1:La polygamie et ses problèmes.

Il faisait 5h du matin et le vieux Demba avait l'habitude de réveiller ses enfants les plus jeunes ainsi que ses petits enfants pour la prière de l'Aube. 

Il était l'un des vieux les plus respecter du quartier.

Il avait deux épouses,Hawa qui était la première avec cinq enfants dont deux garçons et trois filles.

Cependant,Gaoussou était le plus âgé de la famille,il était aussi marié et avait déjà deux enfants et sa femme était aussi enceinte de quelques mois. Après lui venait Hamza qui au lieu de se marier comme son père lui avait demandé,il avait préférer finir d'abord ses études,avoir un bon boulot et après se marier et son père était parfaitement d'accord avec lui malgré sa demande. 

Ensuite venait Kadidia qui vivait en France avec son mari...puis Doussou âgé de 19 ans qui était juste fiancé à un riche commerçant et le dernier enfant de Hawa s'appelait Mouna,elle avait 16ans.

La deuxième épouse de Demba était Coumba qui avait le malheur d'enfanter qu'un enfant et pire une fille puisque Hawa ne perdait jamais l'occasion d'humilier sa coé-epouse devant la masse en disant que cette dernière était juste une mauvaise épouse et que Dieu pour la punir lui avait donner qu'une seule fille et non un héritier,donc Hawa étant non pas seulement la première épouse,elle était aussi la plus aimer de son mari. 

Coumba malgré les insultes et les humiliations à son égard gardait tout simplement son sang-froid du mieux qu'elle pouvait et faisait tout son possible pour donner une bonne éducation à sa fille qui était tout ce qui la restait vue que son mari ne la calculait beaucoup et sa propre famille l'avait interdit de remettre les pieds chez eux après le décès de son père...

Elle ne voulait en aucun cas fallire à l'éducation de sa fille pour après empirer sa situation dans la famille et que la société ait raison sur le faite qu'elle est une mauvaise épouse  et comme elle le souhaitait très bien sa fille était quelqu'un avec un esprit assez ouvert et connaissait toutes les souffrances de sa mère même si cette dernière ne lui racontait rien. Elle voulait être la fierté de sa mère,elle voulait en aucun cas faire honte à sa mère. Elle ne sortait presque pas de la maison si c'était pas pour des choses importantes vue qu'elle n'habitait pas dans un quartier sécurisé surtout la nuit et les rares fois où elle sortait de la maison dans la journée c'était quand Mouna voulait qu'elles se promènent un peu ou pour se rendre chez une amie du quartier pour faire des devoirs puisqu'elle faisait la même classe que cette dernière.

Elle était toujours près de sa mère et l'écoutait toujours. 

À l'école elle était la meilleure de sa classe et obtenait toujours un prix à la fin de chaque année...elle s'appelait OUMOU KOULSOUM TRAORÉ. 

Au fait Coumba avait été donner comme épouse au vieux Demba comme un cadeau en quelque sorte....

Flashback 

Des années plus tôt !!

A l'époque Demba travaillait étant comptable dans une des entreprises les plus réputées de son pays. Il était le mieux payer parmit tout les employés dans l'entreprise à cause du sérieux et de ses compétences dans le travail donc il était riche et pas que ça, il était aussi respecté au travail, dans son quartier et partout où il se rendait dû à sa générosité,sa noblesse et surtout à son attachement à la religion.  

Un jour dans la soirée alorsqu'il se rendait chez lui après une longue journée au bureau,sa curiosité le poussait à arrêter sa voiture puisqu'il venait d'apercevoir  deux personnes qui disputaient bruyamment et étaient même sur le point de se battre. 

Il descendit de sa voiture avant de  venir vers eux. 

Demba : qu'est-ce qui se passe ?

Celui qui était le plus énerver prit la parole. 

-ce vieux con me doit de l'argent et  cela fait des mois  mais il refuse de me payer comme si moi aussi je ne suis pas un chef de famille.

Le  vieux honteux ne disait rien donc Demba le demander si ce que le jeune homme disait était vrai. 

