme d'affaire comme son père et aussi un célibataire tout comme toi. 

— Maman célibataire ? 

— Oui oui 

— Un grand homme comme lui ? Monsieur Marck maman ne dit pas la vérité n'est-ce-pas ? 

— Bella n'écoute pas tout ce que ma mère te dit, elle aime trop me taquiner. Bon je vous laisse.

J'avais faussé compagnie à ma mère et Bella et monta dans ma chambre. Ma mère commençai à causer avec Bella. 

— M'a fille je suis vraiment sérieuse, il est célibataire et à cause des déceptions qu'il a eu dans sa vie, il a décidé de se renfermer sur lui-même. Donc si possible ne cède pas la place à une autre parce que j'ai appris que tu es une bonne fille et que tu seras une bonne femme. 

— Maman!!!

— Oui oui et je suisuis sérieuse, bon je te fausse compagnie. 

Ma mère avait faussé compagnie à Bella et vint rester au salon en compagnie de mes frère et sœur. 

Une fois dans ma chambre, j'avais du mal à me lever pour prendre une douche parce que je faisait que me demander si je rêvais pas par hasard concernant cette beauté qui se trouve dans ma maison…

J'avais pris ma douche et je m'habillais lorsque quelqu'un était venu frapper à ma porte. Moi qui pensait que c'était ma soeur Justine, j'avais demandé à la personne d'entrer, ce qu'elle avait fait et par ma grande surprise c'était Bella. Oui la nouvelle déesse de beauté de ma maison. Je ne sais pas comment vous expliquer, mais il suffisait juste que je pose mes yeux sur cette femme et mon coeur commence à battre très fort.

Moi : Bella c'est toi ? 

Bella : Oui c'est maman qui m'a envoyée vous dire que la table est déjà prête. 

— OK je vois, dit lui que je vais descendre tout de suite. Je vais profiter pour voir comment la déesse de beauté aussi cuisine. 

— La déesse de beauté ? Je ne comprends pas c'est moi qui a fait la cuisine hein. 

— Je sais très bien que c'est toi, et je parlais de qui selon toi? Je parle bien toi, sais-tu pas que tu es une déesse de beauté? 

Bella avait commencé à rigoler en gardant sa bouche, on dirait que je l'ai flatté. Elle avait fini de rigoler et prit la parole. 

— Monsieur Marck moi une déesse de beauté ? C'est trop pour moi, mais merci beaucoup quand même pour le compliment. J'espère bien aussi que vous allez aimer ce que j'ai préparée.

— J'en ai aucune doute sur ça et ce sera une plus que tu auras si tu es un cordon-bleu.  

— J'ai hâte de vous voir goûter mon plat alors. 

— Bon , comme je suis prêt on peut rejoindre la famille à table. La déesse de beauté d'abord...

Bella avait souri en me devançant, j'avais mes yeux sur son derrière et c'était pas la joie, mon corps prenait de tension. Ses fesses sont vraiment rondelles et en les fixant de loin on peut sentir que quelles sont dure. Sans vous mentir elle est une bombe, elle a tous ceux dont une femme peut avoir pour envoyer un homme au paradis sans passer par la voie de la mort. Elle est tout simplement canon, Nous étions enfin au salon, j'avais remarqué que ma mère avait ses yeux sur moi et on dirait qu'elle me surveillait. Je savais pas trop le pourquoi, Bella était retourné dans la cuisine. 

Moi : Bon nous pouvons passer à table,j'ai vraiment la dalle. 

Ma mère : N'oublie pas que c'est toi nous attendons. 

Nous sommes passé à table, Bella était venue nous servir et je n'arrivais pas à m'empêcher de la regarder. Elle avait fini et vint s'asseoir devant moi, directement j'ai su que c'est les instructions de ma mère. Elle veut pas me coller la paix on dirait, Mais moi je aussi j'étais prêt à me lancer dans le jeux parce que je n'arrivais plus à supporter ce que cette Bella réveillait en moi. 

