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La caresse sur les fesses

I.

Luc et Meriam avaient installé des matelas près de la cheminée sur un beau tapis, des poufs venaient agrémentaient l’espace dédié à la décontraction et la luxure. La tête de Meriam reposait sur la poitrine de Luc. Ses cheveux châtains chatouillaient son menton. Luc caressait le sein de la jeune femme par le décolleté entrebâillé. Tous les deux chuchotaient, pourtant nul n’était susceptible de les entendre.

Meriam : Raconte moi un fantasme.

Luc : Si tu commençais par me dire en détail comment tu es habillée dans ce fantasme… Et puis je t’emmènerai à Reims

Meriam : Je porte un haut noir assez décolleté et un jean qui me fait de jolies fesses, des bottes noires en dessous… Un ensemble noir en dentelle…

Luc : Alors voilà, un jeune homme que tu avais rencontré sur internet t’avait invitée sur Reims. Disons que c’est moi, ce sera plus simple… Je t’ai promis une grosse surprise érotique… Ensemble nous avions convenu d’un modus operandi pour un « délice exquis »… Le jour est donc arrivé, et tu vas prendre de Strasbourg le train pour Reims. Tu portes un haut noir assez décolleté, un jean qui te fait de jolies fesses, des bottes noires en dessous… Un ensemble de lingerie noir en dentelle… Tu te dis que je devrais être sérieusement émoustillé rien qu’en sachant ce que tu portes… En plus tu sais que tu es mon type… Ensemble nous avons convenu de réserver une chambre d’hôtel, je te ferai un joli massage prolongé et après ce serait ton tour ? En attendant la surprise…

Meriam : Lorsque je descends du train, je n’ai pas le temps de te regarder… Tu es déjà en train de me bander les yeux.

Luc : Les passants sont un peu surpris mais comme tu ne hurles pas, ils voient que c’est un jeu…

Je commence par effleurer tes lèvres, deux, trois fois, puis quelques secondes se passent et j’appuie franchement et doucement mes lèvres sur les tiennes… Un peu surprise et décontenancée, finalement ce n’est pas désagréable, et tu entrouvres légèrement ta bouche… Et le baiser se fait plus profond… Je te prends par la main et te guide vers un petit hôtel près de la gare… Tu n’as encore jamais fait ça et tu es excitée…

Meriam : Derrière moi, tu montes l’escalier qui mène à la chambre et tu en profites pour me caresser les fesses…

Luc : Je te caresse les fesses et ça m’excite terriblement… Je te prends par la taille et t’immobilise dans l’escalier, te caresse sauvagement les fesses, te les presse, et j’en profite pour découvrir tes seins, leur galbe, leur douceur…

Nous entendons des pas dans l’escalier, bien vite je te prends par la main et te dirige vers la chambre, d’une main tremblante, je glisse la clé dans la serrure…

Meriam : Je suis très excitée mais un peu apeurée en même temps… Je ne sais à quoi m’attendre… Une fois dans la chambre, j’ai envie que tu me prennes sauvagement… Mais tu me fais languir… Le supplice du désir commence…

Luc : Donc tu as toujours les yeux bandés…

Je t’embrasse par à coups sur les lèvres, parfois ta bouche me cherche sans me trouver…

J’enlève ton pull et baise tes seins… Je contemple avec satisfaction ton joli soutien-gorge noir, je baisse la bretelle, embrasse ton épaule, ton cou, remonte vers tes oreilles, tu ploies contre moi…

Tu te sens humide de désir… Mes mains se glissent sous ton jean et caressent ton string en dentelle noire, la chair douce de tes fesses… Je déboutonne ton jean, le fais glisser le long de tes chevilles… Je m’agenouille et embrasse dévotement ton mont de vénus… Je te fais allonger doucement sur le lit, caresse tout ton corps avec des baisers explorateurs… Les yeux bandés tu ressens ça de manière très amplifiée… Tu m’embrasses. Je touche tes seins, les titille, les gobe avec ma langue, tu sens tes tétons durcir et tes jambes qui s’écartent comme pour m’inviter… Tu m’entends défaire mon jean, mon tee-shirt…

