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Dans la peau de Dana Sexy

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(love affairs non classées, la vérité est ici)

Dans la peau de Dana Sexy :

Depuis quelques temps quelque chose me trouble entre Fox Harder et moi… Il y a quelques jours, nous avons terminé une mission très difficile et je dois dire je ne sais pas si elle tenait plus de la réalité que du cauchemar pur et simple.

C’est le soir, Dana écrit son journal, comme elle le fait méticuleusement pour déverser le trop plein d’horreur et d’excitation qu’elle vit pendant la journée. Elle vient de prendre un bain chaud. Détendue, une serviette orange sur la tête, une autre rose passée autour du torse qui enlace ses seins voluptueux. La lampe sur le petit bureau en bois d’acajou éclaire son visage d’une douceur intime.

Cette mission, nous l’appelons maintenant « l’affaire Frankenstein », une affaire qui m’a prise totalement au dépourvu et qui dépasse la réalité. Comme d’habitude, je travaillais à la morgue et je respirais avec délice les odeurs de formol tandis que je découpais le cadavre que Fox m’avait demandé d’examiner. Selon lui, ce cadavre abritait quelque substance inconnue. Le matin, alors que nous sommes de plus en plus proches, nous ne nous étions serrés que la main… bref donc ce matin là, il m’avait donné ses instructions…

La jambe lissée à la cire orientale de Dana s’agite. la serviette, en même temps qu’elle écrit, se relâche un petit peu laissant apparaître la chair des mamelons marmoréens. Ses lèvres esquissent une moue boudeuse et des rides sur le front se forment fugitivement.

Ce cadavre était vraiment repoussant, formé de chairs recousues au fil barbelé… j’imaginais un court instant Osiris recousu ainsi par sa sœur Isis : le pauvre parfois, il vaut mieux ne pas ressusciter… bref… je pris ma scie électrique et commençai de le découper… je ne sais pas pourquoi, je regardai son visage tuméfié… Il ouvrit d’un coup les yeux et poussa un hurlement silencieux !

En même temps que Dana Sexy se remémore ses détails, son corps se tend et s’agite, sa main et son bras, son épaule semblent pressés de finir d’évoquer cette funeste histoire. A tel point que la serviette glisse sur ses belles hanches de femme un peu ronde et qu’elle n’y prend garde. A moitié nue et ouverte comme une corolle, elle continue d’écrire.

Comme sorti tout droit du noir territoire d’Hadès, il me prit dans ses bras (mon pauvre tailleur Prada tout neuf) et là tout ne fut que confusion, tourbillon de sensations, que se passa-t-il au juste, mon esprit de scientifique ne peut l’expliquer… Tout ce que je peux dire, c’est que je vis des paysages défiler et que je me retrouvai en antarctique, grelottante de froid… Peut-être est-ce la différence entre le temps psychologique et le temps réel… Mais alors il me faut admettre que Frankenstein en me fixant du regard provoqua en moi un état de transe hypnotique…

La main droite de Dana à l’évocation du drame, caresse ses seins, comme un geste familier pour se réchauffer ou se rassurer. Un peu inconsciente de ses sensations physiques, les globes s’épanouissent sous sa main et les tétons durcissent. En même temps, ses cuisses posées l’une sur l’autre entrebâillent la serviette rose.

Finalement je me retrouvai dans une espèce de cave métallique sous la glace qui avait tout d’une salle de chirurgie. Quelle sombre histoire s’était déroulée dans ce lieu sinistre ? Des coulées de sang parcouraient le sol jusqu’à la table d’opération, il faisait chaud mais j’étais prise de tremblements ; Frankenstein, muet, semblait décidé à me faire vivre les pires horreurs jusqu’à ma mort.

Sa main parcourt la chair sensible de son ventre, elle la passe entre ses cuisses, tout à fait consciente de ce qu’elle fait et du plaisir qui monte en elle, la serviette tombe. Elle titille délicatement son mont des délices en même temps qu’elle écrit. Sa grotte soyeuse s’humidifie progressivement, elle fait pénétrer son index dans son sexe et s’appuie le dos sur la chaise, les jambes écartées.

J’étais terrifiée, je lui donnai bien un coup de pied aux parties, mais je me rendis compte qu’il n’avait plus de queue ! Il me ligote nue sur la table d’opération, et je le vois qui rapproche de moi un bistouri tout rouillé, j’hurle, je panique ! J’entends une explosion dans le fond de la pièce.

Dana se caresse doucement les seins, elle effleure en cercles concentriques son mont des délices, sa rose s’ouvre petit à petit, elle sent la cyprine venir sur la pulpe de ses doigts. Des frissons de plaisir l’envahissent.

Au moment où sa lame va taillader mon corps, sa tête explose d’une balle, Fox me crie : « Dana, c’est fini ! » il me libère, me prend dans ses bras et m’entoure rapidement d’une couverture de survie. Les commandos du FBI pullulent comme des fourmis. Puis Fox rapidement commence à fouiller la pièce à la recherche d’indices paranormaux. Je me sens seule. Plus tard, j’apprends que Fox avait fait appel à un voyant pour me retrouver.

