Les autres se sont changés dans des cabines puis nous avons trouvé des transats pour poser nos sacs. Moi j'avais déjà mon maillot sur moi. Fidèles à leur promesse, Liza et Aliz étendirent leurs serviettes et s'allongèrent pour bronzer. Quant à moi, je me précipitais avec les autres dans l'eau qui n'était ni chaude ni gelée. Au départ nous restions prêts des transats et nous nous éclaboussions mais l'eau n'arrivait qu'à ma taille. Lajos avait amené un matelas gonflable que nous avions mis dans l'eau et nous nous amusions à monter dessus et à sauter dans l'eau ou à nous faire renverser.
Levente et Adorján sortirent d'un coups de l'eau et sortirent de leur sacs deux pistolets à eaux que nous n'avions pas vu jusque là. Il rentrèrent dans l'eau pour les charger puis se dirigèrent vers Liza et Aliz qui étaient en pleine discutions avec des garçons en combinaison. Levente et Adorján les arrosè
J'avais quatorze ans et j'habitais dans une ville dans la banlieue parisienne. La France était mon pays préféré. J'adorais Paris, j'adorais la nourriture française, j'adorais la langue, j'adorais le parc du Luxembourg, j'adorais le parc Floral, j'adorais les musés, j'adorais la tour Eiffel, j'adorais le Disney land, j'aimais tous les petits détails. La seule chose qui m'énervait c'était la manie des français à arriver en retard. Moi, je détestais être en retard. Certains Youtoubeurs disaient que les français étaient mal élevés et de mauvaise humeur. Je trouvais que c'était entièrement faux. Tous les français que j'avais rencontré jusqu'à présents étaient bien élevés et prêts à aider. Quand on allait à Paris pour faire des courses avec ma m&e
Pour vous situer, nous étions un jeudi matin. Pas n'importe quel jeudi. C'était le dernier jeudi de cours. Il me restait cette semaine et j'étais enfin en vacances loin du stresse des contrôles et j'avais hâte.Pour une fois j'avais fait un effort et j'avais préparé mes vêtements du jour comme me l'avait conseillé tant de fois une fille de ma classe. Je me suis préparée en dix minutes et je me suis dirigée vers la cuisine où mon père avait préparé du pain. Ma mère partait tôt au travail et jusqu'à huit heures, il n'y avait que mon frère, mon père et moi.Noé mangeait des céréales devant la télé et mon père faisait la vaisselle. Je me suis servie à
Mon père m'avait expliqué que je devais être à l'aéroport deux heures avant et que la route durait environ une heure et demi. Je devais donc me lever quatre heures avant le départ de mon vol pour être sûr de l'avoir.A six heures, mon réveil sonna et je dû m'extirper du lit. Je n'avais pas faim donc je me suis juste habillée, peignée et brossée les dents.Mon père descendit mes valises dans la voiture pendant que je disais au revoir à ma mère.« Tu vas nous manquer mais amuses toi.-Vous allez me manquer aussi mais ne t'inquiète pas, je vais vous appeler tous les soirs.
J'ai discuté poliment avec ma cousine et ses parents le temps du voyage et ils ont décidé de m'emmener chez eux pour me donner à manger avant de me déposer à l'hôtel. Je devais avouer que c'était assez gentil de leur part. Mais j'étais horriblement mal à l'aise. J'avais l'impression que mon âme était détachée de mon corps.Leur maison avait été peinte en jaune récemment. Elle avait beau n'avoir qu'un seul étage, c'était la maison la plus décoré et la plus grande que je n'avais jamais vu. Il y avait un grillage marron très étrange qui entourait toute la maison et cette dernière possédait une terrasse immense en béton d'où on pouvait accéder à l'entrée.
C'était mon deuxième jour en Hongrie. J'avais très bien dormi cette nuit jusqu'à ce que des cauchemars ne me réveillent à trois heures du matin. Pourtant je ne faisais plus de cauchemars depuis quelques mois. Pendant quelques secondes je ne savais pas où j'étais et c'était assez terrifiant. J'avais pourtant réussi à me rendormir sans trop de problèmes et je me suis de nouveau levée à sept heures trente en pleine forme.Je suis descendues pour le petit-déjeuner et Zita m'attendait à la même table sauf que cette fois, elle ne m'avait pas pris de quoi manger. J'ai pris un bol que j'ai rempli de céréales et de lait et je me suis assise en face d'elle.« Bonjour...dis-je sur un ton qui ressemblait plus &ag
Je connaissais la route par cœur. Ce n'était pas très compliqué, je n'avais qu'à aller tout droit. Le grillage avec le chien, la maison grise et enfin... La sienne. Une magnifique maison orange et au toit rouge dont la terrasse était camouflée par un portail brun. Mais je savais ce qu'il y avait derrière ce portail. Tous les ans, mes parents le repeignaient pour que ça reste jolie.J'ai longé la maison et je suis entrée sur le terrain de foot qui se trouvait à côté. La maison et le terrain étaient séparés d'un seul grillage à travers lequel on voyait tout et qui comportait des fentes. Ce n'était pas celui où j'avais croisé Napsugár mais il lui ressemblait. Surface grise avec quatre paniers et deux cages de foot. Ce qu'elle avait en plus &
J'avais les paupières lourdes mais je ne pu me rendormir à cause de la lumière qui inondait la pièce à cause des volets que j'avais oublié de fermer. Je me suis donc levée et je me suis préparée lentement avant de descendre pour prendre mon petit déjeuner. J'ai opté pour une robe vu la chaleur qu'il faisait. Je mettais rarement de robes mais j'en avais trois que j'adorais. J'en avais deux bleues et une noir, j'ai pris la bleu la plus courte.Arrivée en bas des escaliers, je ne me suis pas dirigée vers la cantine mais je suis sortie. J'avais envie de manger quelque chose de sucrée dans un cukrázda ce matin. Je n'allais pas non plus partir trop loin pour éviter de me perdre.Je suis tombée sur un cukrázda dans les
Je suis restée plantée devant l'hôtel à réfléchir. Un rire me ramena vite sur terre. Je me suis retournée et je suis tombée nez à nez avec András.« Encore perdue?riait-il.-Figure toi que non... »Il arqua les sourcils dubitatif. Je n'aimais pas sa manière supérieur de me dévisager.« En es-tu sûr?insista András.-Parfaitement sûr ! Je viens tout juste d'être invitée à manger chez ma cousine. »Je ne savais pas pourquoi je lui avais tout avou&eac