Share

Chapitre 02 - RAM

—Bella : Tu peux me déposer à la maison avant de partir non? 

—Moi : D'accord je vois que tu ne veux pas m'accompagner et excuse moi OK ?

Je voulais mettre le moteur de ma voiture en mâche lorsque mon portable avait commencé par sonner. J'avais pris et c'était le numéro de ma mère que j'ai vu. 

— Allô !!! Maman

— Oui mon chéri, vous venez déjà à la maison, j'ai employé le pronom VOUS parce que le gardien m'a dit que Bella est partie avec toi. 

— Oui c'est vrai maman et on vient déjà. 

— D'accord, vous pouvez passer au supermarché pour moi ou bien vous êtes déjà proche de la maison ? 

— Vous désirez quoi maman ? 

— Tu peux passer le portable à Bella? 

— Oui oui 

J'avais passé le portable à Bella et elle avait discuté avec ma mère. Elle avait terminé et me remet le portable. 

—Allô !!! Mère

— Oui je l'ai déjà dit ce qu'elle va m'acheter, tu lui remets 20 mille et une fois à la maison je vais te rembourser. 

— Pas de problème mère.

Ma mère avait coupée l'appel, je voulais démarrer la voiture lorsque Bella m'avait touché et me demandant :

—Bella : Pourquoi tu n'as pas profité de dire à maman concernant là où tu veux qu'on aille ? 

—Moi : Non je ne veux plus aller quelque part, nous allons faire les achats au supermarché et nous prendrons la direction de la maison. 

—Bella : Tu es fâché contre moi ou bien ? 

—Moi : Non non pour quelle raison vais-je me fâcher contre toi? 

—Bella : OK si tu le dis. 

J'avais démarré la voiture et direction supermarché…

Nous avions fini de faire les achats que ma mère nous a demandé et une fois après les avoir chargé dans la voiture, Bella était montée dans la voiture. Je voulais aussi monter lorsque j'ai entendu une voix féminine m'appeler. J'avais tournée ma tête et c'était une jeune demoiselle qui s'approchait de moi, je la regardait de loin et on dirait que je la connaissais quelque part. Elle s'était approché de moi et oui le visage me dit quelque chose, sauf que j'avais du mal à me rappeler. 

—Moi : Oui bonsoir comment vous allez ? 

—Je vais bien, Marck ne me dit pas que tu ne te rappelles plus de moi ou tu m'as totalement oublié hein. 

—Moi : Sans vous mentir le visage me dit quelque chose mais j'ai du mal à être au parfum de cette chose. Possible que vous me rafraîchissez un peu la mémoire ? 

—Donc tu ne te rappelles plus de moi?  Anita, la petite soeur de madame Sandra, votre partenaires d'affaire? 

— Moi : Madame Sandra Johnson ? 

— Eh oui!!!!

—Moi : Oh oui je m'en souviens maintenant, excusez moi beaucoup, c'est comme ça que je suis. Je formate mon cerveau chaque année que Dieu fait pour ne pas me rendre la vie difficile donc c'est un peu à cause de ça. 

—Anita : Tu as toujours ton plat d'humour, et s'il te plaît arrête de me vouvoyer. N'oublie pas que tu me dépasses au moins de deux ans et aussi on s'est vu maintenant ça n'a pas encore fait une année à ce que je sache. Tu m'as pas appelé comme tu m'as promis et j'avais pas aussi ton numéro. J'ai demandé ton numéro à ma grande soeur mais elle n'a pas voulue me donner ça. Je ne sais pas trop pourquoi, mais bon j'ai la chance de te croiser ici dans ce supermarché. 

—Moi : À bon? 

—Anita : Oh que oui, je te regardais depuis à l'intérieur du supermarché accompagné d'une femme et je me posais des questions si je me trompais pas. Mais j'ai juste décidé d'appeler ton prénom pour voir et voilà que je me trompais pas. Dit c'est ta femme ? 

—Moi : Non non, j'ai pas encore une femme, mais je sens que dans peu de temps je serai compté parmi les hommes mariés. 

—Anita : Sérieux ? 

—Moi : Oh que Oui..

—Anita : C'est ta fiancée alors...

—Moi : Mais pourquoi vous les femmes vous aimez poser des questions comme ça ? Oh non c'est pas possible, vous aimez trop parler, on eut dit que vous êtes des papagayos( Perroquet en espagnol)

—Anita : Des quoi ? 

