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Aiden a été perdu dans la béatitude de Pauline corps souple. Son esprit ne pouvait penser à rien de plus que ce qu'il en serait de l'avoir complètement. Il luttait avec l'idée de prendre son droit sur la banque. Après tout, elle était destinée à devenir sa femme. Pourquoi ne pas goûter ses charmes un peu tôt ?

Son désir de l'avoir était à la fois passionnant et déconcertant. Ses baisers étaient assez expert pour un mondain. Cela a conduit à la question suivante. Elle a été touché ? Son père a fait tant dans sa proposition de mariage, mais ses actions ont conduit à penser différemment. La nécessité de connaître la réponse était tout écrasante.

 Avec ses lèvres consomme toujours de sa poitrine, il glissa sa main dans le pantalon que ses hanches minces rempli à peine jusqu'à ce qu'ils trouvent son plus espace privé. Son souffle d'encouragement l'a conduit en tant qu'il glissa ses longs doigts manucurés récemment, dans ses douces profondeurs pour se sentir pour sa virginité. Elle était intacte.

La mine renfrognée, il leva la tête pour regarder son visage. Elle portait un sourire satisfait qui laissait entrevoir de ruse. Juste ce qu'elle a été jusqu'à ? Il s'est soudainement venu à lui qu'elle voulait qu'il prenne sa virginité dans l'espoir de l'emprisonnant dans le mariage à l'épargner du mariage arrangé ses parents mis en place pour elle. L'ironie de c'était juste trop riche.

Quand elle arqua ses hanches vers lui, il a déplacé son attention à son point sensible. Il n'allait pas jouer dans ses mains et son dépucelage, mais il a également n'était pas prête d'arrêter de profiter de son corps. Il a décidé de l'amener à la hauteur de l'ecstasy pendant que ses yeux régalés de sa beauté.  

Ses cris de passion ont été si profonde, il a été forcé d'abandonner le plaisir de regarder son beau visage répondre à ses soins pour qu'il puisse étouffer ses cris avec un profond, sensuel baiser.  

Quand elle se coucha de mollesse et rassasiée, il roula sur son dos alors qu'il força son propre corps à son besoin de calme la satisfaction sexuelle.

Elle chatouilla fermer dans le creux de son bras et sourit, "Quand nous nous marions ?"

Il s'assit avec un air menaçant. Il n'importait pas qu'il était réellement son fiancé et serait mariée à son bientôt. Ce qui importe, c'est qu'elle pensait qu'elle avait pris de lui un shot gun mariage. "Ce qui vous fait penser que je voudrais vous épouser ?"

"Nous avons juste…" Elle balbutia. "Vous avez eu votre chemin avec moi."

"Tu m'a encouragé quand tu m'as embrassé," dit-il avec emphase.

"Vous êtes un cad," siffla-t-elle en se levant.

La vue de ses seins lourds d'être rentré dans sa chemise a fait sa bouche sèche. Il y a seulement quelques minutes, il avait goûté leur douceur. Il avait envie de le faire à nouveau.

"Comment figurez-vous ?" demanda-t-il comme il la regardait paresseusement ajuster ses vêtements.

"Vous avez eu votre chemin avec moi et maintenant vous êtes refusant de se marier avec moi, a-t-elle pratiquement pleuré.

"Vous êtes promis à une autre," dit-il doucement.

"C'est un crapaud. Un crapaud Texas ! Je ne vais pas l'épouser," gémit-elle.

"Alors, tu pensais que tu avais me séduire en défloraison afin que j'ai à vous marier ?" dit Aiden.

Pauline l'étudia pendant un moment avant de dire, "Oui."

Aiden était furieux. Il ne savait pas s'il doit lui-même sa fessée -depuis qu'il était son futur mari et avait donc ce droit- ou s'il doit la tirer avant ses parents à subir les conséquences de son comportement. Bien sûr, cela voudrait dire qu'il aurait à admettre à sa participation volontaire dans son petit plan. Il seethed intérieur pendant qu'elle passe à lancer des insultes à lui tout en ajustant sa ceinture de finition.

Il pouvait enfin prendre pas plus. Il fallait faire quelque chose pour lui enseigner une leçon.

"Bien," dit-il alors qu'il se tenait devant elle.