Dana pose son stylo plume. Elle effleure, presse ses seins, elle râle. Son corps se tend, ses doigts fouillent son sexe fiévreusement. Elle promène ses mains de manière irrégulière à la recherche de l’onde de plaisir… Quand elle la découvre, les yeux clos, elle la fait enfler grâce à ses doigts agiles… Elle presse ses seins, les mouille de sa cyprine, ses tétons durcissent, elle gémit, se libère. Elle pense à Fox qui se refuse à elle, elle enfonce deux doigts dans sa boîte à délices, comme c’est bon. Elle râle d’imaginer le désir de son Fox pour elle. Elle a envie de ses baisers sur la peau de ses cuisses, dans le creux de ses hanches, sa bouche goulue sur ses seins. Dana a envie qu’il boive à sa source qu’il la fasse défaillir d’excitation, de plaisir et de désir. Désir de son sexe bien dur. Dana gémit et se cambre sur sa chaise, elle enfonce et fait aller et venir ses doigts dans sa chatte, le plaisir monte en ondes de plus en plus fortes.

Elle voit le visage de son coéquipier tout près d’elle, ses mains, ses lèvres qui lui font tout ce dont elle meurt d’envie. Son pénis qui la pénètre. Dana abandonne toute retenue, elle se caresse délicatement le pourtour de l’anus de son doigt mouillé, joue avec la résistance, la sensation. Elle enfonce son doigt doucement, le plaisir vient en un point et ricoche en un autre, elle a rarement senti une telle envie en elle, comme un barrage immense qui est sur le point de céder. Simultanément, elle émoustille son vagin, elle sent frémir sa grotte humide, le désir, s’amplifier. Elle accélère le mouvement conjoint des deux mains. Elle est près de l’orgasme dans cette double pénétration affolante. Et Fox qui la baise comme jamais avec sa bite qui insiste dans son cul, sa belle verge qui la rend folle, qui la rend toute eau comme la margelle d’une fontaine qui déborde. Elle râle, elle n’en peut plus, mais se contient jusqu’à l’extrême limite de sa résistance et les doigts de Fox qui viennent caresser son clitoris. Elle jouit, elle explose, elle ruisselle. Le sperme de Fox vient l’inonder dans une explosion finale.

Pantelante, elle goûte sa cyprine, la déguste et sourit…

Affalée sur sa chaise, elle pense à Fox et mime un baiser dans l’air.

Dans la peau de Fox Ardeur

Dans la peau de Fox Ardeur :

La poignée de la porte tourne dans l’appartement encore obscur. Fox Ardeur entre dégoulinant de sueur. Il vient de disputer une partie de basket acharnée, un 3 contre 3. Il a fait briller son shoot à 3 points mais surtout il a pris plaisir à ceinturer ou bloquer ses adversaires à qui mieux mieux. Il avait une telle dose d’énergie en lui qu’il n’arrivait pas à libérer. Il déambule rapidement dans la cuisine et mange une banane, le regard un peu dans le vide. Il est lessivé aussi bien physiquement que mentalement. Professionnellement ou pour tout dire personnellement, ça bloque complètement.

Dana Sexy l’obsède.

Depuis quelque temps, il ressent des vibrations bizarres entre eux deux, des non-dits, des choses inexpliquées. Inévitablement, les histoires peu communes qu’ils ont vécu, les situations de vies ou de mort les poussent à créer un lien particulier. Il continue d’avaler sa banane, morceaux par morceaux, une main appuyée sur sa cuisine américaine où des cadavres non digérés de pizza Hut finissent de se décomposer. Le néon blanc du plafond dessine sa silhouette longiligne et musclée. Indéniablement, quelque chose de magnétique émane de sa personne, de profondément touchant. Peut-être une fragilité invisible, une faille en est la cause.

Il enlève son débardeur et le lance d’un geste de basketteur dans son panier de linges sales.

Dans la salle de bain, le grand miroir lui renvoie l’image d’un beau mec musclé au visage hâve, pas rasé depuis trois jours. Il passe une main rapide sur son ventre pour se rassurer sur l’état de ses abdos. Puis ses doigts palpent ses hanches histoire de lui confirmer que les poignées d’amour, ce n’est pas pour demain. Il se tourne de trois quarts et regarde ses fesses musclées et bien rondes. Sous le jet dru de l’eau chaude, il savonne la grosse éponge rose moelleuse. Le gel mousse, il passe la fleur de bain sur tout son corps, le long des muscles doux en dessous de ses aisselles, sur son ventre. Il ferme les yeux, voit le regard bleu profond de Dana Sexy. Ses lèvres pulpeuses au rouge à lèvres irrésistible. Il s’enivre de la vision de ses tailleurs stricts mais aux décolletés prometteurs. Sa main gauche caresse son pénis pendant que la droite parcourt, caresse son corps. Sa bite durcit, se tend, il imprime un large et doux mouvement de va et vient. Il sent la chaleur monter. Dana, sans le haut de son tailleur, un soutien gorge noir transparent en dentelle avec des motifs brodés. Ses tétons qui transparaissent. Elle le regarde, l’appelle, le boit du regard. Elle prend son phallus délicatement dans ses mains aux ongles manucurés rouges. Quel délice. Sous l’eau chaude, le son des gouttes qui tombent, l’odeur du gel, tout commence à l’exciter, l’exalter. Son membre grandit entre ses mains. Son prépuce ne recouvre plus son gland, il passe délicatement ses doigts dessus, se titille. Il gémit en sourdine, il sent la chair de son corps se détendre, cette chaleur lui fait du bien mais il ne veut pas aller jusqu’au bout. Il arrête le robinet, s’essuie lascivement et pensivement avec un sourire triste.

Parfois, il aimerait faire comprendre à Dana qu’il a envie d’elle. Qu’il en a mal d’avoir envie d’elle, qu’il aimerait enfouir sa tête dans son décolleté, caresser le string violet qu’une fois il a vu dépasser, embrasser ses lèvres parfois si tentantes comme une fraise mûre. Il a peur de la perdre, de casser quelque chose, peur de l’irréversible.