—Moi : Non rien c'est juste un nom en espagnol pour ceux qui parlent trop. 

—Anita : Maintenant c'est espagnol tu parles ? Tu veux aussi rejoindre ma grande soeur là-bas ? 

—Moi : Bon on peut dire ça comme ça. 

—Anita : Ok !!! Je vais pas te faire trop attendre, comme quelqu'un t'attend. Je peux au moins avoir ton numéro ? 

—Moi : Oui il n'y a pas de problème à ça, prends mon portable et met le tien...

—Anita : Non non pour cette fois-ci c'est moi qui prend le tien, parce que je sais que tu vas pas m'appeler une fois que tu vas me fausser compagnie. Alors je t'écoute monsieur...

J'étais dans l'obligation de donner mon numéro à Anita et en même temps elle avait lancé pour voir. 

—Moi : C'est bon maintenant ? 

—Anita : Oui pour le moment, ça reste à voir si tu décrocheras mes appels ou si tu vas pas mettre mon numéro dans liste noir. 

—Moi : Pourquoi tu penses toutes ces choses de moi? L'autre fois que j'ai pris de numéro j'ai bien eu l'envie de t'appeler, le truc est que j'ai changé de portable et aussi avec le travail, j'ai plus ma tête tranquille. J'espère que tu me comprends un peu ?

—Anita : Oui oui ça va maintenant monsieur. Bon on se dit à tout à l'heure, une fois à la maison je vais t'appeler. 

—Moi : T'inquiète pas dans le cas contraire tu verras mon appel, là tu me prendras au sérieux. Madame Sandra est toujours en Espagne c'est ça ?

—Anita : Oui oui, c'est quoi vous êtes plus en contact ? 

—Moi : Relation professionnelle est différente des autres relations, donc c'est un peu ça. N'oublie pas qu'elle est partenaire avec mon père et non avec moi. 

—Anita : Oh je vois mieux maintenant, c'est pour ça elle n'a pas voulue me donner ton numéro. 

—Moi : Bon après midi Anita et ce fut un plaisir pour moi de te revoir. 

—Anita : De même pour moi aussi, mon grand chéri, mon gentleman. 

—Moi : Arrête avec ça femme d'autrui. 

—Anita : Tu viens de dire quoi ? 

—Moi : Rien madame.

J'avais faussé compagnie à Anita en montant dans ma voiture. 

Bella était à l'intérieur en ayant ses yeux braqués dans son portable. 

—Moi : Bella j'espère que tu n'es pas fâchée contre moi? C'est une de mes connaissances, on s'est rencontré lors d'une fête organisée par sa grande soeur qui est l'une des partenaires d'affaires de mon père....

—Bella : Marck tu n'as pas besoin de t'excuser, ni me donner des explications, n'oublie pas que je suis juste une femme de ménage et que tu es mon boss après tout.

—Moi : Je savais que tu allais dire une telle chose, donc selon toi c'est parce que tu es juste une femme de ménage que je t'ai laissé dans la voiture et je discutais ou bien ? Mais sache une chose, je ne te vois pas comme une femme de ménage et tu as plus d'importance devant moi que ce que tu peux imaginer. C'est pas grave dans tout les cas, je réalise déjà que tu n'aimes pas être en ma compagnie et tu as aussi raison. Je vais plus oser, s'il te plaît met ta ceinture et nous allons partir. 

—Bella : Marck pourquoi tu prends tout ce que je te dis mal? 

—Moi : Bella oublions cette affaire, et met ta ceinture.

—Bella : Non parce que je peux sentir que tu es fâché et j'aime pas du tout qu'on se fâche contre moi. J'ai rien dit de grave non, j'ai juste dit que tu n'es pas obligé de me présenter des excuses pour ça.

—Moi : Et j'ai aussi compris, maintenant met ta ceinture et nous allons partir. 

—Bella : Marck pourquoi tu me fais ça ? 

—Moi : J'ai encore fait quoi ? 

—Bella : OK OK je suis désolée et sache que tu te trompes sur ce que tu viens de dire, car je me sens bien à l'aise en ta compagnie. J'ignore même la raison, si je t'ai offensée s'il te plaît je te demande pardon, tu m'excuses? 

—Moi : Avant de t'excuser je veux un bisou. 

—Bella : Humm!!! Un bisou ? Tu veux déjà profiter ?  Tu vois pas que nous sommes au bord de la voie?

—Moi : Et tu vois pas aussi que les vitres son des vitres fumées ?

