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Chapitre 1 MARIAM SÔ Ma VIE

LA VIE.

Je me permet de commencer avec cette belle chanson. 

De sa vieille voix de rogomme

Un soir qu'il avait bien pinté

Voilà ce que le père "Ma Pomme"

Plein d' bonne humeur, m'a chanté

La vie est une belle fille

Qui sourit à qui sait l'aimer

Elle nous prend, elle nous entortille

Uniquement pour nous faire trimer

Sans pitié pour ceux qui roupillent

Pour les fainéants, pour les paumés

La vie n'est facile et gentille

Qu'à ceux qui savent la gagner

Ah oui je la chante parce-que la vie n'a pas été ce que je pensais.

J'avais toujours pensé depuis le ventre de ma mère vivre la fourchette à la bouche. Je rêvais naître dans un pays hautement développé.

Je me voyais naître dans une famille où doit régner la joie L'amour et tout le reste. 

Malheureusement j'ai connu la douleur de la vie.

Je pensais vivre et mourir mais celà n'a pas été le cas.

La vie me fait connaître une autre de sa face en me donnant une belle famille aussi compliquée que tout tout cela pour une erreur de jeunesse indépendante de ma volonté.

Et enfin je me dois de subir la douleur de ma propre fille.

Mon Dieu pourquoi vivre encore ?

Pourquoi tant de souffrance ?

Je me suis longuement posé la question sans jamais trouvé de réponse.

Il faille mourir que vivre de Souffrance.

                          MARIAM SÔ

LES CHRONIQUES DE JUDI EN COLLABORATION AVEC MÉAT PRODUCTION PRÉSENTE :

MARIAM SÔ

DANS 

MA VIE

UNE IDÉE ORIGINALE DE L'ÉCRIVAIN POÈTE JUDI LE ROMANTIQUE PLUME

PARTIE 1️⃣

Quand j'y pense j'ai toujours les larmes aux yeux.

Et chaque jour mon cœur saingne sans point finir.

Si je l'entendais ailleurs je dirais que c'est une histoire et que cela serait impossible.

Malheureusement l'histoire s'est traduite en réalité et m'a rejoins.

La patience m'a été pendant de longues années à supporter frères et sœurs beaux-frères et belles sœurs, voisins et voisine et servantes et autres.

Le malheur m'a frappé au plus profond de moi.

J'ai été touché dans mon fond intérieur.

Je n'arrive toujours pas à croire.

Pour moi c'est toujours un rêve.

Mais un rêve que mes yeux ont vu en étant ouvert.

Mes propres entrailles.

Jusqu'à toi?

Pour quel amour ?

Je pleure chaque jour de ma vie et je me demande pourquoi avoir existé pour voir celà.

Il serait mieux de mourir que vivre tout Cela.

Ma vie a été pénible.

Loin que cela soit pour vous une histoire c'est la réalité.

Mon passé, mon présent

D'hier à demain .

Je suis une histoire de vie, un conte à conter de nations en nations de génération en génération.

Une enfance terrible pour un avenir pitoyable.

Étais ce pour que je sois une vie à conter???

Et j'ai toujours les larmes aux yeux,

La mer sur le corps, la plume entre mes mains

Assise à une table pour commencer une vie sans fin 

Une vie ou le sourire manque de place, ou l'hypocrisie est la base de l'être ou la la nature vous trnaforme.

Mes larmes ne cesseront de couler tant que ma mémoire sera.

Et tout commença ce 06 Janvier 1993.

Ma mère était la troisième femme de mon père.

Son arrivée dans le foyer en présence des deux premières femmes n'a jamais été la bienvenue.

Il lui fallait rester seul dans sa chambre du matin au soir et s'il fallait faire des choses qu'elle ne maîtrisait pas il fallait qu'elle reçoit toute sortes d'injures de propos déplacés avant de recevoir l'aide.

Ce n'était vraiment pas facile pour elle.

Aussi mon père avait une confiance aveugle pour ses deux première femmes.

Jusqu'à ce jour je n'étais pas encore né.

J'étais dans ce monde intelligible mais je voyais déjà ce qui se passait.

