Autour de moi tout était noir je ne voyais absolument rien. Rien de rien je te dis, le fait d'être enfermé dans un cercueil augmentait de plus en plus ma peur. J'agitais mes mains aux alentours rien que dans l'espoir de toucher un minimum d'objets. Je voulais avoir ne serait-ce qu'une fois la certitude d'être encore en vie.
Au bout d'un moment c'était la même chose encore rien et je commençais à étouffer je manquais d'air mes poumons par contre commençaient à s'alourdir et à perdre de pression. J'étais terrorisé je me suis dis que c'était fini pour moi et que ma vie était arrivée à sa fin. Tel un asthmatique je me mis à respirer rapidement cherchant un minimum d'oxygène à respirer. Mais tout semblait être impossible et mes yeux ont aussitôt commencés à se fermer. Tout doucement j'ai commencé à perdre connaissance et d'un cou tout est devenu flou je perdis connaissance. J'étais mort je crois.
Mais après un cours instant j'ai ouvert mes yeux dans un endroit très bizarre. Autour de moi tout tournait. C'est qui cet architecte? je me demandais sans cesse. J'étais suspendu comme un aimant attiré par un autre. Je me rappelais plus de qui j'étais. De quoi j'étais. Ce lieu nouveau dans lequel j'étais semblait être inodore. Incolore et sans sensation. Ma chaire s'alourdissait et mes os aussi. J'étais à la fois triste et soucieux. Je me demandais qu'es-ce qui m'arrivais?.
Mais au moment de baisser le regard je vis des hommes courir dans les airs tel des chasseurs de sorcières. J'étais étonné et sceptique face à ce que je voyais. J'avais peur de ce que je ressentais. Je décidai donc de me lever moi aussi et de faire pareil. Mais lorsque j'ai essayé de me tenir debout je fus surpris de voir que j'étais moi aussi suspendu. De panique je regarde vers le bat. Je vis le vide. L'infini, une sorte de troue sans fin. Puis comme le faisait tout le monde je me levai et décidai de courir. Dès que je me suis tenu sur mes pieds je fus propulsé vers le bas. Du moins vers ce trou infini.
De toute mes forces je me mis à crier. La peur m'envahisais, paniquais. Je ne voulais pas mourir. Donc je me mis à pleurer de tout mon être me demandant qui pouvait me faire une chose pareille. Je suppliais de me laisser mais en vain. Qui m'écoutais? Qui m'entendais? Je me voyais dans les profondeurs dun endroit inconnus.
«Au secours » je me mis à crier. Mais c'était comme si le sort voulais s'abattre sur moi. Quais je fais ??? Je me demandais aussi. Et je ne trouvais pas encore une fois de réponse. D'ailleurs je me rappelais de rien. J'avais la mémoire limité. Comme si j'étais né dans des heures auparavant.
En m'enfonçant encore et encore. Je me suis retrouvé dans une pièce où il ne faisait ni chaud ni froid. Tout était peint en blanc. Peut-être même que cette pièce était sans peinture. Je ne sais pas trop mais une chose était sûre c'est que l'on pouvait voir l'extérieur et même l'intérieur. Et des choses ayant des formes de nuages qui circulaient telles des marionnettes en défilées.
___les autres ne sont-ils pas là ??
J'entendis quelqu'un qui s'adressait à moi. Sans essayer de répondre je voulais d'abord voir qui c'était. Je remue mes yeux dans ses orbites mais je vis personne. Je tourne ma tête dans tout les degrés possibles toujours pareil.
Moi: qui me parle?? Qui êtes vous ??
Cette personne fît automatiquement preuve de silence. J'entendais plus aucun bruit. Je me mis encore une fois de plus à crier. « qui êtes vous? ». Encore silence. Je criais sans cesse pendant au moins 50 minutes mais c'était comme si je parlais uniquement. Mais dès l'instant que j'ai décidé de me taire. Il reprît une seconde fois la parole.