Le vieux  homme : je...heu...c'est vrai oui mais je vais bientôt le payer, je...

Le jeune homme : tu me donnes mon argent aujourd'hui ou sinon je t'emmène à la police.

Le vieux homme : ne fais pas ça s'il te plaît, j'ai une famille derrière moi et je dois prendre soin d'eux...

Il s'agenouilla devant le jeune homme qui pouvait avoir l'âge de son fils si il en avait eu tôt. Demba avait pitié du vieux homme qui était le père de Coumba.

Il se précipita pour releva le vieux homme à genoux. 

Demba : il te doit combien?

Le jeune homme : vingt mille. 

Demba : pour seulement vingt mille franc tu fais ça à un vieux qui pourrait être ton père t'as pas honte?

Le jeune homme : heu...

Demba retourna vers sa voiture pour prendre quelques billets qu'il remetta au jeune homme avant de dire au père de Coumba de le suivre dans sa voiture. 

V : je te remercie beaucoup mon fils que le tout puissant te récompense. 

Demba : Amine mais c'est rien et ne demande plus de l'argent à des gens comme ça. 

VH : j'ai pas le choix mon fils,ça fait des années que je ne travaille plus. Je suis un ancien soldat tu vois un peu ? 

Demba : tu ne prends pas ton argent de retraite ?

VH : si mais ça ne suffit pas. 

Ils étaient arrivés devant la maison du vieux et après avoir remercié Demba une dernière fois il sort de la voiture puis rentre chez lui. Demba lui avait aussi donné un peu d'argent mais malheureusement il n'avait pas accepter. 

Les jours passaient et se ressemblaient et Demba devenait de plus en plus proche du vieux qu'est le père de Coumba. 

Il survenait au soins de la famille du vieux comme si c'était le sien,chaque fin du mois,il envoyait des sacs de riz et de mil dans la famille du vieux et ce dernier ne pouvait  que remercier Demba pour tout ce qu'il faisait mais comme on le dit  très souvent " Tout âme sur terre goûtera à la mort ".

Le père de Coumba était tombé gravement malade et ce dernier se voyait déjà dans l'au-delà donc avant de partir il avait envoyé l'un de ses fils chez Demba pour lui dire de venir. 

Demba : bonsoir!

Le vieux : bonsoir mon fils comment vas tu?

Demba : je vais bien Alhamdoulila et ta santé y'a du mieux?

Il ne répondit pas à cette question. 

Le vieux se redressa un peu avec l'aide de  Demba pour s'asseoir avant de recommencer à parler. 

Le vieux : mon fils si j'ai fais appel à toi c'est tout d'abord pour te remercier pour tout ce que t'as fais pour moi et que tout cela se transforme en une grande demeure pour toi au paradis. 

Demba : Amine. 

Le vieux : bien,je sens que c'est bientôt l'heure pour moi de rejoindre la maison de Dieu...

Demba: ne dites pas ça. 

Le vieux : tu vois la fille qui se trouve dans la cuisine là bas?

Demba se retourna et parfaitement y'avait une fille dans la cuisine qui cuisinait. 

Demba : oui.

Le vieux : je te la donne comme épouse, c'est la seule chose que je peux t'offrir pour être reconnaissant envers toi. Demba cette fille que tu vois est mon unique fille et pendant mon absence éternelle je voudrais que tu prennes soin d'elle comme si c'était ta propre fille en dehors d'être ton épouse, elle est tout à mes yeux et je crois que seule toi pourra prendre soin d'elle comme je le désire. 

Demba : ça me fait vraiment plaisir que vous me faites confiance en me donnant la main de votre fille mais...

Vieux: s'il te plaît. 

Il soupira.

et

Demba: bien! je vous promet de bien prendre soin d'elle Insha'Allah...du moins,je ferais tout mon possible pour me rendre heureuse. 

En vrai Demba n'aimait pas Coumba mais il voulait juste faire plaisir à son ami en essayant d'accomplir sa promesse mais avait il remplie cette promesse ???