Il s’habille d’un boxer noir et d’un short, enfile un tee-shirt sans manches, à la célèbre virgule, gris. Sur le bureau, il saisit un dossier qui récapitule les détails de l’affaire Frankenstein. La résurrection du « mort », la méthode employée pour retrouver Dana et Frankenstein. Il a vraiment eu très peur lors de cette affaire. Plus qu’il ne l’a laissé paraître à Dana. Beaucoup plus. Il sait que le trouble qui s’est mis entre eux deux sur le strict plan de l’efficacité professionnelle n’est pas bon du tout. En danger de mort, il faut qu’il y ait une totale symbiose entre les 2 coéquipiers, la moindre interférence, empoisonnement de l’esprit peuvent s’avérer fatals, en ralentissant une réaction ou en ayant un comportement inadapté. Plus il réfléchit et moins il sait comment faire. Il pose sa tête sur le haut du canapé en cuir, regarde le plafond et soupire. Quelqu’un à sa porte frappe légèrement. Il se lève et va ouvrir.

Face à lui, se tient Dana Sexy. Elle plante un regard brillant dans ses yeux. Il n’est pas vraiment surpris, ils ont l’habitude de se toquer souvent à la porte lors de leurs nuits où le sommeil fuit. Pourtant lorsqu’ils se regardent, un frisson lui parcourt l’échine.

— Entre.

Dana rentre puis se retourne vers lui :

— il faut qu’on discute.

Ses cheveux roux qui encadrent son visage de lait au yeux bleus scintillent. Elle poursuit :

« J’ai l’impression qu’en ce moment, il y a beaucoup de non-dits entre nous, de choses que nous n’arrivons pas à exprimer… Es tu d’accord ?

–… Oui notre relation est moins claire…

— Tu sais, nous formons une paire et pour bien fonctionner, nous avons besoin de communiquer. Dans notre cas, c’est une question de survie.

— Tu veux une tasse de café ? »lui demande Fox Ardeur en guise de réponse.

Comme elle lui fait peur en cet instant. Il craint son esprit d’analyse aussi coupant qu’un rasoir. Il a l’impression qu’elle ne laisse pas la parole aux sentiments alors que lui est un sentimental tourmenté. Irrationnel et pourtant logique. Il la craint. Peur d’être blessé, foulé aux pieds.

« Fox, je pense qu’il y a quelque chose de bloqué entre nous… Et qu’il faut l’exprimer. »

Elle s’est assise sur le canapé, elle lisse sa jupe fendue. Il s’est assis à ses côtés. En même temps il savoure cette familiarité indéniable qui existe entre eux. Il lorgne avec un délice frustré son décolleté. Ce soir soutien-gorge bleu. Rondeurs laiteuses et sensuelles.

Il dit :

— Oui, j’en suis conscient et je t’avoue, je ne sais que faire… Que proposes tu ?

— Hé bien étant donné que nous fonctionnons comme une paire soudée, j’ai pensé à une amie, Lilou, qui fait des thérapies de couple. »

Elle se penche vers lui et ses lèvres, si près, lui semblent bien tentantes. Il recule légèrement.

— Une thérapie de couple ? Il sourit, interloqué et ironique.

— Euh je n’avais pas envisagé les choses sous cet angle. Es-tu sure que ce soit la solution adéquate ? Malin, Fox essaye de sonder Dana sur ses pensées, ses réelles motivations sans se dévoiler, lui.

« Je ne sais pas si c’est la bonne solution mais je suis sûre que Lilou saura faire émerger les choses entre nous qui polluent notre relation. » En disant cela, il croit voir filer sur son visage comme une ombre de lassitude.

« D’accord, si tu estimes que cela va être bénéfique » Finalement ils ont réussi à ne pas se dévoiler, amère réussite.

Ils continuent de papoter de choses et d’autres mais en évitant soigneusement de parler du « problème », préférant se réserver pour la fameuse thérapie pour laquelle ils sentent déjà de l’impatience. Ils finissent par prendre congé et son parfum flotte dans le salon.

Dans la peau de Lilou, la psy pour couple.

Dans la peau de Lilou :

Le radio-réveil fait entendre sa musique. Dans le brouillard, je tâtonne à la recherche du funeste objet. Voilà, c’est arrêté. A côté de moi, je sens le corps chaud de mon aimé. Après tant d’appels au loin, le voilà enfin. Je ne bouge pas et savoure ce moment. Immobile, un peu de côté sur le ventre, ma longue chevelure brune d’orientale caresse le bas de mon dos. Mes seins amples et fermes se pressent doucement contre le lit, le rebord du drap caresse le haut de mes fesses voluptueuses. Mes yeux badins admirent mon amoureux dans la semi-obscurité. Je sens ma chatte encore humide de nos ébats de cette nuit. Certaines nuit, il ne sait pas très bien pourquoi, il se réveille dans un état un peu second avec une envie de faire l’amour et l’érection qui l’accompagne, énorme. « le dormeur du val » s’éveille comme il dit. Dans ces moments là où il est lui tout en étant autre, il est d’une sensualité, d’une sexualité qui sue par toutes les pores de ses mains, de ses lèvres, de tout son corps. J’ai appris à reconnaître ces états quand il me réveille la nuit, et je jouis d’avance de ce qui va se passer. Oh ces moments là ne sont pas vraiment tendres mais quelle vigueur ! j’en salive encore intérieurement à l’évocation de ces moments sauvages. Je passe une main sur ses fesses rebondies et douces, il frémit et fredonne mon nom doucement.