Elle avait à se pencher sa tête en arrière pour voir son visage. En fait, il a accepté de l'épouser ? Elle a été choqué dans le silence.

"D'abord, je veux voir ce que je suis," a-t-il poursuivi.

"Je vous demande pardon ?" souffla-t-elle.

"C'est un peu tard pour la modestie, n'est-ce pas, la princesse ?" il grogna. "Tu me veux à envisager sérieusement de se marier avec vous, ou n'est-ce pas ?"

 "Eh bien… JE" dit-elle à travers les lèvres sèches.

Il tapota la garde de son pistolet et a dit, "Je pourrais toujours vous faire montrez-moi…"

"Vous ne seriez pas," dit-elle alors qu'elle recula.

"Si tu veux de moi à envisager sérieusement de se marier avec vous, il est juste que je vois ce qu'on me demande de renoncer à ma liberté pour, dit-il avec un soupir exaspéré. "J'avais hâte si vous allez me montrer. Le soleil s'en vient et les gens seront sur bientôt."

Lorsqu'elle ne bougea pas, il haussa les épaules et commença à marcher vers son cheval.

"Ok, ok," elle a appelé pour lui. "Je vais vous montrer."

Aiden fit de son mieux pour garder un visage impassible alors qu'elle dévêtir lentement. Il se demandait si c'était vraiment la chose la plus sage qu'il pouvait faire. Dans son effort pour la punir de son comportement, il était aussi punir lui-même. Sa virilité criait à l'agonie avec seulement ses seins nus, et il y avait plus à venir.

"Tout cela," dit-il avec un visage stoïque et d'une voix ferme.

Il était clair qu'elle se sentait l'humiliation de sa situation. Il était sur le point de lui dire d'arrêter, quand elle a laissé tomber son pantalon autour de ses chevilles fines et exposé sa féminité. Elle était à couper le souffle.  

Quelque chose est venu sur lui. C'était un type de désir incontrôlable qu'il n'avait aucune idée de la manière de traiter. Il avait vu beaucoup de fun putes dans son jour, mais jamais il n'avait vu une femme aussi belle que son épouse d'être. Il s'est déplacé vers elle comme un chat traque sa proie. Elle croisa les bras sur sa poitrine abondante dans une faible tentative de les cacher. Il a pris ses deux mains et tira son bras afin qu'il puisse avoir une vision plus claire de leur beauté. Ce sont ce qu'il avait été si passionnément la tétée ? Il avait été tellement enveloppé dans l'instant qu'il avait été privé de la possibilité de voir et d'apprécier leur beauté. Il voulait corriger ce fait. Il l'attira vers lui, la forçant à sortir du pantalon qu'elle avait abandonné autour de ses chevilles. Avec son corps complètement nu, il fait un festin sur elle comme un mécène d'un artiste, sculpture. 

Il tomba à genoux et enfouit son visage dans ses seins abondants, doux. Elle sourit avec satisfaction qu'elle lui caressait les cheveux tout en l'encourageant verbalement pour profiter d'elle. Il surpris son désinhibés comment elle était avec lui. Il a montré combien elle était désespérée d'être libre de l'obligation de marier les Texas toad.

L'esprit d'Aiden fronça les sourcils à son comportement téméraire, mais ses lèvres ne pouvait pas résister à la tentation irrésistible de s'unir avec ses boutons de rose une fois de plus. Alors qu'il a pétri et sucé sa douceur, son esprit inquiet sur la façon dont elle a été l'encourageant à prendre entièrement ses. Elle était vraiment désespérée que d'être libre de se marier avec lui qu'elle avait donner à un parfait inconnu ?  

Il était sur le point d'arrêter ses soins et lui dire de s'habiller quand elle atteint l'avant, et glissa sa main sur sa virilité gonflée. Son sursaut de surprise a été la goutte de trop. Il l'a poussée au sol et a pris avec une fureur qui était bien trop agressif pour une première fois la vierge. Il a lutté avec convoitise pour sa beauté, pour son comportement de la colère, de la frustration sur le fait qu'il prenait sa sur la banque comme un animal au lieu de le faire dans un lit sur leur nuit de noces, doute qu'il pourrait passer le reste de sa vie avec une telle femme, l'embarras et de culpabilité sur ce qu'il faisait pour elle.