Fin Fash back

A l'époque Coumba était très jeune mais précoce, elle n'avait que 15ans et c'est à 16 ans qu'elle fut mariée puis à 18ans elle donna naissance à Oumou Koulsoum qui a maintenant 17ans et jusqu'à aujourd'hui le vieux Demba n'aime que Hawa même s'il faisait souvent des efforts avec sa seconde épouse qui était plus que malheureuse et aussi à part Demba personne d'autre n'était au courant que Coumba avait été donner comme cadeaux à Demba. 

*****

Oumou Koulsoum Traoré 

L'alarme de mon téléphone retendit et pour ne pas être en retard pour le contrôle de ce matin je me lève enfin du lit pour commencer à me préparé vite. 

Je prends ma serviette mais en entrant dans la douche Doussou vient me bousculer ce qui fait que je manque de tomber. 

Oumou  : qu'est-ce que tu me veux encore Doussou ? T'en a pas marre de tout ça ? La nuit t'as mis la musique de ton phone à fond ce qui nous empêchait de dormir. 

Elle me lance un grand tchiip avant d'entrer dans la douche. 

Je sais pas pourquoi papa veut que nous partageons la même chambre je déteste ça. 

Je retourne m'asseoir à côté de Mouna qui manipule son téléphone, je prends mon cahier d'histoire et commence à réviser un peu mais Doussou ne sort toujours pas ce qui commence réellement à m'irriter, c'est sûr que je serais en retard.

Mouna : Koulsoum si tu restes planter ici attendre Doussou tu vas être en retard,moi je rentre à 10h,tu peux aller prendre ta douche dans la chambre d'Hamza. 

Oumou  : ça me fait honte. 

Mouna : haaan ok reste,le surveillant va te chasser de la cour aujourd'hui tu le connais très bien,il ne tolère pas le retard. 

Je réfléchis quelques minutes avant de prendre mes effets de toilette et partir devant la porte de mon demi frère. Je toc plusieurs fois avant qu'il vienne ouvrir.

Hamza : y'a quoi? Ne me dis surtout pas que toi aussi tu vas commencer à faire comme Mouna ?

Oumou  : bien sûr que je vais le faire maintenant bouge toi je dois passer. 

J'entre et pars directement dans sa salle de bain en me dirigeant vers la cabine de douche et prend vite ma douche. Quand je finis je sors en le trouvant qui est sur son ordinateur. 

Oumou : j'ai finis merci. 

Hamza : c'était pas trop tôt en tout cas. 

Je rigole et retourne dans notre chambre où je commence à m'habiller.

Je porte mon uniforme bleu pour la jupe,blanc pour la chemise. Je peigne mes cheveux et les attachent pour après porter mes baskets et prends mon sac avant de sortir de la chambre. 

Je pars saluer mon père en premier vue qu'il est assit sur la terrasse avec son long chapelet puis ma deuxième mère qui me répond même pas et ensuite j'entre dans le salon de ma mère et cette dernière est sur son tapis de prière. 

Oumou : bonjour maman chérie. 

Coumba : bonjour ma fille, t'as bien dormis ?

Oumar  : très bien, bon je dois aller à l'école,je suis presque en retard. 

Coumba : d'accord que Dieu te protège. 

Oumou : Amine, qu'Allah nous protège tous. 

Je lui fais la  bise avant de sortir de la maison et au même moment mon téléphone sonne et c'est une camarade de  classe,nous habitons dans le même quartier donc normal que nous soyons proche en plus c'est ma voisine de table mais je dis pas que  c'est ma meilleure amie aussi,ma première meilleure amie c'est ma maman. 

Je décroche.

• allô meuf !

• putain mais tu signes notre arrêt de mort aujourd'hui ou quoi?

• qu'est-ce qui y'a ?

Je disais ça en ouvrant la porte de la maison et je la vois sur sa moto donc je raccroche et pars vers elle.

Oumou  : t'es là depuis quand ?