Oui c'est comme ça dans ma famille, une domestique n'est pas considéré comme une domestique, mais comme un membre de la famille. Donc elle a le plein droit de manger avec nous à table. J'avais cessé de regarder Bella et j'avais plongé mes yeux dans mon assiette. Parce que je n'arriverai pas à manger si j'ai mes yeux sur elle, ses beaux seins au forme de pomme me flashaient les yeux et je n'arriverai pas à me contrôler. Cette Bella voulait ma mort on dirait avec sa beauté. 

Nous finîmes de nous régaler, Bella avait commencé à débarrasser la table et j'étais monté dans ma chambre. J'étais tellement embrouillé que j'avais même oublié de dire à Bella que son repas était vraiment circulant, oui elle sait vraiment cuisiner. 

Une fois dans ma chambre, je commençai à me poser beaucoup de question, mais rapidement j'avais repris mon esprit, c'est pas parce qu'elle avait une beauté et une forme remarquable qu'elle a déjà tout pour être une bonne femme. Alors j'ai décidé de vérifier si cette dernière a aussi les autres bonnes qualités qu'une bonne femme doit avoir.

Le lendemain....( DIMANCHE)

J'étais prêt pour me rendre à l'église, mes parents ainsi que mes frère et sœur étaient déjà parti très tôt le matin et moi j'ai décidé d'aller pour 10h. Une fois au salon, j'avais eu l'envie de prendre de l'eau fraîche, on peut dire que ceux sont mes yeux qui veulent voir la déesse de beauté une fois avant de partir. J'avais fait mon entrée dans la cuisine, Bella ne s'y trouvait pas. J'avais fini de prendre l'eau et je voulais sortir de la cuisine lorsque j'ai croisé Bella qui veut entrer dans la cuisine en nattant ses cheveux. 

—Bella : Bonjour monsieur Marck

— Bonjour Bella comment vas-tu ce beau matin ? 

—Bella : Je vais bien, sauf que je suis un peu fâchée contre vous, parce que vous ne m'avez rien dit concernant mon repas avant de monter dans votre chambre hier nuit. 

—Moi : Oh je vois, mais en me voyant déguster ton plat hier tu peux déjà avoir la réponse. Mais bon, pour te dire vrai, le repas était vraiment circulant, je pensais que j'allais te trouver dans la cuisine pour prendre un peu avant de partir mais bon...

—Bella : Monsieur êtes vous sûr de ce que vous dites ou bien c'est tout juste pour me flatter comme hier?

—Moi : Je suis sérieux, bon dit tu ne vas pas à l'église?

—Bella : Oui monsieur, je m'apprête même déjà pour partir.

—Bella : Peux-tu cesser de m'appeler monsieur chaque fois ? Appelle moi juste par mon prénom et c'est tout. Bon dit moi tu prendras de taxi c'est ça ? 

—Bella : Oui.

—Moi : Es-tu déjà prête pour qu'on parte 

ensemble ? 

—Bella : Tu es sérieux ? 

—Moi : Oui oui.

—Bella : Ok donne moi juste deux minutes. 

—Moi : Pas de problème je serai entrain de faire sortir la voiture du garage. 

—Bella : D'accord monsieur. 

—Moi : Pardon ? 

—Bella : Oh désolée, Marck. 

—Moi : T'inquiète pas, mais je serai pas d'accord avec toi si tu m'appelles encore monsieur. 

—Bella : C'est compris !!!

En faussant compagnie à Bella, j'avais faire sortir ma voiture et Bella était venue me rejoindre. J'avais du mal à croire que cette femme vient du village, sinon avec son style et la façon dont elle se maquille ne ressemblait pas du tout à celle d'une villageoise. Nous étions monté dans la voiture et direction l'église.

Nous étions enfin arrivé à l'église et en me voyant à côté d'elle des yeux qui me sont un peu familier étaient braqués sur nous. Oui ils étaient surpris de me voir en compagnie d'une déesse de beauté, une beauté qu'ils n'ont jamais vu de toute leur vie. Ha ha ha !!! J'exagère ou bien? Mais non c'était bien une vérité absolue. Nous avions prise place et le culte avait commencé, Bella était à côté de moi et je me sentais vraiment à l'aise oui j'étais fier d'avoir une beauté incontournable à mes côtés.

