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L'idéal n'est pas le sexe
L'idéal n'est pas le sexe
Auteur: Sidoine Atanya

L'idéal n'est pas le sexe —Chapitre 1

Dans l'un des villages du Bénin précisément à Pobè  vivait dans ce village un jeune homme du nom RAHIMI. Il était le seul garçon de sa famille. Après lui, c'est sa sœur donc ils ne sont que deux pour leurs parents.  Les parents de Rahimi sont vraiment reconnus dans le village et en matière d'argent ils ne sont pas comparable à certains. Puisque le papa de Rahimi a investi  dans le palmarès. C'est-à -dire il vend en gros et en détail les noix de palme y compris l'huile de palme. 

Rahimi était un jeune intelligent, dynamique qui pratique l'islam tout comme ses ancêtres . Il était âgé de 25 ans.  Après l'obtention de son diplôme de Baccalauréat en série G3 son père lui propose de venir le suivre dans son commerce puisque après tout lui-même est voué au commerce. Donc le jeune a laissé ses études universitaires pour emboîter les pas de son père. Il est devenu le bras droit de son père, c'est lui qui dirige tout maintenant, concernant la vente, la livraison à domicile,  au marché et autre. On juge que son père  par lui. 

Un matin, quand il s'apprêtait à sortir pour faire quelques courses, sa mère dans la cours de leur maison  l'interpelle. 

— Mon chéri pourquoi tu es matinal où va tu ce beau matin ? 

— Bonjour mère 

— Bonjour mon garçon, où vas-tu de si tôt ? 

— Offerte j'ai une commande à passer puisque l'un de mes clients m'attend pour un transfert. 

— OK je vois mais tu travailles trop ces temps ci pourrais-tu pas un peu te reposer un temps soit peu. 

— Tu as raison mais faudrait que je donne le meilleur de moi même. 

— OK Mon chéri je te comprends mais tu sais que quelque chose te manque. Ou bien tu ne sais pas de quoi je parle. 

— Mère qu'est ce qui me manque j'ai de quoi me nourrir, subvenir à mes besoin, nourrir ma famille qui êtes vous mes parents. Donc je ne sais pas de quoi vous parlez. 

- Loin de là mon garçon, je parle pas de ça moi, reviens ici OK. Tu sais à ton âge comme tu as déjà de quoi te nourrir tu dois penser à fonder une famille digne de ton nom. Je parle bien sûr de ta propre petite famille hein. 

- Huuuuum maman toi aussi je savais que tu avais quelque chose derrière la tête le pourquoi tu m'as amadouer comme ça. Tu sais maman je suis encore très jeune pour fonder une famille, laisse moi un peu profité de la belle vie. 

— Je sais mais moi je veux voir mes petits enfants avant qu'il ne soit trop tard.

— OK mère t'inquiète tu auras les petits enfants mais tu veux pas encore mourir non. 

— Oui je veux devenir grand-mère jeune. 

— Maman arrête avec tes blagues la hein sinon je ne veux pas rire. Maintenant  est-ce que je peux partir?

— Oui mais je suis pas satisfaite de ta réponse et si cela tarde je vais moi même te cherché une bonne femme, tu sais que j'en suis capable non ? 

— Oui tu es capable mais laisse moi le temps de choisir moi même.

— D'accord c'est compris bonne traversée à toi et prend bien soin de toi mon coeur. 

— OK maman.

Rahimi fausse compagnie à sa mère. Maman Rahimi commença par parler en coeur " Comment à son âge il veut pas épousé une femme et fondé sa famille. Et tout cela c'est à cause de son père hein. Puisque papa Rahimi ne dit rien concernant cela,  pour lui c'est que le petit remplit son compte et autre. Il veut que l'enfant s'occupe uniquement de son travail, après cela le reste ne le regarde pas. D'ici peu de temps faudrait que je prenne la situation en main sinon papa RAHIMI ne fera rien à propos. 