___tu parles plus?? Tu as perdu ta langue ??
Pour ne plus tomber dans ce délire encore une fois de plus je gardai le silence j'avais peur qu'il me laisse et s'en aille. Sans me donner d'explications. En ce moment j'étais comme dans une sorte d'extase. Je voulais comprendre au moins un minimum de ce qui ce passait mais rien tout était touffu dans ma tête.
- sois transporté pauvre mortel.
Voilà la phrase qui m'a fais voyagé d'un endroit à un autre. J'étais maintenant devant une sorte de flemme qui me brûlait la peau et la chaire. Hé je sais pas pourquoi mais je me suis demandé si c'était l'enfer. Je voyais des gens qui marchaient avec des os collés à leur chaire. C'était comme si la famine ou une maladie de ce genre les avait frappé. D'autres même étaient comme des asticots avec la chaire qui pourrissait. Le comble dans tout ça c'est que ces personnes suppliaient mon aide comme si elles voulaient que je les sortent de cette galère. Ce qui m'a le plus marqué c'était lorsque le feux brûlait quelques personnes, c'était très affreux et cela jusqu'à leur fin. Une sorte de créature avec des cornes et les la peau rouge se baladait de par les airs ou encore sur ces nombreux morceaux de chaires humaines provenant des humains qu'ils ont brûlé.
Après tout cela j'ai vue Théo qui semblait atterrir de les airs, avec une dizaine de personnes dont je me souviens avoir vue avant d'entrer dans le cercueil.
Moi: où sont les autres ?
Théo : ils sont sûrement mort.
Moi: quoi une vingtaine ?
Théo : c'est pas l'esprit de tout le monde qui peut supporter ce genre de voyage. Félicitation à toi si tu as pus le faire. Mais il reste encore un bon nombre d'épreuves.
Moi : comment toi tu sais tout ça ?
Théo : je le sait c'est tout. Allons
Moi: hum ok. Mais au moins dis moi où nous sommes.
Théo : nous sommes en Enfer.
Moi: quoi ? C'est quoi ce délire? Comment c'est possible.
Théo: assez parlé. Allons-y.
Nous nous sommes mis en rang tout en suivant Théo le mystérieux. Au fur et à mesure qu'on marchait on s'enfonçait encore et encore dans un endroit encore plus étrange et encore plus bizarre. C'était ainsi jusqu'à ce qu'on se retrouve devant une sorte de montagne. Immédiatement une voix nous interpella.
- Pauvres mortels( s'adressant à nous) voilà pour commencer chacun de vous devras abandonner son humanité. Vous deviendrai l'un des nôtres après cela. Vous ne croirai quand moi et en personne d'autres. Aussi vous serai mes messagers dans votre monde en m'apportant le plus de monde possible. Cette phase est très simple il suffit de répéter cette phrase après moi.
Il dit une phrase qu'on a tous récité
- ok maintenant une seconde phase. Chacun devra passer une nuit avec mes filles. Après cela vous deviendrai prêt à éjecter des échantillons de ma semence dans votre monde. Au-revoir à vous et à demain.
Théo nous escorta chacun devant une porte du moins si on peut l'appeler comme ça. À mon tour il poussa la porte et me dit.
Théo : bonne chance à demain.
Moi : bonne chance? Et toi tu ne fais ce rituel toi aussi?
Théo : si si je le ferai. Vas-y fais vite l'heure passe vite ici.
Il m'a poussé d'un coup et je me suis retrouvé à l'intérieur de cette pièce. J'ai d'abord regardé au tour de moi il avait personne. Par contre la pièce était vraiment belle avec une sorte de lit au centre. Ne voyant personne je me suis assis sur le lit.
- Oh tu es beau!
Venait de s'adresser à moi une belle et ravissante jeune fille. Elle était tellement belle qu'il était impossible pour moi de la regarder droit dans les yeux. Parlons pas de sa forme de son physique tout était de la manière que j'aimais sans aucun défaut. Et sans aucun aspect qui puisse me déplaire.
Moi: vous êtes très belle aussi!