—Bella : Après s'il te plaît.

—Moi : D'accord pas de problème. Maintenant met ta ceinture. 

Bella avait mise la ceinture et nous avions pris la direction de la maison.

Chez Anita....

Anita était déjà à la maison, elle avait garée sa voiture et fait entrer les achats à l'intérieur. Sa copine Flory était dans la cuisine entrain de cuisine. Anita avait l'air très heureuse et sa copine avait décidée de pousser sa curiosité...

—Flory : Ma chérie tu veux me dire quelque chose par hasard ?

—Anita : Comme quoi par exemple ? 

—Flory : Tu sais très bien de quoi je parle, tu n'étais pas comme ça avant de quitter ici, maintenant tu viens juste du supermarché et tu est toute heureuse. J'ai ratée quoi ma chérie?.

—Anita : Ma chérie ce dimanche est vraiment un bon dimanche pour moi. Tu sais celui que j'ai rencontré au supermarché ? 

—Flory : Gilson ? 

—Anita : Qui est Gilson ? Ne me parle plus de cet homme, je suid sérieuse.

—Flory : Pourquoi tu t'énerves si je prononce le nom de Gilson ? Cet homme dont tu es follement amoureuse?

—Anita : Dont j'étais follement amoureuse, alors ne me parle plus de lui, de cet don Juan. 

—Flory : OK OK suis désolée, maintenant parle moi, qui tu as rencontrée et tu es si heureuse ? 

—Anita : Non c'est bon tu as réussi à gâcher mon humeur. 

—Flory : Mais ma chérie toi aussi, je me suis déjà excusée non!!!!?

—Anita : OK OK j'ai rencontré Marck. 

—Flory : Quoi le gentleman ? Celui qui est venu à la fête de ta grande soeur ? Si je m'en souviens bien, tu n'arrêtais pas de parler de cet homme avant ton rencontre avec.... Je ne veux pas prononcer ton nom pour que tu te fâches encore. 

—Anita : Bien, c'est lui tu te souviens bien de lui, il est devenu encore plus beau qu'avant. 

—Flory : Oh je vois l'amour en air !!! J'espère qu'il n'est pas encore marié?

—Anita : Pour le moment il m'a dit qu'il ne l'est pas, mais il y a mais,parce qu'il est avec une femme lorsque je l'ai vue. Mais dans tout les cas, je sais que je vais l'avoir.

—Flory : J'ai aucune doute sur ça, ma copine, la bombe atomique de tout les temps. 

—Anita : Hahaha!!! Je vais  l'appeler tout à l'heure même. Bonjour j'irai me changer. 

—Flory : D'accord ma choupompom.

Nous étions enfin à la maison, j'avais garée la voiture et le gardien était venu nous aider à amener les achats à l'intérieur. Je n'arrêtais pas de regarder ma déesse de beauté, elle avait pris un sac et fit son entrée à l'intérieur avec le gardien qui avait déjà le dernier sac dans la main. J'ai fermé les portières de la voiture et ....

Oh j'ai oublié de vous parler de Anita, une femme vraiment cool, sans vous mentir, elle aussi est une beauté rare. Le premier jour que je i'ai rencontré, lors d'une fête organisée par sa grande soeur, elle était la seule femme qui attirait le regards de tous les hommes qui se trouvaient lors de cette fête. Et j'ignorais même la raison pour laquelle, elle s'est collée à moi. Je voulais pas aussi gâcher l'occasion, qui s'était présenté à moi, mais j'étais avec Carine une fille qui fut maintenant une des mes ex petite amie. Bon bref, 

J'avais fait mon entrée à l'intérieur et une fois au salon j'avais demandé mon sachet de pomme et Bella m'avait fait comprendre qu'elle a déjà mise ça au frigo. J'avais demandé à ma soeur Justine d'aller me prendre quelques-unes et j'étais monté dans ma chambre. 

J'étais dans ma chambre lorsque à ma grande surprise c'était Bella qui avait frappé à la porte et fit son entrée avec les pommes. 

—Moi : Mais c'est à Justine j'ai demandé, on vient de rentrer et tu dois te reposer. 

—Bella : Dit moi juste que tu ne veux pas me voir dans ta chambre. 

—Moi : Arrête s'il te plaît princesse, j'ai jamais dit.

—Bella : D'accord si tu le dis, Justine voulait bien t'amener ça, c'est moi même qui a pris ça chez elle. Je veux profiter pour te donner ton bisou.