Rahimi ne sait plus quoi fait pour satisfaire sa mère  Puisqu'elle ne cesse de lui mettre les bâtons dans la roue à cause de femme. Voilà qu'il n'est pas attiré par les filles de son âge. À mainte reprise, il a refusé de se marier à ses filles qui ne cessent de le tourmenter. Pour lui, il n'a pas encore trouvé la bonne personne. Sa mère lui a même fait des propositions de nombreuses filles, mais ce dernier refuse toujours. Il veut se marier avec celle que son coeur désire. 

Deux mois sont passés déjà, Rahimi n'a toujours pas choisi sa bien aimé. 

Dans un autre village voisin, vivaient une famille complexe qui n'avait que trois(3) enfants, deux filles et un garçon. L'aîné de la famille s'appelle Achabi. 

Achabi est une jeune fille très belle, elle possédait une beauté rare, elle ravageait tout sur son chemin, avec sa beauté elle pouvait avoir tous les hommes à ses pieds. Tout le village ne parle que de sa beauté car elle l'a hérité de sa mère. La voilà en âge de se marier comme toutes les jeunes filles de son âge. 

Un soir, le papa de Achabi l'interpelle pour lui demander un service. 

— Achabi vient s'il te plaît. 

Achabi vient au bout de cinq(05) minutes.

— Papa me voici,excuse moi j'étais entrain de faire le feu. 

— T'inquiète c'est rien tu sais ma fille demain matin tu ira chez ta tante Djemilatou pour me prendre un colis. Arrivé là bas tu lui transmet mes salutations les plus chaleureuses et dit lui que je vais passer le samedi si j'y vais pas au champ.

— OK père c'est compris, j'en manquerai pas, c'est tout papa? 

— Oui c'est tout pour l'instant. 

— OK papa  je vais profiter de l'occasion pour aller au marigot avant mon retour à la maison demain. 

— OK pas de soucis. 

Le lendemain très tôt le matin Achabi prends le chemin pour allez voir sa tante comme lui avait recommandé son père. 

 Au bout d'une marche de 2h environ elle est déjà chez sa tante. Sa tante qui la voyait déjà de loin vient à sa rencontre. 

— Bonne arrivée ma fille, quel  vent te conduire ici ce beau matin. C'est ton père qui t'a envoyé je parie. 

— Oui ma tante...

Elle n'avait pas encore terminé sa phrase quand sa tante la stoppa et lui fuit entré dans la maison. 

- Entre pour prendre une chaise et de l'eau pour apaiser ta soif car tu as fait un long voyage tu dois avoir surement soif.

Sa tante lui tend une chaise, elle s'assoit et puis prend de l'eau. 

— Maintenant parle moi ma chérie. Comment vas-tu ? 

— Ça va ma tante ,comme je vous le disais c'est mon père qui m'a envoyé récupérer un colis chez vous. 

—(Étonné) je pensais que le colis que ta sur toi est à moi. 

— Non ma tante je veux prendre par le marigot avant mon retour à la maison. 

— Oh je vois, attends moi je reviens. 

Au bout de quelques minutes sa tante revient et lui tend un colis. 

— OK merci ma tante. J'oubliais papa vous transmet ses salutations les plus chaleureuses et que lui même serait de passage le samedi s'il ne va pas au champ. 

— D'accord c'est compris. 

— Tante sans plus tarder je vais demander à partir puisque j'ai encore du chemin. 

— Oui ma fille, bon retour à toi et soit prudente. Bien de choses à ma famille de ma part. 

— OK tante à la prochaine. 

Achabi prend le chemin du retour avec ses colis chargés sur la tête. La voilà sur le chemin du marigot. Sur la voie qui mène vers le marigot elle voit de loin une camionnette qui bloque le passage, elle se demande comment elle va s'y prendre. Confuse mais continue sa marche jusqu'au niveau du camion. 

