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C’était agréable de voir que son personnel acceptait Genice si facilement et vice versa.  Ils étaient comme sa famille et elle était sa compagne pour toujours. Cela signifiait beaucoup pour lui qu’il n’ait pas à s’inquiéter qu’ils s’aiment.  Une brève question sur la façon dont Sarah prendrait Genice lui traversa l’esprit, mais il la poussa rapidement. Il n’avait jamais donné à Sarah la moindre indication qu’il y avait de l’espoir pour un avenir avec lui.  En fait, à part l’embrasser lors de cette promenade en calèche froide et pluvieuse loin des rues sales de Dublin il y a plus d’un siècle, il ne l’avait jamais touchée.  Elle avait construit un fantasme dans son esprit à leur sujet que, peu importe qui essayait de l’en influencer, elle refusait de lâcher prise. Cela pren