Safiatou  : je t'ai appelée plusieurs fois mais tu décrochais pas, nous sommes presque en retard et le surveillant lui est déjà devant la porte du lycée tu le sais. 

Oumou  : trêve de bavardage,maintenant on y va. 

Je monte sur sa moto et elle conduit comme une furieuse. 

Nous sommes arrivées au lycée 8h moins trois, la chance et parfaitement le surveillant est devant la porte du lycée avec ses gros lunettes qui le rend si drôle mais malgré ça il ne rit jamais. 

Au fait les règlements de mon lycée sont plus que stricts. 

Tu viens en retard,de un tu ne pourra pas suivre les cours,de deux tes notes seront coupées de au final t'emmène tes parents pour qu'ils expliquent le pourquoi t'es en retard. 

Safia dépose sa moto au parking puis nous entrons à l'intérieur. Les autres élèves sont déjà tous présent pour la montée du drapeau vue que c'est chaque Lundi que ça se passe dans mon lycée.

Nous chantons l'hymne national de mon beau pays dans l'harmonie et avec tout notre cœur. Quelques minutes après nous finissons et chacun rejoint sa classe sans créer le désordre. 

Le prof entre après nous puis commence à nous distribuer les sujets vue que nous avons trois heures de contrôle d'histoire ce matin,j'espère que tout ce que j'ai révisé ce trouve dans le sujet puisque souvent le prof nous donne le contraire de ce que nous faisons en classe mais comme je me limite pas qu'à ce que le prof nous explique, j'arrive toujours à m'en sortir et les autres pensent que c'est sorcier pourtant c'est loin d'être ça. 

Safiatou : j'espère que cette fois il ne nous donne pas des sujets de sa génération, à son dernier devoir j'ai eu 12 et mon père voulait me casser la gueule pour ça. 

Oumou  : ça ne sera pas le cas cette fois t'inquiète pas. 

Safiatou : toi t'as eu 18,5 voilà pourquoi tu ne t'inquiète jamais de rien...

Le prof : taisez vous mesdemoiselles ou vous foutez le camp dehors.

Oumou : désolé monsieur. 

Le prof : bien...pas de communication ni rien, que chacun écrit ce qu'il a dans la tête  vous avez compris ?

Nous : OUI ! 

Le prof : mettez vous au travail et ne me décevez pas sinon vous serez convoquer à la direction avec vos parents pour nous dire ce qui vous empêche de d'étudier. 

Il part s'asseoir et se concentre sur son livre en ayant un oeil sur nous. 

Je souris quand je commence à lire le sujet,Safiatou qui est prêt de moi commence déjà à le traiter...

Les trois heures sont écoulées et le prof ramassa les feuilles. Il fait déjà 10h passé donc je pars acheter quelque chose à bouffer avec Safiatou mais en revenant c'est cet idiot et son groupe qui viennent vers nous. 

Oumou : Safia fais comme si tu ne les voit pas j'ai pas envie qu'il me parle. 

Safiatou : il va le faire tu le sais. 

On était enfin au même niveau donc le soit disant chef de leur groupe nous arrête. Lui devant et sa bande dernière,non mais j'ai jamais compris pourquoi la vie au lycée est comme ça. 

Lui : mademoiselle Traoré ?

Oumou K: monsieur Sangaré ?

Le con sourit pff. 

Lui : vous êtes ravissante mais...

Oumou : je le suis toujours et je le sais aussi,Safia partons. 

Je me retourne pour partir mais il me donne une tape sur les fesses....ooh non il n'a pas osé. 

Je fais volte-face puis lui donne une belle gifle. 

Oumou  : NE ME TOUCHE PLUS JAMAIS SALAUPARD. 

Tout les élèves dans le couloir arrêtent ce qu'ils faisaient pour me regarder tandis que le con en face de moi se tenait la joue. 

(....)

Vers 17h,Safia m'as déposé à la maison. 

J'avais demandé à papa de m'acheter une moto mais il ne l'a pas fait alorsqu'il a les moyens mais bon c'est pas grave.

