Share

Chapitre 11

Je ne savais même pas le signification du ce «Je t'aime » que je venais de prononcer, je n'en savais absolument rien. Je savais pas aussi pourquoi je l'avait prononcer. Mais une partie de moi était heureux d'être avec elle et m'obligeait à être prêt d'elle. Jamais j'aurai pus définir l'amour ni même à ce moment mais une chose semblait être sûre sans que je le conteste, c'était ce que je ressentais.

Mariam (posant sa main sur mon visage) :  vous êtes trop beau.

Moi: vous ?

Mariam : Désolé c'est juste que tu es trop beau. Trop parfait pour que tu tombes amoureux de moi.

Moi: non dis pas cela ma chérie. Nul n'est assez parfait crois moi. Regarde comment tu es belle. Je t'aime vraiment et le plus étrange dans tout ça c'est que c'est aujourd'hui je m'en suis rendu compte. Voilà que je veux passer tout le reste de ma vie avec toi. T'embrasser du matin au soir jusqu'à l'infini. Sentir ton odeur de fleur parfumée. Sentir ta peau et ta chaire. Je t'aime Mariam.

Mariam : c'est trop beau. J'y crois pas c'est un rêve qui se réalise. Depuis le premier que je suis venue au travail et que mes yeux se sont posés sur toi je suis automatiquement tombée amoureuse de toi. Je l'ai toujours gardé pour moi mais je t'aime depuis toujours. (Coulant des larmes)

Moi : pleure pas ma belle. Pleure pas pour moi.

J'eus même pas le temps de parler encore plus qu'elle se mit à m'embrasser. Sa main se perdait dans mes cheveux qu'elle caressait. Aussitôt je frémis, mon corps en entier eut d'énormes frissons. Une sorte de décharge électrique me parcourait le corps et cela était suffisant pour que j'oublie tout ainsi que toute ces barrières qui devraient m'empêcher d'aller plus loin. J'avais même oublié. Je ne voulais pas me rappeler de de mon passé et même du pacte que j'avais signé.

Je posai ma main d'abord sur son dos en glissant délicatement sous sa robe de nuit ultras sexy. Je me contentais de chavirer avec le bout de mes doigts sue sa douce peau remplie de délicatesse et d'amour ainsi que de désir. Mes lèvres par contre se laissaient emporter par le plaisir que me parcourait les tiens aussi le creu de son cou que j'embrassais à chaque fois. Et à chaque fois je l'excitait encore et encore au point où elle me serait très fort dans ses bras comme si j'allais m'en fuir. Je posai mes mains sur son ventre cette partie d'elle que je jugeais délicat et qui en plus de cela semblait être le centre de gravité de ses deux objets les plus excitant.

Dès lors elle remonte en bloc ça se sentait qu'elle brûlait de désir que je l'a prenne par les cuisse et que je m'insère au milieu. Mais non elle n'était pas à mes yeux semblable à une pute ou à un animal. Je devais donc le faire tout en l'à respectant c'est à dire avec tendresse et amour. Je lui caressait le ventre passant pas son nombril en faisant semblant de monter et aussi de descendre tout en restant sur place c'est à dire toujours sur son ventre. C'était ainsi jusqu'à ce qu'elle prenne ma main pour les poser sur ses seins. Et là j'étais hors de moi laissant mon corps s'abriter d'une fraîcheur étrange. Mariam avait les seins au premier rendez-vous vous. Bien pointues et arrêté comme si c'est qu'il attendaient. Alors je me mis à les stimuler tout en les malaxant. D'abord je les attrapaient à leurs extrémités jusqu'au bout de ses tétons en les pinçant aussi au passage. C'était suffisant pour la voir gémir partout dans son salon. Sa voix était un mélange de douceur et d'excitation. Moi par contre je me contentais toujours de lui caresser les seins.

Pour bien ressentir sa chaire ainsi que sa peau je l'a fit tourner pour que nos yeux se croisent. Elle me regardait droit dans les yeux et moi aussi. Et subitement j'ai plongée ma main droite sur son dos tout en passant sous sa mini robe de nui. Je me mis à descendre tout doucement. Au bout d'un moment je suis arrivé sur ses fesses. Cette partie remplie de chaire et de bonté. C'était tellement doux au touché. Maintenant c'est cette partie que je caressais tout en lui embrassant le cou, les lèvres , le fron, la joue. Puis elle me dis.

Mariam : je suis sensible de là. J'aime quand tu les caressent ainsi. J'ai la chaire de poule stp continue fort.

Alors j'intensifais les caresses sur ses fesses.

Mariam : aaaachhhh c'est trop bon. Continue stp. Vas plus bas.

Voulant réaliser les désirs de ma reine je fis ce qu'elle m'avait demandé. Après je l'ai fait coucher sur le canapé de son salon et je me suis couché au près d'elle. Reniflant son parfum qui sentait si bon. Sans oublier cette odeur enivrante et naturelle qui s'échappait de son doux corps. Comme elle était couché les choses étaient plus facile pour moi car j'avais tout son corps à moi tout seul rien que pour moi seul. D'abord je l'a prends par les seins cette partie que j'aimais caresser à la folie. Encore et encore sans me fatiguer.