Après avoir enfin atteint un sommet et était moins d'un animal et plus d'un homme, il s'est rendu compte que ses cris n'étaient pas des cris de joie, mais des larmes réelles.

"Vous me blesser," elle gémit.

"Il fait toujours mal la première fois," dit-il alors qu'il a commencé à se déplacer à l'intérieur d'elle à nouveau. "Ce ne sera pas cette fois."

"Pas plus," gémit-elle alors qu'elle poussait contre sa poitrine.

Aiden s'est trouvé dans une situation difficile. Il savait que ce ne serait pas mal, comme la première fois, voire pas du tout. Il savait aussi qu'il avait accumulé tellement de tension sexuelle dans ses reins qu'il avait besoin d'au moins un pic de plus de temps pour libérer tout cela. Pourtant, elle disait pas plus. Il était vraiment à perte à quoi faire. Elle était sa femme d'être. Comme son mari, c'est son droit de l'avoir, mais il a également n'était pas le genre d'homme à lui-même la force sur une femme. C'était juste qu'il avait besoin de libérer un peu plus de la frustration qu'elle avait suscité en lui ou qu'il ne pouvait pas garantir qui subirait son mauvais caractère alors que lui rencontrer plus tard dans la journée. Il pouvait toujours la tête à un bordel, mais il n'a pas voulu. Il était profondément à l'intérieur de la femme qu'il n'avait dépensé le reste de sa vie avec. Il n'avait de sens pour achever sa libération avec elle. S'il pouvait juste obtenir son d'essayer encore une fois, il était sûr qu'elle trouve cela plus agréable.  

Il a également considéré comme sa personnalité. S'il s'est arrêté à l'heure actuelle, elle aurait l'inconfort de l'expérience intégrée dans ses souvenirs et il doutait qu'elle avait rendez-vous volontiers son lit à nouveau. Il avait besoin de remplacer cette mémoire avec quelque chose de plus agréables ou subir une horrible nuit de noces après leur mariage.

"Détends-toi, murmura-t-il alors qu'il sollicitait dans sa présentation avec ses lèvres.  

Il lentement et délibérément déplacé dans et hors d'elle pendant qu'il continue à séduire ses de baisers. Bientôt, elle répondait à ses poussées avec son propre. Une urgence construit entre eux comme il la prit à nouveau. Sa bouche, ses cris étouffés de passion comme elle assoupli dans le rythme de l'amour.

Quand ils furent enfin prêts à se séparer, il la conduisit dans le ruisseau et l'a aidée à me laver de la preuve de leur amour. Une fois convaincu qu'elle était assez fraîche pour retourner à la maison, il a nettoyé lui-même et rejoint ensuite sa sur la banque.

Il s'apprêtait à l'embrasser et lui demander si elle souhaite se marier avec jubilation quand elle a annoncé qu'elle était enfin libre de ce crapaud au Texas. Il y avait quelque chose dans sa joie, gâté ton que le mettre sur ses talons. Il n'avait pas d'importance qu'elle n'avait aucune idée qu'il était le Texas toad elle continuait de parler. Ce qui importe, c'est qu'elle était jubiler sur une action qui aurait dû être belle et sacrée entre eux. Pourrait-elle être que faible ? 

Ainsi, il pourrait être tout aussi peu profonde.

Il la regarda s'habiller en silence pendant qu'il seethed à l'intérieur. Il avait besoin d'être loin de cet embarras socialite avant qu'il a fait quelque chose de stupide, comme l'emmener sur son genou. Il était clair qu'elle aurait besoin d'un traitement spécial afin d'annuler des années d'une consommation excessive de soins de ses parents. Il n'avait pas de problème avec une femme d'être bien soignés et nourris, mais il avait un problème majeur avec une femme cultivée se comporter comme une petite fille gâtée qui s'attendaient à sa manière dans toutes les questions de vie ou une crise de colère. Pauline clairement besoin d'être guéri de cette tendance. Il avait juste à comprendre la meilleure façon de le faire.  

Quand il prit son cheval et monta dans la selle, elle le regarda avec surprise et dit : "vas-tu aller parler avec mon père maintenant ?"

"Je vais l'examiner," il a dit qu'il a lancé son cheval et a décollé à un trot lent.