Je finis par me lever et me dirige vers la salle de bain qui est en accès direct vers notre chambre. J’aime bien me lever tôt en avance pour m’apprêter comme j’aime. Je fais couler l’eau dans la baignoire en forme d’hexagone que nous avons installée. Pendant que l’eau coule, je me brosse soigneusement les dents, toute nue.

Je pénètre dans le bain, je saisis la fleur de bain violette et la passe sur mes belles jambes douces un peu rondes. Puis je m’allonge dans la baignoire. Dans le grand miroir, je vois que mon Étranger à moi me zyeute attentivement par la porte entrebâillée. Je lui souris et lui tire un peu la langue… il adore… N’y tenant pas, il me rejoint dans la baignoire. je continue de me laver soigneusement, son regard sur moi rendant encore plus sensuels chacun de mes gestes. J’ai l’impression de participer à un ballet. Je « joue » avec mes seins pour lui faire plaisir. Je sors du bain, m’essuie et passe dans notre chambre. Je suis nue et je sais qu’il me trouve magnifique comme ça. Je farfouille dans l’armoire et trouve un porte-jarretelles noir avec les bas. Un peu plus loin, je trouve le tanga en dentelle transparente. Je file dans la salle de bain et me ceins avec des gestes lents et précis, accroche les bas aux agrafes, les lisse le long de mes jambes. Je juge de l’effet dans le miroir, je suis parfaite. Je surprends le regard brillant de mon amoureux aux yeux bleus, posé sur moi. Je mets mon tanga bien échancré sur les hanches par-dessus.

Je suis humide de sensualité. Mon chéri me caresse doucement les hanches par derrière. Nous nous regardons par le biais du reflet. Il me prend les seins, les malmène gentiment. Sa main effleure mon ventre. Un bref instant, garce que je suis, j’imagine le nombre d’hommes qui aimeraient être à sa place. Y penser me rend encore plus braise. Je me cambre contre son phallus qui est déjà tout dur. Il me caresse partout, me parcourt de son souffle chaud dans le cou, le long de ma colonne vertébrale… Ses mains entreprenantes m’auscultent… Il me caresse à travers mon tanga, mes lèvres sont humides, mon sexe ouvert ; je suinte, il me fait vibrer comme une corde fixée à un Luth.

Il écarte mes cuisses et les parois de mon tanga, je sens sa hampe large et fière à l’entrée de ma chatte. Je m’appuie dessus et le fais rentrer en moi. Ses hanches, son torse se collent à moi, m’enveloppent, en même temps il me prend les seins dans ses mains. Il bouge légèrement en moi. Son pénis tout dur m’emplit, touche mes zones de plaisir. Je gémis. Et je m’assieds de plus en plus sur son sexe. Là comme ça… Je me désengage lentement et sensuellement le long de sa queue imprégnée de ma suavité… Et je prends en bouche son pénis… Voilà il est au maximum de sa vigueur. Je le regarde et l’entraîne vers la chambre et notre lit bas japonais. Il sait ce que je veux, il se met tranquillement en tailleur, le sexe bien dressé… Je l’entoure de mes cuisses et de mes mollets qui se pressent contre son dos et je descends en même temps très doucement le long de sa bite, tout autour en contractant mes muscles pelviens. Il gémit… Il m’appartient… Je remonte… Divine sensation… Je redescends, ne pas me précipiter sinon il va jouir trop vite… Ses mains se promènent sur mes hanches, glissent sur mon dos, serrent mes belles fesses qu’il adore « prendre », la chaleur monte entre nous comme une onde… Je me presse contre lui, et nous nous embrassons avec tellement d’amour, de plaisir… Il est à la limite, il respire fort pour se contrôler… J’accélère le rythme, j’ondoie un peu des hanches… Mon plaisir grandit, enfle, me déborde… Nous explosons ensemble, son foutre jaillit… Je le dégorge, le dégorge en moi. Délice supérieur pour la gourmande que je suis, il s’affale épuisé contre moi.

Après ces agapes, je m’habille très rapidement, et saute dans ma voiture.

La cigarette aux lèvres, j’écoute un morceau de gnawi, musique traditionnelle algérienne que j’adore, elle convient très bien à mon humeur sensuelle et à fleur de peau du moment. Je sens encore en moi le sperme chaud de mon amant. L’Algérie en ce moment est bien loin : ici je fais tout ce dont j’ai envie ou presque.

Mon cabinet de psychologie. La journée promet d’être longue. En fin d’après-midi, je reçois mon amie Dana Sexy et son collègue Fox Ardeur. Depuis le temps qu’elle me parle sans même s’en rendre compte des difficultés amoureuses de sa relation avec son collègue, je sais déjà ce qu’il se passe. Je suis curieuse de voir son beau brun. Voilà nous y sommes.

La fin d’après-midi place le psychologue parfois dans une sorte de clairvoyance tranquille… On écoute les personnes et on les comprend sans efforts, c’est comme si après de multiples rendez-vous, on arrive à se connecter sur leurs esprits et surtout à voir leurs points de blocages que ce soit individuels ou relationnels. Donc j’écoute Dana et Fox me raconter à mots couverts la réalité de leur relation. Jamais ils n’emploieront directement les mots « amour », « désir », « frustration », ou même « peur »… Pourtant il n’est pas difficile de voir ces émotions qui tournoient autour d’eux et qu’ils n’arrivent pas à libérer. Dana avec sa volonté de tout expliquer rationnellement, de tout maîtriser, présente le comportement type de quelqu’un qui n’a pas encore tout à fait dépassé le stade anal que l’on décrit dans le complexe d’Œdipe. Bien sûr ce n’est qu’une grille de lecture mais qui donne de bons points de repères. Quant à Fox, en me racontant l’enlèvement de sa sœur par des extraterrestres, il est clair qu’il souffre d’un complexe d’abandon c’est-à-dire la peur d’être abandonné.