Mariam : Allons dans la chambre mon roi.

Sans broncher je l'ai soulevé pour me diriger vers sa chambre. Même si je ne connaissais pas l'architecture exacte de sa maison. Je n'eus pas de problème pour reconnaître la chambre. Et très je suis arrivé sur les lieux. C'était très bien rangé.

Au moment de la poser sur le lit éternellement dressé, je constatai qu'elle s'était déjà abondamment mouillé la chatte ce que veut dire que l'envie la dominait. C'était un point pour les femmes tombeuses comme Mariam.

Elle s'était couchée sur le dos, le ventre bien à l'avenue. Elle avait écartées ses jambes afin de me permettre de bien visionner cette fleur si humide telle un tsunami. Lentement je me dressai sur elle.

Le souffle coupé, elle ferma les yeux et faisait preuve de silence. La pièce présentait une ambiance de cimetière. Ce n'était que le début. J'entamai par la suite ma superbe exploration, celle ayant pour référentiel ce corps sublime de ma reine.

Je continuais mon voyage en titillant de ma bouche le bout de ses tétons. Elle commença par gémir. Je suçais ses seins très pointus.

Elle essayait de m'embrasser lorsque j'embrassais de mon côté son doux corps, mais en vain. Je m'installai à un instant entre ses jambes devant sa fleur naturelle bien rasé..

Je savais qu'elle était prèsqu'à bout et qu'elle allait atteindre l'orgasme dès les profondeurs. Je commencai par la doigter en insérant entre ses cuisses un premier.. puis un deuxième. Tellement ça glissait qu'elle ne pouvait s'empêcher de laisser échapper des cries.., de pleurs mélangées au plaisir.

Mariam: mon bb..s'il te plaît..j'en peux plus..stp rentre en moi . Je t'en prie

moi: ok laisse moi te faire voyager (j'ajoutai aussitôt le 3ème doigt)

Mariam: ouïïïsh..shhhh...anshhhh (touchant sa chatte pour faciliter l'entrée) bébééééeeeh..stp vas-y ne t'arrête pas ..

Ce n'était que les préliminaires. J'enlevai mes doigts et commencai par titiller le clitoris. Ses gémissements augmentaient de volumes. On dirait qu'elle allait mourir.

Mariam: aashhhh..chéri..c'est trop bon,

moi: oui..tu es trop belle bb. Tu veux prendre une pause?

Mariam: non..non vas-y sinon je vais mourir je crois (pleurant) stp bb arrête de me faire souffrir et baise moi j'en peux plus ahhhhh.

Aussitôt je la pénétrai lentement. Je venais de n'investir dans son monde plein d'inondation. Mariam a un jolie entre jambe qui me procurait d'intenses bonheurs. Je faisais mes va-et-vient qui me faisais tellement hurler de plaisir. Elle gémissait et coulait les larmes sans cesse.

Nous avons adoptés cette position pendant 15 bonnes minutes avant que j'éjacule. Cette fois-ci elle ne rata pas aussi de jouir. Sans plus tarder je la retournai en levrette, elle savait que je devais l'amener au 7ème ciel en la baisant profondément sans compter le nombre de fois elle jouissait.... Le son des clacks que faisait mon bas ventre sur ses fesses très molles se retentissaient dans la chambre.

Mariam: aïïeshhhhh...anhhhhhhh chérïïïïïïïï (attrapant mes mains par derrière) s'il te plaît vas au fond...au fond...oui vas-y .!

moi: (en enfonçant ma bite) bb c'est bon?

Mariam: ooôôhhh..oui encore plus. plus..werrrr...plussss

moi: ahhshhh Ça glisse de vrai, bb tu es superbe. Quelle sensation bb?

Mariam: ouïïshhh je vais..je vais jouirrr..anhhh bb

Elle finit par jouir abondamment, ce que me poussa aussi à éjaculer quelques secondes après. Elle m'avoua qu'elle avait tellement atteint l'orgasme et qu'elle l'aimerait toujours que je lui fasse l'amour de la sorte et sans arrêt alors qu'elle ne faisait que crisper chaque fois que je déverssais ma semence en elle. Au bout d'un moment elle s'est réfugié dans mes bras tout nue avec son fabuleux corps. Je sentais sa peau sur la mienne aussi ses seins qui étaient posés sur ma poitrine. Lorsque j'ai vue son beau sourire, elle m'a jeté le plus beau sourire que j'ai jamais vue. Je me perdais dans son sourire, sa beauté et son charme. À même temps j'avais de la peine pour elle, tout ce qui allait lui arriver à mon réveil. Aussitôt mon coeur se remplit d'une tristesse hors norme j'eus même l'envie de couler une goûte de larme mais je me suis retenu.

Ça va te sembler bizarre que je t'explique tout ces détails mais il le fallait. Tout cela fait partir de l'histoire mon fils. Et c'est une partie très fondamentale.

Alors après tout ça j'étais tellement épuisé que je me suis endormi immédiatement. J'avais pas pensé à tout ce que j'allais voir à mon réveil ou encore l'erreur que j'avais fais.

Related chapters

Latest chapter

DMCA.com Protection Status