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C’est quand le quatrième violeur a rampé hors de moi que j’ai soupçonné que je faisais une fausse couche. La douleur dans mon abdomen était beaucoup trop grave pour être causée par leur percute abusive dans ma féminité. Cela a été confirmé quand il s’est plaint de la substance sanglante qui recouvrait sa virilité.

Il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre pourquoi Megan avait fait ce commentaire sur le fait qu’ils l’avaient tuée. Comme elle, si jamais j’étais libre, je ne leur montrerais aucune pitié.  Aucun.

Je pouvais entendre les larmes mentales de Megan en réalisant que je perdais un bébé. C’était quelque chose qu’elle n’avait pas envisagé quand elle m’a encouragée à endurer et à me soumettre.  À l’époq