Nos respirations s’accélèrent, ma bouche vient tantôt s’écraser sur la tienne, tantôt goûter à tes lèvres ou alors les fuir quand tu les cherches… Et tu sens mon sexe qui durcit, tu le prends dans tes mains, le roules entre tes doigts comme un rouleau de printemps, tu m’allonges sur le ventre… Tu embrasses mes pectoraux, mes abdos qui frémissent… Tu me caresses, me prends en bouche, enserres de tes lèvres mon pénis roide… En ton pouvoir, je gémis… Je n’y tiens plus… Je te retourne sur le ventre, caresse tes fesses… Tu sens mon phallus qui les effleure et puis descendre vers ta chatte… Je commence à te pénétrer doucement, puis plus rapidement, plus profondément, tu me sens bien tout à l’intérieur de toi… Je me colle contre toi… Et puis je te ligote (encore te dis tu !)… Soudain, quelqu’un frappe à la porte… Deux coups puis silence un coup… Je me retire de toi sans ménagement… Je me lève pour ouvrir la porte… Tu m’entends discuter avec quelqu’un dont tu reconnais la voix… Jean-Baptiste. Frappée de stupeur, tu veux te débattre mais ce n’est pas possible !!

Et au fond ça t’excite !

Tu sens les mains de Jean-Baptiste venir sur ton corps, et puis ses lèvres comme dans tes rêves les plus fous. Il t’embrasse, tes lèvres, tes seins, tes fesses… Tu me sens aussi qui te caresse et t’embrasse partout, ça devient infernal, tu ne sais plus qui est qui ni même qui tu es, qui ressent quoi… Le pénis de Jean-Baptiste, différent du mien vient effleurer l’intérieur de tes cuisses, et te pénètre… Tu sens ma queue près de ta main, tu l’empoignes comme pour te rassurer et la caresses… Tu la portes à ta bouche comme un bébé suce son pouce.

Tu n’aurais pas cru vivre ça un jour… Jean-Baptiste rentre en toi et c’est divin, ton fantasme se réalise, une frustration se délivre, tu mouilles, tu mouilles… Jean-Baptiste te libère de tes liens, tu te mets à califourchon sur lui et fais pénétrer lentement son phallus en toi, par à coups, puis tu te relèves tout aussi lentement, et moi je te caresse, t’embrasse les seins, tu jouis, tu jouis de ces instants alors que tu coulisses autour de son pénis… Délice… Je passe derrière et te demande de bien t’allonger sur Jean-Baptiste, tu l’embrasses et lui aussi à qui mieux mieux. Tu tends ta croupe vers moi, tes fesses que je caresse de ma bite humide de ta cyprine et tu la sens qui vient vers tes fesses qui commencent à titiller ta « petite porte » et tu joues avec mon membre dur, tu tournes ton bassin et le laisse se faire une petite place dans tes fesses tandis que ton vagin tout entier est occupé par le pénis de Jean-Baptiste. Ma queue est rentrée un petit peu, la sensation est encore inhabituelle… c’est très lent, et après une incertitude, tu continues de jouer et d’accepter mon phallus qui continue de s’enfoncer…… dans tes fesses…

Meriam : Quelle volupté.

Le silence se fit.

Meriam embrassa langoureusement Luc.

Luc avait déboutonné entièrement le chemisier blanc de la jeune femme et baisait ses seins laiteux. Elle ferma les yeux. Les lèvres du jeune homme remontèrent vers son cou puis ses lèvres. Ils s’enlacèrent et s’imbriquèrent. Mériam déboutonna la braguette pour mieux sentir le vit. Elle passa la main sous le boxer et le caressa. Celui-ci ne demandait qu’à sortir. L’impudente baissa le pantalon et le boxer et prit entre ses lèvre le pénis qui ne demandait que ça. Luc la laissa faire et s’étendit bien confortablement sur le dos, abandonné. Il était bien dur. Luc se redressa et commença à caresser la croupe habillée d’une jupe noire de Meriam. Il passa la main sous la jupe pour sentir la naissance des bas, sensation qu’il adorait. Il se positionna derrière elle pour mieux la coller, la caresser et lui retrousser la jupe. Sensible à l’intention de son amant, Meriam feignit de regimber et souffla : « Non, pas comme ça. » Tout en embrassant son complice.