- oh non mon chéri tu es trop désirable. J'ai envie de dévorer d'un coup. Et maintenant.
Elle se mit à soulever cette jupe mini qui était tissée en tige de lianne. Elle était tellement belle que je me suis même pas posé de question. C'était comme si je me contrôlais plus et qu'une force m'animais. Elle était nue maintenant et s'approchait maintenant de moi avec des pas doux et calmes. Arrivé à mon niveau elle me débarrassa de tout mes vêtements et se coucha devant moi en écartant les jambes. Un peu comme si les préliminaires ou une chose de ce genre n'avait de sens pour elle.
- Rentres entre mes jambes.
Alors je me suis couché sur elle la pénétrant jusqu'en profondeur. Elle poussa un cris très très violent et atroce qui voulait déjà me casser les oreilles.
- c'est profond. Tu me prends cette semence qu'il a enfoui en moi.
Moi: qu'elle semence ?
- laisses tomber vas-y fais le seulement.
Voilà comment j'ai couché avec cette jeune fille jusqu'à mon épuisement. Elle s'est donc couvert d'une sorte de pagne et s'est couché tout prêt de moi. Pendant tout ce moment je pensais un peu à Mariam, et bizarrement c'était uniquement à ce moment que je me suis souvenu d'elle, mais par contre je devais finir au plus vite avec tout ça pour la rejoindre. Au bout d'un moment la jeune fille ne parlait plus alors j'étais intrigué j'ai donc voulus lui parler.
Moi : ça va ?
Elle :.............
Moi : ça va ?
Elle :...........
Moi: dis moi ce qui passe. Ou ce qui ne va pas. Y'a un soucis ?
Encore silence alors j'ai ôté ma main pour la toucher et là elle s'est retourné. Qu'est-ce-que je vois. Des cornes, un visage répugnant et une grosse et dégoûtante femme. J'ai crié de toute mes force «waaaaaa c'est quoi ça ?. C'est quoi ce monstre» Si seulement je savais.
Mais comment cela est possible ? Voilà la question qui défilait en boucle dans ma tête. J'avais un grand dégoût face à cette absurdité que je voyais.Moi : c'est quoi ça ? Tu n'était pas comme ça il y'a quelques instants.- Donc tu veux dire que je suis pas ton goût c'est ça ? Donc tu m'aimes pas ? Tu me brises le coeur mon chéri.Moi: Mais c'est quoi ce délire pourquoi m'appelle tu ainsi ?- Tu es mon chéri maintenant. Nous sommes unis dans ce monde. Nous ne faisons qu'un, alors tu es mon chéri et un jour viendra où t
C'était la mort de Théo qui m'avait été annoncé de cette manière. C'était bienfait pour lui et j'avais été sauvé pour je ne savais qu'elle raison. Mais C'était ainsi le mal par le mal, le crime par le crime, le sang par le sang.Je me suis donc levé pour me rendre chez lui. Devant sa maison il avait un grand nombre de journaliste dès qu'ils m'ont vue ils se sont dirigé vers moi en courant. Et moi je me jouais aux hommes abattus comme si j'ignorais la cause de sa mort. Voulant les éviter une journaliste me bloque le passage je n'arrivais même pas à passer j'étais obligé de jouer encore le jeux.- Bonjour monsieur Kouassi voilà que votre meilleur ami vient de perdre la vie. Et cela de manière étrange que pouvez vous nous dire à ce sujet.Moi(coulant des larmes) : Je
Au fond de moi j'étais malheureux mais j'avais vraiment pas eu le choix. Je devais en finir pour ne pas que cela se transforme en un autre film d'horreur. En prenant cette décision j'avais l'intention de d'abord démolir le plan du Diable et ensuite me suicider. Car ma vie est elle aussi trop sombre pour que je l'a préserve.Le lendemain du meurtre c'est à dire hier j'ai aussitôt reçu la visite de Lucifer.- Je vois que tu veux me mettre des bâtons dans les rouesMoi : je ne sais vraiment pas comment on pourrait le dire. Mais moi j'ai fais seulement ce qui est juste.- Oui et tu p