Ce complexe le ligote et l’empêche de prendre le risque d’avouer tout son désir de Dana, qui fait pourtant littéralement vibrer toute la pièce. Cette antinomie entre l’une qui veut tout maîtriser et l’autre qui a peur d’être abandonné ne favorise évidemment pas l’éclosion de leur relation amoureuse et sexuelle. Comment leur faire comprendre sans provoquer leurs résistances ?

Cependant je vais utiliser leur souffrance pour les motiver dans la direction du changement que tout leur être appelle. Je leur dis que leur « problème » n’est pas superficiel qu’il concerne les couches les plus profondes de leur être émotionnel, affectif et… je laisse traîner un silence, je dis « physique ». Tous les deux à ce dernier mot sont légèrement gênés mais ne protestent pas. Voilà j’ai gagné. Et je leur dis que dans ces conditions, pour faire éclore tout le potentiel profond de leur relation, je vais les confier à une amie, une prêtresse tantrique qui saura les amener en douceur vers leur voie… Mais j’ajoute qu’ils doivent être prêt à tout sans rechigner, ils font semblant de devoir prendre sur eux pour approuver mais en réalité ils sont bien soulagés. J’en souris en moi-même. Nous nous quittons et je sais que Dana me tiendra au courant. Leurs épaules déjà se redressent, comme si une partie du poids s’était enlevé.

Tantrisme sexuel.

En même temps qu’elle passe ses doigts dans les pots d’onguents, Scintilla se remémore son parcours initiatique. Elle revoit les magnifiques rives de l’Oubangui en Centrafrique, les pirogues sur le fleuve… Son Afrique noire qu’elle aime tant… les épices, les parfums forts, la chaleur, les sensations physiques sont omniprésentes en Afrique… ses amants aux corps souples et musclés qui l’initient à sa sensualité… cependant contrairement à beaucoup, elle cherchera à approfondir ce plaisir qui la mène aux portes de l’indicible… Venant d’une famille riche, elle décide de partir en Inde découvrir le tantrisme… Elle revoit avec plaisir ses différents initiateurs et initiatrices, qui lui ont ouvert les différentes portes du plaisir, comme des pétales qui s’ouvrent… Les belles indiennes aux cheveux soyeux qui défont leur sari et l’initient aux caresses voluptueuses… Elle se souvient de seins amples, de tétons bruns qu’elle découvrait avec avidité, elle se souvient…

Elle passe doucement un onguent sur ses doigts puis caresse délicatement ses seins, elle en épouse doucement le pourtour, de manière à ce qu’il pénètre bien la chair. Ses seins sous l’action de l’onguent chauffent et se raffermissent. Elle sent la chaleur se répandre dans son corps. Tout en se regardant dans sa pyché, elle se passe ainsi différents onguents qui vont préparer et parfumer son corps.

Elle dessine le contour de ses sourcils, fait briller la peau de son visage grâce à de l’eau précieuse. Un rouge à lèvre et du gloss pour rendre encore plus pulpeuses ces lèvres. Finalement elle passe son habit de cérémonie, inspiré des reines égyptiennes.

Une robe de tulle transparente, qui dessine bien les hanches, très décolletée, légère et sensuelle, douce comme une caresse. De cette manière grâce au jeu des lumières, son corps se dévoile autant qu’il se cache.

Dana Sexy avait reçu le carton d’initiation pour la cérémonie tantrique. Une voiture passerait la prendre le soir. Elle ne sait pas à quoi s’attendre, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle est nerveuse mais en même temps remplie d’espoirs. Elle a totale confiance en Lilou. Celle-ci avait refusé de lui révéler quoique ce soit sur ce qui l’attendait. Elle se prépare avec sa plus belle et élégante lingerie noire. De la dentelle, de la transparence. Sa sœur lui a souvent dit qu’elle aurait pu faire mannequin lingerie. Sa chair a l’air tellement tendre, le plissé de ses hanches, la rondeur de ses seins… Par-dessus, elle revêt une robe fourreau noire souple qui s’ouvre sur le côté. Et enfin elle se met deux gouttes de son parfum préféré : « poison », le parfum de la femme fatale se dit-elle en souriant. Avec le carton, lui était remis un bandeau noir qu’elle devait mettre sur les yeux en attendant la voiture. En cet instant, elle est dans le noir. Enfin elle entend le vrombissement d’un moteur devant sa porte. Quelqu’un ouvre la porte qu’elle a laissée entrebâillée et lui prend la main. Pas un seul mot n’est échangé. Ils roulent un certain temps. Ils s’arrêtent, elle devine sous ses pieds un sentier et des herbes lui frôlent les jambes. Un espace se forme autour d’elle, d’abord un peu plus frais, les sons de nature s’amenuisent, pourtant toujours de la terre sous ses pieds, un peu comme si elle rentrait dans une cavité… Devant elle, on soulève une couverture qui lui semble être en satin ou en soie.