—Moi : Vraiment ? Es-tu sérieuse là ? 

—Bella : Oui avant mais plus maintenant, je dépose le plateau du pomme où ? 

—Moi : Tu es fâchée ou bien ?

—Bella : Oui à cause de ton accueil.

—Moi : Arrête s'il te plaît, j'avais pas l'intention de te verser. 

Bella avait déposée le plateau de pomme sur la table qui se trouvait dans ma chambre et voulait me fausser compagnie lorsque je l'avais tiré contre moi. Sans vous mentir j'ignorais même ce qui m'avait pris, Bella avait commencé par trembler dans mes bras. 

—Bella : Marck s'il te plaît arrête.

—Moi : As-tu peur de moi ? 

—Bella : Non même pas, c'est que j'ai de travail qui m'attend.

—Moi : T'inquiète pas je veux rien te faire contre ta volonté. 

J'avais laissé Bella et elle s'était précipité pour sortir de ma chambre. Elle était vraiment belle et sa beauté s'était bien exprimé lorsqu'elle était plus près de moi. Ses beaux seins en me touchant avaient passé un courant de haute voltage dans mon corps. Oh comme elle est belle, une beauté qui peut faire jaillir de l'or blanc en plain été. 

J'étais là lorsque mon portable avant sonné, j'avais pris et c'était Anita.

J'avais pris place dans le sofa pour décrocher l'appel. 

—Moi : Allô !!!

—Anita : Allô !!! Bonsoir Marck tu as vu maintenant que tu n'as pas encore tenu ta promesse? 

—Moi : Mais toi aussi Anita, on vient tout juste de se voir, moi je viens à peine de rentrer à la maison et tu m'as appelé. 

—Anita : C'était tout juste pour te taquiner, pourquoi tu aimes prendre tout au sérieux comme ça ? Bon dit moi tu, non vous êtes bien rentré j'espère ?

—Moi : Oui super bien et toi, tu es déjà à la maison je pense ? 

—Anita : Je suis déjà à la maison, j'ai oublié de te demander ton secteur de résidence. 

—Moi : Oh je vois, t'inquiète on fera le programme et tu viendras me voir à la maison. Mais ce sera en week-end. 

—Anita : Pourquoi ?

—Moi : Oui oui j'ai dit ça parce que mes jours de travail sont vraiment chers pour moi. J'espère bien que tu me comprends ? 

—Anita : Oui oui, mais dit moi tu fais quelque chose à la maison maintenant ? 

—Moi : Pourquoi tu demandes ça madame? 

—Anita : Tu peux venir chez moi non? C'est non loin du supermarché Dupont, là où on s'est vu tout à l'heure. 

—Moi : Je ne suis pas sûr Anita, je ne pense plus sortir de ma maison, je dois me reposer. Peut-être dans l'autre week-end, on sera en contact donc ne t'inquiète pas. 

—Anita : J'ai l'impression que depuis toujours tu m'évites, je ne suis pas de ton genre ou tu as entendu quelque chose sur moi? Je ne comprends pas pourquoi tu te comportes bizarrement avec moi depuis que je t'ai rencontré lors de cette fête. 

—Moi : Anita tu ne peux pas me comprendre, je t'évite  pas et tout d'abord aucun homme ne peut éviter une belle femme comme toi. C'est impossible, alors s'il te plaît, il y a un temps pour chaque chose. Tu es une femme et je suis un homme , seul Dieu sait ce qui peut naître entre nous deux. Mais ne précipitons pas les choses, on se verra mais dans l'autre week-end. 

—Anita : D'accord j'ai compris tout ce que tu as dit et je ne pense pas aussi précipiter les choses. 

—Moi : Bon on se dit à tout à l'heure et passe une bonne soirée la grande. 

—Anita : Merci beaucoup mon grand et bonne soirée à toi. N'oublie pas de saluer toute la famille pour moi. 

—Moi : D'accord!!! 

—Anita : Bisous

—Moi : Bisou. 

Anita avait raccrochée l'appel, j'avais déposé mon phone pour prendre une pomme que j'ai commencé à déguster. J'avais décidé de jeter quelques Coup-d'œils dans mon ordinateur, ce que je faisais lorsque ma mère avait frappé à la porte de ma chambre. 

—Moi : Maman c'est vous? La porte est bien ouvert vous pouvez entrer. 

—Ma mère : Ok. Dit-elle et fit son entrée dans ma chambre. 