« Mets toi à quatre patte s’il te plait, j’ai envie de baiser tes fesses » Meriam, dans cette position était très excitée, elle se trouvait tout à la fois impuissante ou presque sur la suite des événements mais dans l’attente fiévreuse de caresses étourdissantes.

Luc retroussa entièrement la jupe de la jeune femme sans la défaire, ça devait lui plaire de la prendre comme ça. Il se régala de la vision du tanga violet qui ornait les fesses blanches de sa collègue et amie. Il caressa le postérieur voluptueux tout en passant ses mains sous le tissu coquin, caressa la chatte offerte déjà émue par ces attentions et certainement l’excitation qui pointait. Meriam soupira, gémit et tendit son postérieur vers Luc qui commença à baisser le tanga. La fille impatiente tendit les deux jambes alternativement pour lui faciliter la tâche et ainsi lever l’obstacle. Il revint vers les lunes blanches désormais nues qu’il embrassa et gourmanda. Il la mangeait comme un affamé et ordre était donné à Meriam de ne pas bouger, juste apprécier cet assaut sur cette partie ô combien pulpeuse de son corps. Inclinée comme si elle était en prière musulmane, la tête dans ses bras, elle jouissait de plaisir. Les lèvres de son amant affolaient la chair blanche de son cul, exploraient le pourtour de son anus, le bouffait, les doigts s’introduisaient tour à tour de façon douce ou insistante dans sa grotte humide. Meriam geignait au même rythme que les intrusions salaces de son coquin. Puis elle sentit le membre certes gonflé mais pas encore tout à fait raide de son amant heurter la chair de ses fesses. Elle tendit la main pour le prendre en main et le branler. Point trop besoin d’en faire, le gaillard était prêt. Un premier doigt de Luc ausculta son anus qui s’ouvrit. Première onde de plaisir. Puis un deuxième doigt, elle souffla. Va et vient indécent de ces dextres qui l’emballaient ainsi sans la moindre retenue, index qui fouaille sa chatte et caresse son clitoris. Meriam ne se reconnaît plus. Elle gémit. Puis la salive de Luc sur son cul. Elle tend son postérieur vers le ciel. Luc appuya sa queue sur son anus, et commença de faire jouer son poids pour se frayer une entrée. Elle gémit d’attente, et de douleur à supporter. Il s’enfonça puissamment mais lui laissa le temps de récupérer. C’était bon, il la prenait comme elle le souhaitait. La chair de son pénis emplissait et frottait contre les parois de son cul, c’était délicieux. Elle s’extasiait, elle sentait et vibrait du moindre gonflement de son pénis, du moindre mouvement. Elle criait, elle ne savait plus. Elle disait sûrement n’importe quoi. Ses mains appuyées sur sa croupe ou qui fouettaient sa chair faible et dépravée. La bite remplissait son cul et son esprit, du fait de son mouvement de piston lubrique, démoniaque qui l’emmenaient dans des tours de plaisirs. Plaisir indicible. Les yeux fermés, Luc accélère et tient les cheveux de la jeune femme pendant qu’il l’encule. Celle-ci encourage les assauts avec des gémissements. Le gland qui gonfle, la racine de la bite qui se tend, elle est au bord de la jouissance, elle le veut qui explose là, ô plaisir de la sensation vécue et fantasmée à la fois. Luc veut se retenir pour goûter encore son cul quelques secondes mais ne peut plus, la chair, sa queue l’entraîne, le pousse au fond et à fond, il explose, éjacule. Meriam se contracte en même temps pour être balayée par cette explosion de sperme qui la baigne en ce lieu interdit.

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