À peine elle voulut dépasser le camion qu'un voix l'interpelle. 

— S'il vous plaît demoiselle.

Étonné puisqu'elle n'avait vu personne quand elle s'approchait de la camionnette. Elle se retourne pour répondre timidement. 

— Oui vous avez appelé. 

Aussitôt déposé ses yeux sur la demoiselle il perdit sa langue. 

RAHIMI se met dans tous ces états , à sa vue il ne pouvait plus détourner son regard. Toutes ces pensées s'étaient envolés vers elle jusqu'au  point où, il se demandait s'il était vraiment sur pied et Il commença par se poser des questions :

-Qui es-tu jeune fille ? 

-Pourquoi m'as tu emporté juste par ton regard ? 

-Comment l'avoir pour moi seul ? 

  

À ces questions il n'arrivait pas à trouver des réponses. Pour lui c'est peut-être celle que son cœur réclamait. 

Achabi était toujours devant lui étonné de son comportement et le ramène sur terre. 

— Mais Mr vous m'avez appelé non. 

— Oui, excuse moi s'il te plaît ou allez vous jeune fille ? 

— Je vais au marigot. 

— Huuuuum n'as tu pas appris la nouvelle ? 

— De quoi parlez-vous Mr. 

— Pas plus tard qu'avant hier le chef du village a interdit l'accès au marigot sous prétexte qu'il y a des rituels à effectuer pour purifier l'eau. 

— OK je vois, merci à vous Mr, j'etais pas au courant .

- C'est rien princesse. Mais jamais auparavant je n'avais vu une si jolie princesse comme toi dans ce village hein. 

—  Vous avez raison, je suis du village voisin. 

— Oh je vois, mais quel vent vous amène ici ? 

 

Achabi lui narre la situation et le pourquoi elle voulait prendre par le marigot avant de rentrer à la maison. 

— Oh dommage pour vous.

— C'est rien, au revoir à vous et à la prochaine. Encore merci beaucoup à vous. 

Achabi s'apprêtait à quitter devant Rahimi quand celui-ci le retiens par la main. 

 - S'il vous plaît demoiselle, accordez-moi quelque instant de votre temps. C'est quel nom déjà si non moi c'est RAHIMI et vous ? 

—Mon nom c'est Achabi 

- Quel joli prénom, tu es tellement ravissante on dirait une sirène. Ta beauté a fait naître en moi le béguin de l'amour. J'ai eu une folle envie d'appartenir à ton monde. Tellement tu m'as embrouillé, je ne sais comment te le décrire seul mon coeur peut te le témoigner.

—Mais on vient à peine de se rencontrer . 

— C'est rien Cela ne change rien. 

— C'est quoi vous m'attendez ou quoi si non je ne vous comprends plus.

 —  Sans te mentir je suis tombé sur ton charme et je veux faire de toi ma reine, la seule qui détient la clef de mon cœur. Pourrais-tu m'accorder cette faveur ? 

—(souriante). Comment , on vient à peine de se connaître et tu me demandes une chose pareille ? Mais toi aussi. 

— OK je te comprends, belle Lady essaie de te mettre à ma place. Depuis longtemps mon cœur réclame une bonne fée jusqu'à cet instant où j'ai posé mes yeux sur toi. C'est toi que mon coeur réclamait depuis tout ce temps. S'il te plaît belle princesse comprends moi. À ta vue j'ai contacté des battements de coeur en moi le pourquoi j'avais pris une pause au début avant de reprendre mes esprits. Belle Lady, j'espère que vous me comprenez. 

—S'il vous plaît, je préfère mon nom"Achabi". 

—OK ! Demoiselle Achabi vous en pensez quoi de moi ? 

— OK je vous ai compris laissez moi le temps pour réfléchir. Maintenant je dois partir à la maison chargé la commission de ma tante a mon père. 

— OK à nos revoir princesse, j'espère vous revoir la prochaine fois. 