—Moi : Oui vous voulez me dire quelque chose ou c'est concernant les 20.000fcfa ? —Ma mère : Oui je suis venu te remettre ton argent et aussi discuter un peu avec toi. 

—Moi : OK maman, je vous écoute. 

Ma mère avait prise place dans le sofa et elle m'a fait face comme j'étais assis au bord du lit.  J'avais toujours mon ordinateur dans mes mains ce qu'elle n'avait pas digéré et j'étais obligé de le déposer. 

—Moi : Bon mère je vous écoute. 

—Ma mère : Tu sais très bien ce que je suis sur le point de te dire, mais pour cette fois-ci prend moi au sérieux. Ton père veut t'envoyer à l'extérieur du pays et c'est une bonne chose. Mais le fait que tu n'as pas encore décidé d'avoir une femme n'est pas une bonne chose. Quand est-ce qu'on verra tes enfants avant de quitter ce bas monde mon garçon ? N'oublie pas que tu es notre garçon aîné. 

—Moi : Maman ma grande soeur est déjà enceinte, dans peu de temps vous aurez des petits enfants. Pourquoi êtes vous pressé ? Qui vous a dit que vous allez vite nous quitter  maman ? Arrêtez s'il vous plaît, Je suis un homme et une fois que je veux pas être un prêtre j'aurai forcément une femme et des enfants si c'est écrit dans mon destin. Alors arrêtez de vous déranger pour rien, il y a un temps pour chaque chose. 

—Ma mère : Mon garçon dit moi ça t'arrive au moins des fois d'avoir envie de sentir une femme ? 

—Moi : Maman vous allez me tuer un jour avec vos questions, mais bien sûr que oui. Je suis un homme malgré tout maman. 

—Ma mère : Au moins je suis rassurée que mon fils n'est pas gay comme les gens pensent. 

—Moi : N'écoutez plus ce que les gens disent ou pensent, il n'ont rien à faire dans leur vie c'est tout. Bon mère j'irai prendre une douche pour me reposer un peu. Concernant l'argent, ne vous dérangez pas pour ça. 

—Ma mère : D'accord et je vais rien dit concernant ça parce que c'est aussi ton devoir.

Oh que oui je savais qu'elle dira une telle chose, ma mère m'avait faussé compagnie et j'avais fait mon entrée sous la douche. 

Dans la cuisine....🍳

Bella était dans la cuisine entrain de cuisiner lorsque ma mère était venue la voir. Ma mère s'approchait d'elle et en lui parlant mais on dirait que cette dernière avait sa tête dans les nuages. Elle l'avait touché et Bella avait sursauté, eh oui elle n'était pas présente dans la cuisine, peut-être qu'elle voyageait à travers ses pensées. Ma mère était surprise de remarquer une telle chose, comme vous connaissez déjà ma mère, elle n'est pas quelqu'un qui donne sa langue au chat comme ça. Elle est pire plus qu'une enquêtrice, elle est au courant de tout ce qui se passe dans sa maison, seulement dans sa maison ? Mais non elle est de même au boulot... Elle avait décidé alors de pousser sa curiosité

—Ma mère : Ma fille chérie qu'est-ce qui ne va pas avec toi? Pourquoi tu es l'air pensive ? Quelques chose ne va pas ou tes parents te manquent ? 

—Bella : Maman j'ai rien du tout et il n'y a rien de grave. 

—Ma mère : Es-tu sérieuse là ? Ne me cache rien hein, parce ce que tu es ma fille je te rappelle. 

—Bella : Oui maman je suis sérieuse, tout va bien. 

—Ma mère : Tout va bien et tu as ta tête dans les nuages ? Ton corps est présent dans la cuisine et ton esprit est ailleurs ? Ma fille dans tout les cas si tu ne veux rien me dire, je vais pas aussi te forcer. J'espère que Marck ne t'a rien dit de mauvais ? 

—Bella : Non rien maman. 

—Ma mère : D'accord bon, je te fausse compagnie, je te disais d'ajouter cinq œufs sur les autres que tu as pris mais tata avait sa tête dans les nuages. 

—Bella : Maman excusez moi s'il vous plaît. 

—Ma mère : Non non je déteste ça et à ce que je sache, tu n'as rien fait pour demander d'excuse. Fait  ton travail et reviens un peu sur terre, seul Dieu sait à quoi tu penses.

—Bella : (Sourire) Mais maman je ne pense à rien. 