Un jour disons un soir. J'étais dans ma petite villa au bord de la mer quand mon téléphone sonna. Alors sans hésiter je décroche et c'était mon oncle Junior à l'appareil. C'était lui qui m'avait prit sous ses ailles. En un mot mon Tuteur et mon «tout». Moi : Allô. Mon oncle. Comment tu vas ?? Je voulais passer chez toi aujourd'hui. ______ pas grave mon fils. Je te comprends tu as beaucoup de responsabilités avec ta nouvelle société. En plus avant hier tu étais chez moi. Tu fais déjà beaucoup. Moi: ok mon oncle. Merci de me comprendre. Alors quoi de neuf?? ________rien mon fils. Aujourd'hui passes à la maison stp j'ai quelque chose d'important à te dire
__Assied toi mon fils. ___ok Tonton dis moi pourquoi tu voulais me voir. ____tu sais mon fils je sais que je vais mourir dans quelques jours donc écoute bien ce que je vais te dire. Peut-être que tu vas me détester ou me haïr. Mais il faut que je te le dise pour que tu évites la même bêtise que moi. ____Ok mon oncle je t'écoute. ____ ok mon fils cela remonte il y'a quelques années flashback J'avais au moins 15 ans et j'étais pauvre je n'avais même pas un centime. J'avais perdu mes parents cela faisait 3 ans et seule ma grande sœur c'est à dire ta mère me restait. Elle était tout pour moi et travaillait à la sueur de son front pour s'occuper de moi. Elle m'avait scolarisé avec le peu de moyen quelle avait. Je l'aimait à mourir et j'étais m
Alors de duo nous sommes devenu un trio. À trois on travaillait dur. Matin, midi et soir. À vraie dire le plus courageux était cet infatigable de Laurent. Ce jeune homme était doté d'un courage hors norme. Il était aussi doté d'un charisme qui dépassait celui de tout être humain de son âge et même nombreux de ceux qui étaient âgés que lui. Après lui c'était Théo, lui aussi était en deuxième position. Il était celui qui motivait et aussi le grand rusé. Il avait toujours des astuces de survie. Avec lui c'était toujours et à jamais la débrouille pour s'en sortir dans ce monde hostile qui était le nôtre. Comme je l'ai dis on travaillait régulièrement. Et un jour pendant notre pause j'entrepris avec mes compagnons une discussion très important. Qui perçait à moitié ce grand mystère qui se cachait derrière Théo. Moi: Oh enfin quelques instants de repos. Je suis tellement épuisé. Laurent : oui Junior tu as raison ça
Moi: oui mon frère parle moi. On a besoin d'idée actuellement.Laurent : oui Junior a raison. Parle voyons.Notre Théo restait tout de même silencieux. Il ne voulais pas ouvrir la bouche.Moi: mais parle voyons.Théo : voilà d'accord comme vous insistez je vais vous envoyer quelque part aujourd'hui. Au tombé de la nuit. On se donne rdv chez toi Junior.Laurent : OK mais dis nous au moins à quoi tu penses. C'est quoi ton idée ??
Une chose avait apparut devant nous. D'un geste brusque et comme par magie cette fameuse chose était sortie de la terre et cela m'avait mis hors de moi. Je voulais m'en fuir mais je me suis dis que c'était une mauvaise idée. Je serai certainement un homme mort si je le faisait. Mes dents se frappaient jusqu'à faire des bruits.Cette chose avait une apparence tellement étrange comme si son corps était gluant avec une sorte d'écailles partout sur tout le corps. Ses mains étaient tellement grandes que j'aurais juré qu'ils pouvaient atteindre deux mètres. Une chose me terrifiait encore plus sur cette parure de chaire qu'il avait c'était cette corne qu'il portait sur la tête. Ceci dit cette corne était pliée on aurait dit celle d'une veille chèvre. Aussi cela lui donnait un aspect encore plus effrayant. L&agra