Un soir alors que c'était le tour de ma mère de faire la cuisine, elle fit tout le nécessaire mais ayant un besoin urgent le temps d'aller se mettre à l'aise l'une de ces coepouse ajouta une grande quantité de sel dans sa sauce.

Femme naïve qu'elle soit une fois de retour elle ne vérifie rien et pour elle, elle avait déjà fait une magnifique cuisine pour son mari.

Vous pouvez déjà immmaginer ce que celà allait lui coûter.

Elle a été privé d'argent de popote pendant deux semaines et ne bénéficiait plus bien de la tendresse de mon père.

Chose bizarre ses coepouse n'agissaient pas en cachette.

Au contraire elles le font en présence d'elles lui faisant comprendre qu'elle va souffrir ici si elle ne quittait pas mon père.

Ce qui allait tout bousculer c'est qu'après un an au foyer ma mère n'avait toujours pas conçu d'enfant.

Elle recevait les insultes de part et d'autres.

Je me rappelle de ce jour ce soir là.

C'était pénible écoutez bien ceci des propos pour un être humain.

Tous les trois mon père et ses deux femmes se réunissent et commencent à lui lancer des paroles insignes

Mon père : Que ferais-je avec un arbre qui ne donne pas de fruit.

Sa première femme : Ceci ne ressemble pas à un arbre c'est plutôt un WC ou tout le monde à déjà laissé sa matière fécale.

Dans une situation pareille impossible d'avoir d'enfant

Sa deuxième femme : N'en parlons même pas il faut la jetter au dehors on ne fait rien avec un miroir qui défigure.

Ma mère a reçu tout cela elle seul.

C'était dur pour elle mais comme on le dit quand le pauvre crie, Dieu entend.

Six mois après ma mère tomba grosse.

J'allais être le mouchoir qui allait effacer ses pleures qui allait allégé sa souffrance.

Malheureusement elles ne me laisseront pas bénéficier de ma mère.

Tout ce que je vous disais c'est ma mère qui le l'a raconté.

À toi AMINATA BOBO où que tu sois que Allah t'accueille.

15 Mars 1990.

C'est ce jour qui permit à ma mère de retrouver sa place dans le foyer.

Ma venu au monde n'a vraiment pas été facile ma mère a faillit donner sa vie pour moi ce jour là mais Dieu faisant nous avions survécu tous les deux.

Malgré le faite que je sois né les coepouse de maman étaient toujours en guerre avec elle.

J'avais une santé normale.

Trois mois après ma naissance ma mère me porta un de ces matin à la Mosquée me présentant à Allah de veiller sur moi.

Elle disait.

_ Je te remercie mon Dieu pour cet enfant que tu m'a donné.

Ce n'est plus ma fille mais ta fille.

Aide moi à veiller sur elle ou encore toi même veille sur elle c'est ta fille.

Après la mosquée elle alla au Marigot prendre de l'eau et se rendit à la maison.

Après tout ses travaux j'etais l'unique personne avec qui elle pouvait s'amuser même si à trois mois je ne comprenais rien.

Pour moi rire et pleurer étaient les deux choses essentielles.

Deux ans plus tard.

J'avais maintenant deux ans et j'étais très turbulente j'allais partout et je touchais à tout.

Ma mère avait très peur pour moi.

Elle ne voulait pas que quoi que ce soit m'arrive alors elle m'enfermait pour la plupart du temps dans sa case.

Mon père n'avait vraiment pas le soucis de moi.

Pour lui faire des enfants est l'essentiel.

Alors qu'un soir j'avais fuis de la case de maman pour aller chez l'une de ses coepouse cette dernière faisant semblant de me donner un peu de pâte à manger versa une bonne partie de pâte chaude sur mon pied.

Mon crie de pleure était si fort que ma mère se mit à ma recherche.

Dans une situation pareille je reconnaissais la case de maman.

Je me retourne tout en pleure et difficile de marcher.

Ma mère avait les larmes aux yeux.

Elle vint me donne un coup de fessé puis me prit dans ses bras en me disant dans notre langue ceci.

_ Ne t'ai-je pas interdit de ne jamais aller là-bas.