—Ma mère : Est-ce que moi j'ai encore dit quelque chose maintenant ? 

Bella avait commencé à sourire et ma mère l'avait faussée compagnie. 

J'avais fini de prendre ma douche et j'ai décidé de rejoindre la famille au salon. 

J'étais au salon et je discutais avec mes frère et sœur lorsque Bella était venue nous dire que la table est prête et nous étions passé à table.

Cette soirée là, une fois à table ma mère, même mon père avaient remarqué qu'il a quelque chose qui cloche entre Bella et moi. Sans vous mentir, Bella me rendait dingue et avec sa jolie robe qu'elle avait porté, je n'arrivais pas à enlever mes yeux sur elle. Nous avions fini de nous régaler, comme mes frère et sœur doivent se rendre au collège le lendemain, ils étaient monté dans leur chambre. Mes parents aussi étaient montés dans la leur et il restait que moi au salon. Bella quant-à elle avait déjà fini de débarrasser la table et s'occupait de certains trucs dans la cuisine. 

Cette nuit là, j'avais une forte envie de sentir la chaleur d'une femme contre mon corps, de goûter aux lèvres d'une femme. La seule personne dont j'ai besoin, avec qui je me sentirai à l'aise est Bella. Mais je ne pouvais  pas, elle venait à peine de faire un jour dans notre maison et même si je suis fou amoureux d'elle ça me permet pas d'avoir ces idées dans la tête pour le moment. J'avais éteint la télévision et je montai dans ma chambre. 

Bella dans sa chambre....

Bella avait du mal à fermer ses yeux...

—Bella : Qu'est-ce qui m'arrive ? Je ne comprends plus rien du tout, je ne veux pas me faire des idées bizarres. Ça fait déjà très longtemps que j'ai ressenti ce que je ressens à présent. Je viens à peine de passer une journée dans cette maison et déjà mon cœur veut être emprisonné par un homme que je viens à peine de connaître ? Que le bon Dieu m'aide parce que je ne suis pas venir ici pour ça, je suis venue ici pour travailler et rien d'autre. Que le sommeil vient me prendre...

Le lendemain...

J'étais déjà réveillé pour m'apprêter et une fois prêt, j'étais descendu prendre mon petit déjeuner. Ma mère et mon père étaient encore dans leur chambre si j'ai une bonne mémoire et mes frère et sœur étaient déjà parti au collègue. J'avais fini de prendre mon petit déjeuner et comme Bella était dans la cuisine, j'avais décidé de lui faire un coucou avant de partir. Une fois dans la cuisine, elle était toute concentrée à préparer l'un de ses délicieux repas. 

—Moi : Bella bon travail, mon cordon-bleu.

—Bella : Merci beaucoup Marck tu es déjà prêt ? 

—Moi : Oui et je veux juste te faire un coucou, comme j'ai envie de déguster ce plat avant de partir. 

—Bella : Tu as la chance alors parce que c'est déjà prêt, ça reste juste que je mets de l'oignon. 

—Moi : Cool mais dommage pour moi, je suis déjà en retard et c'est pas bon de manger ces choses avec rapidité. 

—Bella : Je peux bien te mets ça dans un thermos et une fois au boulot, peut-être lors du pose tu peux manger ça. 

—Moi : Cool je suis partant, merci beaucoup ma princesse, oh suis désolé je ne veux pas te mettre mal à l'aise avec mes surnoms. 

—Bella : Non Non j'aime bien ces surnoms et ça me gêne pas du tout.

—Moi : D'accord, bon je serai entrain de faire sortir ma voiture, n'oublie pas de prendre les grosses viandes.

—Bella : ( sourire ) D'accord sans problème mon cher monsieur. 

J'avais faussé compagnie à Bella et rapidement j'ai fait sorti ma voiture du garage et comme je  voyais pas la sortie de Bella, j'avais décidé d'aller la voir. Elle était toujours dans la cuisine, 

—Moi : Princesse mais je t'attends. 

—Bella : Excuse moi c'est que je cherche un petit sac dans lequel je vais mettre le thermos mais je ne trouve aucun. 

—Moi : Où se trouve le thermos ? 

—Bella : Sur la table dans la salle à manger. 

—Moi : Bon on se dit à ce soir. 

—Bella : D'accord Bonne journée à toi. 

—Moi : Même pas un petit bisou ? 

—Bella : Arrête s'il te plaît, n'oublie pas que tu es en retard. 