— Oui pas de soucis. 

Les deux se sont séparés et chacun pris la direction de sa maison. Sur le chemin, Rahimi pensait à Achabi . Il était en train de revivre la scène. Il pensait à sa manière de parler et autres et Il se demandait comment il allait faire pour conquérir le cœur de la fille.

Arriver à la maison Rahim était  vraiment fier d'avoir rencontré Achabi. Il était l'homme le plus heureux du monde entier. Il ne savait même pas comment exprimer sa joie. 

Les jours passaient ainsi que les semaines,RAHIMAN n'a pas eu des nouvelles de Achabi. 

Un mois passé déjà par de nouvelles d'Achabi. Rahim était  triste dans toutes ses dimensions . Resté une journée sans la voir de plus était devenu insupportable pour lui. Il passe toute sa journée à contempler le visage d'Achabi de loin qui lui manquait énormément. De plus en plus il devenait triste. 

 

La mère de Ramihi à fini par constater que son enfant avait une inquiétude en lui qu'il n'arrive à expliquer à personne. Elle est vraiment triste pour son fils tout comme une mère qui connaît la douleur de l'enfantement. 

Pendant une nuit Rahim sur son lit avait tout ces pensées tourné vers Achabi et se demandait comment faire pour la retrouver. C'est à cet instant même qu'il s'est rappelé qu'il avait oublié de demander l'adresse d'Achabi la dernière fois avant leur séparation. Il commença par se lamenter.

-Tcho ! comment retrouver l'élu de mon cœur ? 

-A qui vais-je demandé son adresse ? 

-Comment procéder ? 

Alors il décide de parcourir les maisons du village voisin pour retrouver sa bien aimé.

Il s'était endormi sur ces paroles. 

De l'autre côté dans la même nuit Achabi se souvient de son prince et se dit en coeur 

—" Es vraiment de l'amour que j'éprouve pour Rahimi ? Es qu'il m'aime comme il le prétend Si non normalement il serait déjà à ma recherche voilà que tel n'est pas le cas. Peut-être qu'il était juste de passage. Donc je dois mettre une croix sur celui-là et continuer ma vie paisiblement comme si de rien n'était. 

Au bout de ses réflexions,morphé (le Dieu Du sommeil) fut l'emporter très loin.

Très tôt le lendemain,Rahim décide de mettre son plan en exécution. Il voulait quitter son lit quand elle essaya de cogner la porte de sa chambre. 

— Qui est s'il vous plaît ? 

— C'est moi mon fils,me permet tu d'entré ? 

— Oui bien sûr mère, entre. 

— Merci mon fils, comment va tu et ce matin ? 

— Ça va mère et de ton côté ? 

— Ça va mon fils mais pas trop puisque mon coeur de mère ne me permet pas de voir mon enfant dans cet état. 

— De quel enfant parle tu mère ? 

— De toi bien sûr Rahimi, depuis quelque jours tu as l'air triste et cela me touche énormément de te voir ainsi. Qu'es qui ne va pas mon fils. Donne moi une bonne raison de ne pas m'inquiéter Si non je suis à bout.

— Maman tu n'as aucune raison de t'inquiéter je vais super bien juste que j'ai besoin de toi pour revoir certaines choses à mon niveau. Donc soit relaxe ma première femme.

— Es-tu sûr de ce que tu dis là ? 

— Oui mère compte sur moi, quand j'aurai un peu soucis tu serais toujours là première à être au courant OK. 

— OK Mon fils,si tu le dis, c'est pourquoi j'étais venu te voir et comme tout va bien je vais bien maintenant et je remercie Allah. 

—OK mère je suis ravie pour toi, tu aimes trop te fais de soucis pour moi. Je trouve cela normal mère mais tu dois pas t'inquiéter puisque tu as de grands enfants maintenant qui peuvent prendre leurs situation en main. 