Scintilla fait brûler des bâtons de rose de santal devant la statuette représentant l’union sacrée de Shiva et de Shakti. Rendre l’acte sacré tout en éveillant au maximum la sensualité d’où viendra l’extase comme la vague mugissante. Son esprit et son corps par habitude se mettent sur la vibration requise, celle qui la rend ouverte, hypersensible, sensuelle et irradiante de l’énergie d’amour. Elle entend derrière elle la tenture se soulever. Dana est là, la rousse au teint de lait, le feu sous la glace. Elle se réjouit d’avance. Tant d’énergie qui demande à se libérer. Scintilla la salue à la manière indienne " Namasté ». Dana est un peu décontenancée par cette atmosphère ritualisée.

On m’ôte enfin le bandeau. Je cligne des yeux et découvre une grotte magnifiquement décorée de tapis, de candélabres, de coussins… Devant moi se tient une femme magnétique… comme hors du temps, vêtue d’un déshabillé transparent, je devine sans peine ses formes affirmées, d’autant plus qu’elle est noire d’ébène. Cette femme est voluptueuse à souhait, un régal pour mes yeux féminins. elle me sourit chaleureusement. Ses yeux dégagent une douce flamme. Je me sens en sécurité. Elle s’avance vers moi et me guide, je suis comme dans un rêve. Dans une petite pièce, elle me demande de me déshabiller et de revêtir la même tunique qu’elle. Elle passe légèrement sa main sur ma nuque. Puis elle me conduit vers une autre salle.

Au milieu de la salle des thermes, Fox repose tranquillement dans le bassin d’eau chaude, des sources d’eau chaude ici, non loin de Vancouver, jamais il n’aurait pensé ! Voilà une initiation qui commence bien… Bien sûr toute trace de nervosité n’a pas disparu mais pourquoi ne pas s’abandonner au délice de cette eau bouillonnante et parfumée par des sels de bains.

Pourquoi ne pas se détendre et se laisser gagner par le bien être ? Tout est fait pour qu’il se sente bien. Il repense à la vision de la prêtresse, au feu qui émane d’elle. Il se demande ce qui va se passer avec Dana. Il n’a plus envie de fantasmer, de rêver d’elle, de la posséder, rêver de ses lèvres, rêver de son string violet, non il ne veut plus se frustrer, souffrir, il veut rêver réalité. Il a l’intime conviction que « ça » va arriver.

Dana me suit, presque nue dans son déshabillé transparent, nous entrons dans la salle des thermes. Quelle ne fut pas sa surprise de voir Fox déjà là, tout nu, en train de se prélasser les yeux fermés dans le bassin d’eau chaude. Cette eau chaude aux vertus minérales. Elle réprime un cri et s’arrête.

Un cri étouffé me sort de ma rêverie, je découvre Dana dans le même déshabillé que la prêtresse… Moment incongru qui restera gravé dans nos mémoires ! La prêtresse nous sourit à tous les deux et nous dit que nous sommes là pour nous connaître, elle ajoute que connaître vient d’une étymologie latine qui veut dire " naître avec « Notre but est donc là. Mais tout ce qui se passe semble tellement étrange, et pourtant nous ne résistons pas. Sommes nous en transe ?

la prêtresse défait Dana de sa tunique transparente et lui demande de venir se baigner tranquillement non loin de moi. Dana se glisse dans l’eau.

Je distingue dans la pénombre créée par les candélabres, la peau blanche de Dana, la naissance de sa gorge, j’accueille avec contentement et sans aucune résistance ce moment étonnant. C’est vraiment curieux. Que doit penser Dana ? J’intercepte son regard sur moi… Incroyablement doux et ouvert… Mais que se passe-t-il ?

Voilà, Fox est là tel que je l’ai rêvé, encore mieux que je ne l’ai rêvé… avec son torse légèrement poilu, son corps que je devine… Je ne vais pas bouder mon plaisir ! même si l’ambiance me paraît un peu surréaliste… Je ferme les yeux, et me laisse envahir par la sensation bienfaisante de l’eau chaude sur mon corps. Fox est là non loin de moi, nu, et ça me suffit de le savoir. Début d’intimité. Une douce musique orientale avec parfois de simples cloches qui tintent se fait entendre. Ces sons me font vibrer et me rendent présente à l’instant.

Après quelque temps, je touche l’épaule de Dana alors qu’elle commence à s’alanguir. Je lui fais signe de venir. Elle se lève ruisselante, l’eau perle le long de son corps, de la toison fine de son pubis, de sa chatte.

Je me sens sensuelle, un peu enivrée de joie à l’idée de mieux la connaître, de communier avec elle. Près du bassin d’eau chaude, est étalé le grand tapis orné du pentagramme divin. Je lui demande de s’étendre sur le dos. Je commence à masser sa tête.

Je suis étendue sur le tapis, les genoux de la prêtresse touchent mes épaules.