Personne n'était dans la cour de la maison à part la fille qui travaille chez nous comme aide ménagère. 

Je l'ai salué avant de rentrer et me dirigé vers la chambre, je me suis changé puis je suis entrer dans la toilette pour faire l'ablution et rattraper mes heurs de prières.

Quand j'ai finis je suis partis dans la cuisine pour voir si y'a ma part de nourriture et comme ces derniers jours j'ai rien vue,c'est la mère de Doussou et Mouna qui prépare aujourd'hui, je sais pas si elle le fait exprès mais à ces derniers jours à chaque fois que je quitte l'école je suis obligé de me faire quelque chose à manger ou partir au resto avec Mouna chose que je déteste puisque j'aime pas sortir. 

En retournant dans la chambre je croise ma mère dans les escaliers. 

Coumba: pourquoi t'as le visage triste ? 

Oumou : pour rien t'inquiète pas. 

Coumba : t'as mangé ?

Oumou K: non pas encore. 

Coumba : et pourquoi ? C'est parceque Hawa n'a rien laissé pour toi c'est ça ?

Oumou K: maman calme toi,c'est pas grave je vais préparer quelque chose pour moi...

Coumba : HAWA...HAWA OÙ EST TU MONTRE TOI...

Oumou  : maman s'il te plaît arrête ça,y'a les céréales je peux...

Coumba : HAWA JE TE DIS DE SORTIR. 

Oh mon Dieu ça recommence encore. 

Celle qu'elle appelait sort de sa  chambre en attachant son gros foulard sur la tête. 

Hawa : qu'est-ce qui y'a ? J'ai quelque chose que t'as perdus ?

Coumba : où est la part de nourriture de ma fille? C'est pas la première ni la deuxième fois que tu fais ça mais je dis rien mais tu dépasses les limites. 

Hawa : donc tu penses que moi Hawa je vais préparer pour cette chose là ? TU PENSES QUE JE CUISINE POUR TA FILLE ?

Mes larmes commencent à couler comme à chaque fois qu'elles commencent à se disputer. 

Coumba : SI C'EST TON TOUR DE FAIRE LA CUISINE TU LAISSES SA PART T'AS COMPRIS ? WALLAH HAWA T'ES TROP MÉCHANTE ET LA MÉCHANCETÉ ÇA NE SERT À RIEN. 

Hawa :  ET TOI TU ES JALOUSE DE MOI ET DE MES ENFANTS PARCEQU'ILS ONT DÉJÀ RÉUSSI LEUR VIE. Tu vois non Kadidia est en France et est marié,Gaoussou aussi est marie et il a tout ce qu'il veut,Hamza lui va bientôt finir ses études, Doussou même si elle n'étudie pas va aussi bientôt se marier et Mouna aussi va réussir mais toi ta satanée fille n'a même pas fait son Bac d'abord...

Coumba : elle va réussir son Bac cette année tu verras, Dieu ne dort pas. 

Ma belle sœur, la femme de Gaoussou et la bonne qui étaient alertées par les cries sont vite venus suivis de mon père aussi et après je vois Mouna qui entrait,elle  vient de l'école sûrement vue qu'elle porte son uniforme. Quand je retournais à la maison je l'ai cherché partout dans la cour du lycée mais je ne l'ai pas vue,c'est pourquoi je suis revenue avec Safiatou. 

Demba : vous voulez transformer ma maison en champ de bataille ?

Hawa : c'est pas moi mais c'est Coumba qui à commencé et comme toujours d'ailleurs. 

Coumba : Demba elle refuse de laisser la part de nourriture de Oumou et c'est pas la première fois qu'elle le fait. 

Hawa : t'as même pas honte de mentir....

Demba : RETOURNEZ TOUS DANS VOS CHAMBRES JE VEUX RIEN ENTENDRE. 

Je cours pour rejoindre la chambre en larme oubliant ma faim,putain je desteste cette maison mais Insha'Allah je ferrais de mon mieux pour réussir, je ne ferrais pas honte à ma mère Insha'Allah,ça n'arrivait jamais.