— Je te comprends mon fils mais tend que je vis c'est mon devoir de veiller sur vous car vous êtes une partie de moi. 

—OK mère t'inquiète je vais même à côté pour une affaire là. 

—OK bonne traversé à toi et prend bien soin de toi. 

— OK merci mère. 

Après leurs discussions, sa mère prend congé de lui. Rahimi sort discrètement pour mettre son plan d'hier en exécution.

Le voilà dans la quatrième maison du village voisin sans aucune nouvelle qui pouvait le réjouir. Mais il n'abandonne point. Il continue sa marche avec plein d'espoir. Pour lui il doit retrouver sa bien aimé. Arrivée au niveau de la huitième maison. Il a toqué à la porte de l'entrée et quelqu'un lui a répondu. C'est une  petite fille âgée de 6 ans au plus qui lui répond,son nom c'est Peace. 

— Bonjour Monsieur, mais quel élégance. Je parie que vous êtes nouveau dans notre village. Soyez les bienvenus. Que puis-je pour vous ? 

—Oh merci petite princesse. S'il te plaît, je suis à la recherche d'une belle princesse comme toi. 

—Huumm moi belle princesse ?  Merci à vous Monsieur. Quel est son nom déjà ? 

— Elle s'appelle Achabi . As-tu une idée de qui ça peut être ? 

— Oui bien sûr. C'est Achabi  ALLASANE  à moins que je ne me trompe .

_  C'est Achabi mais je ne maîtrise pas trop son nom de famille. 

—Mais je crois que c'est telle car elle est la plus belle du village. Tout le monde parle d'elle. Elle fait même la "Une" de tout le village. Plus tard qu'hier les filles aux marigots parlaient d'elle et de sa beauté. D'autres désirent imiter sa démarche et sa manière de parler. On dirait même que je bavarde trop. D'ailleurs même pourquoi vous la cherchez ?

— Ne te sens pas gêné, j'aime bien les petites princesses comme toi. 

—Oh bon merci à vous. Vous cherchez pourquoi faire Mr ? 

— Oh ma petite chérie je veux juste faire d'elle ma femme. 

— Là je vois pourquoi vous êtes si élégant. Mais je peux vous raconter une petite histoire ? 

— Oui bien sûr si tu peux m'aider à la retrouver. 

— Ne vous inquiétez pas je sais où la trouvé. Vous savez, Achabi est comme une grande sœur pour moi. Elle a toujours été là pour moi et pour ma famille malgré qu'on n'est pas de la même religion. Elle est une Orpheline de mère depuis son bas âge. Elle détient la beauté de sa mère, c'est ce que m'a raconté ma mère. Elle a sûrement éduqué son frère et sa sœur avec l'aide de son père qui était toujours là pour ces enfants. Donc si vraiment tu la dédies tu dois avoir le comportement d'un Saint. Alors prenez soin d'elle si votre chance remporte. 

Peace répond à sa mère qui l'appel. 

— Oui maman j'arrive. 

— Je te dis de fermer le portail et de venir. D'ailleurs même qui est ? 

- Maman soit relaxe c'est juste un ami je viens déjà. 

Elle continue sa discussion avec Rahimi qui riait. 

— Excusez moi hein Mr ma mère n'est pas me voir seul au portail le pourquoi. 

— Je vois t'inquiète merci petite Princess. Et crois moi je veux faire du sérieux avec ta grand soeur OK. C'est promis. 

— OK. Sa maison est située sur l'autre Carrefour. Arrivée sur le carrefour troisième maison à gauche. 

— Merci beaucoup petite princesse. Je suis fier de t'avoir rencontré. 

— C'est  rien Mr. Tout le plaisir est pour moi. Bien de chose à grand soeur Achabi de ma part. 

— OK elle ne manquera pas . J'oubliais quel est ton nom de petite princesse ? 

— Moi c'est Peace BODEHOU.

— Hummm quel jolie prénom,j'aime bien ton nom. 