Ses mains douces et chaudes pressent certains points de ma tête, provoquant en moi des fluides apaisants. Je les ressens et les observe délicieusement. Les tempes, le pourtour des yeux, c’est agréable. Elle passe une huile chaude sur ses mains, ses doigts commencent à parcourir mes épaules. J’ouvre de temps en temps les yeux et je regarde la prêtresse cédant à une sorte de fascination sensuelle, croiser son beau regard, m’attarder sur sa bouche que je devine pulpeuse, entrevoir la naissance de ses seins. Elle sourit de mon regard et ses mains sont infiniment tendres. Ses mains descendent le long de mes seins en les effleurant légèrement, cela ne me choque pas, je me sens bien, aucune résistance… Ce faisant son corps se penche vers moi, j’aurais envie de la toucher mais je ne le fais pas, laissant un feu intérieur s’allumer en moi. Quels sont donc ses nœuds qu’elle dénoue en moi ? Au fur et à mesure qu’elle masse chacun de mes membres, je me sens éveillée et j’ai l’envie de redonner l’amour qu’elle me donne par chacun de ses gestes. Quand je me tourne sur le ventre, point par point elle ausculte mon dos et me libère, de passes précises, douces… elle écarte mes jambes, mon sexe est ouvert, disponible, sans doute humide… ses mains massent mes fesses, les écartent, appuient en certains endroits et mon anus se libère aussi, quelle sensation délicieusement intime et épanouissante. Elle effleure l’intérieur de mes cuisses, ma caverne et… je gémis. Je me tourne sur le dos et elle masse en cercles qui se croisent sur mon abdomen, elle presse divers endroits à la naissance de mon pubis, la chaleur monte de plus en plus… j’ouvre les yeux, elle est sublime, ses yeux scintillent et tout son être me semble ouvert. Alors n’y tenant plus, je me redresse, et je l’embrasse tout d’abord tout doucement et elle répond à mon baiser.

Mon être s’enflamme, mes tétons pointent et je me sens délicieusement perlante. Scintilla passe ses doigts le long de mon clitoris et de mon sexe et déguste ma cyprine. Un grand sourire anime ses lèvres. Ses lèvres pulpeuses m’embrassent et c’est divin comme du miel.

Dans le bassin, je regarde la prêtresse qui masse Dana. Plus le massage avance, plus je me vois à la place de la prêtresse en train de masser Dana, de découvrir, palper son corps dans les moindres recoins, lui faire du bien… Je suis sensible à l’énergie qui se crée entre elles deux. L’osmose sensuelle. Je devine la chaleur qui les gagne petit à petit sans résistances. Chaleur qui me gagne. Après que Dana a embrassé la prêtresse et n’a pu résister au plaisir de planter des baisers sur ses seins, la prêtresse lui indique qu’elle doit retourner dans le bassin.

Je dois dire je suis « ému » et quand je me dresse hors de l’eau, ne peux dissimuler une érection. La prêtresse suit tout d’abord le même protocole qu’avec Dana. Je m’aperçois avec délice qu’une flamme s’élève qui ne demanderait qu’à s’extérioriser mais je comprends que ce n’est pas pour tout de suite. Elle me prend en bouche, ses lèvres épousent mon pénis et le suce comme une sucette. Des lèvres chaudes et pleines, un feu qui remonte le long de ma colonne vertébrale, qui contracte mes fesses sans même que je puisse les contrôler, un feu qui pousse mes reins et mon pénis vers sa bouche dispensatrice d’un plaisir ineffable.

Et puis elle s’arrête, je comprends qu’elle n’ira pas jusqu’au bout. Nous nous embrassons, comme un moment de bonheur, de gratitude et de communion. Je rejoins Dana dans le bassin d’eau chaude. Mais cette fois ci, je m’assieds entre ses jambes et appuie mon dos sur ses seins. Et nous laissons un moment passer. Scintilla nous regarde, nous échangeons quelques mots tendres, Scintilla se joint à nous.

Je laisse cet instant de félicité et complicité naître, et puis leur indique de revenir au centre du pentagramme…

La prêtresse nous demande de nous agenouiller l’un en face de l’autre avec nos genoux qui se touchent… nous sommes tous les deux nus… Dana est en face de moi, je vois ses beaux et lourds seins blancs, ses hanches rondes, ses lèvres incarnats, et ses yeux bleus qui scintillent. Je la vois pour la première fois nue mais je n’ai aucun sentiment de hâte en moi, de la presser contre moi, de l’embrasser, car je sais qu’elle est à moi, offerte totalement et que le moment va venir. Je me sens à fleur de peau sensuellement et en même temps sans impatience. Scintilla nous demande de nous saluer, je lui dis « bonjour Dana » et ma voix résonne doucement tout comme celle de Dana. Sur les indications de Scintilla, je dépose un baiser léger sur les lèvres de Dana qui a fermé les yeux, elle ne doit pas répondre à mon baiser… Enfin, je sens ses lèvres sous les miennes, ses lèvres qui se font douces à mon contact, accueillantes…

Les lèvres charnues de Fox viennent m’offrir un baiser et je l’accueille avec tant de bonheur, et de satisfaction, je sens comme une boule de chaleur exploser dans mon ventre, les yeux fermés, je guette sa progression… surtout je ne dois pas réagir, pas facile !! Mais c’est la condition pour que la flamme gagne en intensité… Fox suit la courbe de ses désirs en même temps que mes courbes bien charnelles… Il m’embrasse délicatement près du nombril, le lobe des oreilles… Il joue avec moi, se fait imprévisible… les globes célestes de mes seins roidissent de plaisir sous les baisers. Il le remarque, sa main toute chaude vient se presser contre mes seins, je gémis. Je veux plus mais n’ai pas le droit de bouger ! Mes tétons qui pointent appellent sa bouche, ses caresses… Ses baisers légers se dirigent le long de mes hanches, vers le pubis… Je me sens femme, féminine, déesse adorée, humide, tellement humide ! Mais Scintilla demande à Fox de s’arrêter et de reprendre sa position de départ, à moi de jouer…

Haleine parfumée de Dana, ses lèvres viennent se presser délicatement contre les miennes, des lèvres pleines et voluptueuses, mon sexe se dresse, je suis comme un violon qui vibre sous le jeu de l’archet sensuel… Surtout ne rien faire, mais quand même, j’ouvre mes yeux et admire le balancement des beaux seins blancs, je meurs d’envie de les gober. Je referme les yeux, les lèvres chaudes de Dana parcourent mon corps, elle me renifle comme une exploratrice chienne. Sentir son désir et sa satisfaction d’embrasser, de caresser mon corps me remplit d’un sentiment de félicité totale. Ses seins viennent volontairement effleurer, se presser contre mon visage, ses mains pressent les muscles de mes épaules.