Plus tard...

Le culte avait pris fin et nous voulions nous mettre en route pour nous rendre à la maison lorsque une idée était venue dans ma tête. Nous étions déjà à l'intérieur de la voiture et j'avais prise la parole.

—Moi : Bella s'il te plaît, je peux plus te connaître ? 

—Bella : Tu veux dire quoi par là Marck?

—Moi : Genre te connaître mieux, ce que tu aimes, ce que tu déteste, ce que tu faisais avant d'atterrir dans ma famille, un peu de tout quoi, Si ça te gêne pas bien sûr. 

—Bella : La charité bien ordonné, commence par ....

—Moi : Soi-même, oh je vois...

—Bella : Oui oui parce que moi aussi je veux mieux te connaître aussi. 

—Moi : Tu sais déjà comment je m'appelle et ce que je fais dans la vie comme travail. Bon le reste, j'aime bien être en compagnie des gens de bon cœur, ceux qui ont le cœur sur les mains, qui cultivent l'amour fraternel. Je déteste le mensonge et tout ce qui peut nuire à la vie des hommes. J'aime bien les sorties, les voyages. J'ai aucune femme dans ma vie pour le moment, j'en avais mais plus maintenant, j'aime pas trop faire des amis. Bon j'espère que tu es satisfaite ?

—Bella : Oui pas mal, moi je me nomme Bella Santos, fille aînée d'une famille dans laquelle nous sommes trois, orpheline de père, j'ai 25 ans et j'ai laissé les études en troisième année de droit à l'Université. Donc j'ai pas pu avoir ma licence à cause des manques de moyens financiers. J'ai décidé alors de me lancer dans le commerce pour subvenir aux besoins de ma famille. Concernant relation amoureuse, j'ai eu des relations amoureuses en cours secondaire mais ceux sont rien de sérieuse, car les mecs avec lesquels je m'engageais voulaient juste coucher avec moi et rien d'autre. C'est la conclusion que j'ai eu à faire, sinon une relation dans laquelle on ne fait que te demander le sexe, c'est pas une relation ça. Bon bref, j'aime tout et je déteste tout. J'aime pas trop faire des amis tout comme toi et j'aime pas trop les sorties et autres. Ma maison me et mon lieu de commerce me suffisent largement. Dit moi tu as quel âge ? 

—Moi : Trois ans de plus sur ton âge. 

—Bella : 28 ans ? 

—Moi : Oui oui, mais dit moi tu as dit que tu es commerçante, comment tu t'es retrouvé ici alors ? 

—Bella : Maman est l'une de mes meilleures cliente, donc lorsqu'elle m'a dit qu'elle cherche une femme de ménage et aussi le marché ne mâche plus trop comme avant, j'ai jugé bon de faire ce travail pour pouvoir booster un peu mon commerce. 

—Moi : OK je vois mieux, donc elle ne t'a pas trouvé au village hein ? 

—Bella : Bien sûre que oui, mais c'est pas trop loin, si on peut dire ça comme ça, car je réside à OUIDAH et c'est là-bas je mène mon commerce. 

—Moi : OK je vois, dit tu as encore de travail à faire à la maison ? 

—Bella : Non j'y pense pas, pourquoi demandes tu ça ? Ne me dit pas que tu veux m'amener quelque part hein. 

—Moi : Y a-t-il un problème à ça ? 

—Bella : Oui j'ai rien dit à maman concernant ça, donc c'est impossible. 

—Moi : T'inquiète pas elle ne dira rien.

—Bella : Non s'il te plaît, n'insiste pas. 

—Moi : Bon je peux appeler maman pour lui dire ça  au moins ? 

—Bella : Nous allons où d'abord ? 

—Juste dans le restaurant d'un ami, je veux juste lui rendre visite tu vois un peu?

À suivre....

RICHY PLUME-RAM

GOD'S INSPIRATION