—Moi : D'accord c'est compris.

J'avais pris le thermos et après avoir monté dans ma voiture, j'avais pris la direction de l'entreprise. 

Quelques heures plus tard....

J'étais au boulot, cette journée était une journée un bizarre pour moi parce que Anita n'arrêtait pas de m'appeler. J'avais du mal même à comprendre ce que cette dernière voulait de moi. On dirait même qu'elle ne se rendait pas compte que j'étais au travail. 

Bon moi aussi je manquais de la présence d'une personne et cette dernière c'est Bella. J'avais déjà dégusté le délicieux plat qu'elle m'avait fait et je me santais vraiment bien dans ma peau sauf qu'elle même me manquait. Cette femme me rend dingue et c'est tout, j'avais jamais ressenti une telle chose avant. 

La seule chose que je voulais, était de vite rentrer chez moi pour pouvoir contempler cette perle rare qui les dieux m'ont envoyé directement du ciel. 

Il fut l'heure et j'avais pris la route de la maison, mes parents n'étaient pas passé dans l'entreprise et je m'étais dit qu'ils avaient décidé de passer ce jour dans la seconde entreprise comme ils en ont deux. 

Après avoir été confronté à des embouteillages pas possible qui semblait être une éternité pour moi parce que j'avais fort envie de voir ma déesse de beauté, j'étais enfin devant ma maison. Une fois dans la maison, j'avais fait mon entrée à l'intérieur après avoir fait entrer ma voiture dans le garage. 

Bella était au salon et regardait la télé,  Lorsqu'elle m'avait vue, elle s'était levée et vint prendre mon sac dans ma main après un échange de salutation. J'avais demandé d'après mes parents et elle m'avait dit qu'ils étaient pas encore rentré, sauf Justine et Félix qui étaient déjà du retour. 

Nous étions monté ensemble dans ma chambre et après avoir déposé mon sac, elle voulait sortir lorsque je l'avais pris dans mes bras. Pour cette fois-ci, elle n'avait pas tremblée comme l'autre fois. 

—Moi : Bella tu m'as beaucoup manqué aujourd'hui. 

—Bella : (Avec une voix un peu tremblante ) vraiment ? 

—Moi : Oui ma princesse. 

Tout doucement j'avais commencé à approcher mes lèvres des siennes et j'avais senti qu'elle aussi se laissait aller lorsque mon portable avait commencé par sonner. Et une fois encore elle s'était échappée. Elle m'avait faussé compagnie, j'avais pris le portable et c'était encore Anita. Oh mon Dieu !!!

J'avais décidé de ne pas répondre à son appel parce que Anita avait commencé par m'énerver. J'avais mis le portable en mode silencieux et décida d'eller prendre une douche après m'avoir débarrassé de mon costume. Elle a vraiment gâchée ma soirée, moi qui me voyait déjà dans le pays des baisers, là où ceux sont rien que les lèvres qui dansent sous le son des battements de cœur. 

Bella dans sa chambre...

—Bella : Mon Dieu qu'est-ce qui est sur le point de se passer ? Donc je veux me laisser juste avoir comme ça ? Je me demande bien ce que cet homme m'a fait ? Je n'arrive plus à me contrôler si je suis en sa compagnie, le plus pire lorsqu'il me serre contre lui. Oh Dieu merci que cet appel nous a interrompu, Oh comme j'ai eu chaud. 

J'avais fini de prendre ma douche, et une fois dans ma chambre, je me suis habillé pour descendre voir ce qui se passait car on dirait que ma soeur Justine et le troisième homme de la famille se disputaient. Je parle bien de mon frère Félix qui n'arrête pas de taquiner sa petite sœur. Une fois dans les escaliers, j'avais réalisé que c'est notre grande soeur Vanessa qui est venue et les deux autres disputaient concernant ce qu'elle les a amené. Bella était entrain de mettre la table au point, Descendu des escaliers, j'avais demandé ce qui n'allait pas après avoir salué ma grande soeur. Félix avait pris le parole pour m'expliquer ce qui se passait et ma grande soeur faisait que rigoler. Je les avais calmer et tout était entré dans l'ordre. Chacun d'eux était monté dans leur chambre pour se doucher et j'avais pris place à côté de ma soeur.

—Moi : La grande tu as enfin décidé de venir nous voir ? Depuis un mois que tu as quittée ici, c'est pas gentille de ta part alors que tu sais très bien qu'il y du mails dans l'entreprise. Je t'appelle c'est difficilement tu décroches mes appels. 