— Merci Mr et vous c'est quel nom s'il vous plaît ? 

— Moi c'est  Rahimi TOUKOUROU. Merci encore à toi princesse. Infiniment merci ma chérie Peace. 

— Cessez de me remercier. 

— Je te remercie pas mais tu es très intelligente et j'aime bien cette qualité . À présent, je dois te laisser faire. 

— OK pas de souci. Au revoir et bonne route. 

– OK bye. 

Après quelques marches, il a pu identifier la maison de Achabi. Il décide alors de pénétrer dans la maison.

Avant qu'il ne toque quelqu'un ouvrir le portail et à sa grande surprise c'était...

Qui c'était à votre avis ? 

Achabi elle-même, étonnée Achabi le trimballe un peu loin de la maison. Avant de reprendre ces esprits. 

— Mais bon sang tu veux me tué. Comment venir chez moi sans m'avertir. Je respecte beaucoup mes parents et je suis encore sous leurs commandements. Je ne devrais pas les manquer de respect. Venir chez moi me chercher est une manque de respect envers ma famille et envers même ma personne. D'ailleurs même quel est l'objet de ta visite. 

À ces mots Rahim était sincèrement désolé,et s'excusait.

— Ma jolie princesse, toutes mes excuses. Je suis vraiment désolé. Je voulais pas te verser et si je l'ai fait c'est par pas exprès. Je tiens beaucoup à m'excuser. 

— OK c'est compris. Je suis pas du genre à tenir dur OK. 

Achabi se dit dans son cœur " Vraiment il tient à moi hein sinon c'est hier j'ai parlé de lui et le voilà pointé devant moi aujourd'hui. Je rêve ou quoi ".

Rahimi reprit la parole. 

— Oui je le vois à travers ta personne. Tu sais ma belle Lady si je suis là c'est parce-que j'avais soif de te voir. Vraiment tu me manques. 

C'est vrai qu'il m'a aussi manqué puisque la dernière fois je me suis laissé emporter par son charme. Je ne saurais l'expliquer,c'est plus fort que moi. J'ai même passé des nuits blanches à penser à lui. Je ne peux pas lui avouer mes sentiments comme ça. Faudrait jouer un peu à la dure(Achabi).

— Humm.  T'es sérieux la. Comment as- tu eu soif de moi? Je ne veux même pas rire. 

- Ma chérie restée une journée sans te voir m'est insupportable ce pourquoi j'ai décidé de venir te chercher. Es que tu me comprends la. 

— Oui c'est compris Mais qui bien t'indiquer chez moi. 

— Ah j'oubliais c'est une petite princesse du nom Peace BODEHOU. Elle m'a beaucoup parlé de toi et me demande même de te saluer. 

— La je vois. Cette petite folle va finie par me tué un jours. Elle est comme une soeur pour moi. 

— Depuis la dernière fois je ne fais que pensé à toi je veux t'avoir comme ma femme. S'il te plaît ma chérie. Accepte moi s'il te plaît. 

—OK c'est compris. Donne moi encore quelques jours je vais en parler avec mes parents . Et je te reviens puisque je ne peux pas accepter une relation pareille sans l'avis de mes parents. 

— OK c'est compris Mais que ça ne soit pas lent sinon je vais claquer. 

— Ne t'inquiète pas, je te donne ma parole.A nos revoir donc. 

— Attends, comment vais-je te revoir la prochaine fois ? 

—Tu peux venir chez moi. Jusqu' à la prochaine fois que tu parles, j'aurai déjà discuté avec mes parents. Maintenant je dois te faussé compagnie car mon père m'attends au champs. 

— OK belle princesse. Prends bien soin de toi pour moi. À la prochaine.

— OK c'est compris. À la prochaine fois. 

— Je t'aime très fort ma princesse. 

— Pardon c'est bon à la prochaine. 

À suivre…

SIDOINE BDH

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