Voilà les conséquences.

Mais elle aussi est très cruelle.

Que peux tu comprendre à cet âge là.

Verser une pâte chaude sur une enfant de deux ans?

Pour éviter tout problème elle ne dit rien et garda cela en elle.

Je ne pouvais plus m'amuser comme avant car ayant un pied enflé.

Ma mère me portait au dos pour tout ses déplacements.

Cinq mois plus tard j'avais guerri de ma brûlure.

Trois ans plus tard.

J'avais maintenant cinq ans et je parlais maintenant.

Je devais commencer l'école.

Mon premier jour de classe ma mère m'avait bien habillé et une fois prête allait m'accompagner à l'école primaire.

Ce jour elle me dit.

_Mariame et je répondis oui M

Oui Ma c'était ainsi qu'on appelait nos mères.

Ma: Mariame ma fille aujourd'hui tu commences l'école.

20 ans plus tard tu seras ma joie.

Moi: Amine amine merci Ma je fera tout pour te rendre heureuse un jour.

Ma mère avait été un peu à l'école donc je n'avais pas de soucis pour mes exercices.

Aussi Pour le français je n'avais pas droit à l'erreur elle me corrigeait sauvagement.

C'était mon tout.

Un soir après mon retour de l'école primaire m'appela.

Ma: Mariame où es-tu ?

Moi: Me voici Ma je mettais la marmite au feu pour votre cuisine.

Ma: D'accord laisse tomber cela et va prendre ton cahier.

Je m'occupe du reste.

Moi: Mais Ma j'ai déjà fini avec mes exercices et j'ai appris mes leçons également.

Ma: N'empêche tu dois être une grande personne demain alors va lire même si l'objectif sera de rêver devant ton cahier.

Je n'avais pas le choix.

Chez nous ton parent ne peut parler et tu dois riposter.

J'ai alors pris la direction pour les cahiers.

Depuis mon cours d'initiation (CI) je n'avais pas lâché la première place.

J'étais bien formé par ma mère.

J'étais très petite mais je comprenais certaine chose.

Comme on le dit ce n'est pas l'âge qui fait de vous une personne mâture mais les circonstances de la vie.

Malheureusement pour moi ma joie ne sera pas de longue année.

Deux ans après alors que j'étais en classe de CE1 j'avais quitté la maison ce jour-là en disant à ma mère.

Moi :Ma. je vais à l'école je reviendrai le soir porte-toi bien.

Ma: d'accord ma puce à ce soir fais attention sur la voix.

J'étais parti à l'école ce jour là toute heureuse mais mon retour allait être autre chose.

De retour du l'école j'ai remarqué un grand silence de cimetière dans la maison.

D'habitude Ma avait l'habitude de venir m'accueillir chaque fois que je rêvais de l'école.

Ce jour là non personne ne m'avait accueilli et personne ne va plus m'accueillir.

J'ai courru rapidement dans la case de Ma mais elle n'y était pas.

Ils l'avaient déjà déplacé.

Je ne peux dire exactement ce qui est arrivé à ma mère mais tout ce que je sais elle qu'elle m'a quitté tragiquement .

Mon père m'a juste dit que maman est parti.

J'étais petite mais j'étais encore plus forte que tout.

Je n'avais même pas coulé des larmes.

J'ai eu au moins la chance de revoir ma mère une dernière fois avant son inhumation le lendemain matin.

Vous savez chez nous les musulmans c'est la tradition.

Il fallait vite faire son enterrement.

J'allais vivre toute seule maintenant.

Avant le dernier Adieu à Ma j'ai soufflé ceci dans son oreille.

Moi: Où que tu seras protège moi et demande à Allah de toujours me protéger.

Une enfance terrible allait commencer.

Lorsque vous n'avez plus l'être chère et aimé à vos côté c'est dur.

Trois mois après le départ de maman sa petite sœur Sakinatou allait devenir ma mère.

Elle était douce comme maman et m'amait beaucoup.

À suivre.

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JUDI le ROMANTIQUE PLUME

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Nationalité : Béninoise

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Productrice : MEAT Production

Édition : La Lumière

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