—Vanessa : Mon chéri je sais très bien que tu vas dire ça, mais n'oublie pas que je suis enceinte et il y aussi ma boutique qui me permet pas d'avoir du temps. Concernant les mails de l'entreprise, j'ai déjà appelé Catherine notre secrétaire pour lui demander et elle m'a bien dit que tu t'es déjà chargé de tout ça. Sinon j'avais bien eu l'idée de te donner un coup de pousse même en étant loin. Tu sais très bien que je ne suis pas une fainéante. 

—Moi : Je comprends mieux maintenant, donc tu as ouvert une boutique là-bas, c'est pas mal et Catherine t'a déjà informée de tout. Tu as une bonne informatrice, bon dit moi comment se porte mon champion ? 

—Vanessa : Tu veux encore recommencer avec ton affaire de champion ? Je t'ai déjà dit que c'est une championne et non un champion. Mon mari aussi veut un garçon alors que moi je veux une petite princesse.

—Moi : On verra bien, tu m'as amené quoi? 

—Vanessa : Rien de spécial, juste quelques pommes fruits et aussi de poissons fumés comme tu aimes. Mais dit moi, qui est cette belle fille que maman a encore amenée dans la maison. Justine m'a dit qu'elle est la nouvelle femme de manège est-ce vrai ?

—Moi : Pourquoi demandes-tu ça ? Elle ne ressemble pas à une femme de manège? 

—Vanessa : Pas du tout, en la voyant elle dépasse ça, sérieux. Elle est belle, géante et aussi respectueuse. Si tu pouvais voir comment elle m'a saluée tout à l'heure, avec respect... Oh vraiment je l'aime déjà. 

En voyant la façon dont ma grande soeur parlait de Bella je me disais en même temps que je me suis pas trompé sur cette femme Bella. Jusqu'à ce que ma grande soeur lui fait déjà des éloges, du jamais vu. J'avais souri et je voulais prendre la parole lorsque nos parents firent leurs entrées dans le salon. 

Nous les avions salué, Bella aussi était venue les saluer et avait pris le sac de ma mère. Elle était monté dans la chambre de ma mère pour déposer le sac et Ma mère avait prise siège dans le sofa à côté de ma grande soeur. Mon père aussi avait pris siège, Bella était du retour et vint les servir de l'eau à boire.

Je m'étais levé pour me rendre dans la cuisine pour voir ce que Vanessa avait amenée. J'étais dans la cuisine lorsque Bella était venue me rejoindre. 

—Bella : Monsieur cherche quoi ? 

—Moi : Rien du tout, je cherche juste à voir ce que notre étrangère nous a amené. 

—Bella : C'est ta grande soeur qui est  l'étrangère? Ne dit plus jamais ça, j'aime pas entendre ça. 

—Moi : Je blague juste, mais dit moi et mon bisou ? Tu as oubliée que tu m'as promis un bisou ? 

—Bella : Mais c'est moi même qui t'a promis ça non? 

—Moi : Oui oui 

—Bella : Alors soit tranquille, tu auras ça. 

—Moi : D'accord !!!

Nous étions là à papoter, j'avais pris une pomme que je mangeais tout en regardant Bella qui arrangeait la cuisine et tout à coup elle trébucha et voulait tomber lorsque je me suis précipité pour l'attraper. Elle était dans mes bras et me fixait droit dans les yeux. La même scène qui s'est produite dans ma chambre avait commencé à se produire et pour cette fois-ci, j'avais pas laissé l'occasion m'échapper. Mon portable était même en charge dans ma chambre donc, il ne sera plus un obstacle pour moi. Tout doucement j'avais commencé à rapprocher mes lèvres des siennes et oui nous avions visité le pays des baisers, Bella 's'était laissée aller et sans vous mentir elle avait des lèvres vraiment douce, ses lèvres sont si délicieuses comme des fraises aussi sucrées que des raisins.

À suivre...

RICHY PLUME-RAM

GOD'S INSPIRATION

Commentaires (3)
goodnovel comment avatar
Gedeon Gedeon Gedk
bon livre et une belle histoire
goodnovel comment avatar
Soda Fall
une très belle histoire.
goodnovel comment avatar
Odia Traore
cool bon livre
VOIR TOUS LES COMMENTAIRES

Related chapter

Latest chapter

DMCA.com Protection Status