Elle baise mes pectoraux, mes tétons, mon abdomen… elle est comme une louve… elle m’étend sur le dos… et prend mon sexe dans sa bouche, je me sens avalé et chauffé à blanc, mon sang bat vite, très vite !

Scintilla nous souffle : « soyez libres maintenant ».

Dana, se met à califourchon sur la pointe de mon sexe… Son sexe est tout mouillé, j’en frémis, elle descend lentement, le haut de mon gland qui pénètre… je me sens boule de feu… elle absorbe mon gland complètement, je suis en connexion avec elle, c’est divin… c’est comme si le cercle de nos êtres était bouclé grâce à cette pénétration incandescente. Mon sexe est d’une dureté telle que chaque sensation est amplifiée et stimule Dana au plus haut point. Elle descend totalement le long de mon pénis. Et s’allonge comme une chatte sur moi, comme si elle prenait possession de mon corps. Nous ne formons plus qu’un. Nous nous embrassons, le plaisir est indescriptible. Comme si de l’électricité parcourait nos lèvres. Je caresse ses seins, je les baisote dévotement, nous gémissons. D’avoir trop longtemps attendu, nous rend comme fous à l’intérieur de nous, hors de nous.

Je bois enfin le sexe de Fox, qu’il est dur de désir ! de passion et d’envie ! comme j’ai envie de lui faire plaisir ! sentir sa roideur me rend mouillée, fontaine, je le veux au fond de moi, mais je veux aussi le sucer longuement comme dans mes fantasmes les plus chauds. Je ne me retiens plus, je suis animale. Je lèche, suce, pourlèche son sexe, mes lèvres viennent l’embrasser millimètres par millimètres puis glisser doucement et chaudement.

Ça y est son pénis est en moi, je me sens la reine du monde, fusionnés ensemble, je joue avec lui, il est tellement raide, je profite, ma chair exulte, mon sexe coule, les spasmes de plaisir se succèdent en moi, je ne me contrôle plus du tout.

Je m’allonge sur lui, je me presse sur toutes les parties de sa peau, je me fais duvet chaud de plumes et enveloppante, nous ne faisons plus qu’un. Et je sens les vibrations de son sexe en moi. C’est si bon. Je roule mes hanches doucement pour l’attirer dans un tourment délicieusement sexuel, intenable. Il me retourne et me prend en levrette, en se collant contre moi, il ne bouge presque pas, mais il est tellement profond en moi que c’en est d’autant plus intense, ses baisers dans mon cou, je m’affole de sentir le plaisir gonfler en moi.

Je ne peux croire à ce qui se passe, mes rêves se réalisent, et de prendre Dana en levrette et gémissante m’excite au plus haut point. Soumise oui d’une certaine façon, alors que sa froideur semblait vouloir m’éloigner à tout jamais ! Comme si la montagne d’interrogations et de frustrations s’écroulait d’un coup et qu’à la place, une immense flamme s’élevait et carbonisait tout sur son passage. Je la pénètre à fond et ses fesses viennent se presser contre mes reins, elle ondoie du bassin et j’ai l’impression de me transformer en cheval au galop sauf que le galop serait en train de me dépasser… je sens l’énergie sexuelle se former le long de ma colonne vertébrale et me faire vibrionner. J’ai l’impression que tout mon être physique va exploser.

Le désir de Fox me submerge, le plaisir m’emporte, la sueur perle sur nos deux corps, comme deux ventouses humides qui s’unissent et se séparent en chouinant au ryhtme de nos va-et-vient et je crois bien que nous crions et gémissons. Il lèche ma sueur, se repaît de cette sueur synonyme de plaisir intense et il continue de me prendre, de me prendre, la vague gonfle.

Nous haletons sauvagement. Je me défais de la levrette et souveraine le fais s’asseoir en tailleur. Je suis hors de moi, comme folle. Les talons biens posés derrière son dos, les paumes appuyées sur son cou, je vais et viens de plus en plus le long de son sexe. Il gémit de plus en plus fort. Il va venir mon Fox, je vais l’exténuer, le vider de son sperme, le faire mourir !

Et le plaisir nous emporte au-delà de ce que nous pouvions imaginer… l’orgasme intense, démultiplié vient et nous projette en dehors de nos corps. Comme si nous étions sortis par le sommet du crâne, nous nous retrouvons dans l’espace interstellaire, comme une boule de feu incandescente, je vois le sperme de Fox qui s’étire en filaments blancs dans l’espace ; nous sommes unis en nous mêmes et aussi à l’autre, sensation incroyable, abîme de plaisir, les vagues intenses se succèdent. Et nous bouleversent totalement. Et le sperme de Fox qui continue de se projeter dans l’espace, comme une peinture blanche qui viendrait éclabousser artistiquement la toile magnifique de l’univers.

Nous revoilà dans le concret, je regarde Dana… je suis complètement détendu, épuisé, vidé… je me dis que peut-être finalement, à travers ma quête du paranormal, c’était ça que je cherchais. Je sais que cet expérience nous marque en notre cœur du sceau de l’éternité. Dana me sourit, d’un sourire qui ne demande rien car elle sait qu’elle a tout. Je la prends dans mes bras et nous nous endormons. Ensemble.

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