<<Le mérite d’un homme réside dans sa connaissance et dans ses actes et non point dans la couleur se sa peau ou de sa réligion >>
Kaleb l’observait avait une attention accrue cherchant comme s'il cherchait à graver chaque trait de ce délicat visage dans sa mémoire. Elle était si belle avec ce teint couleur miel, qui lui rappelait le couché du soleil, sa beauté était sauvage et ostentatoire, ces lèvres pulpeuses, était une silencieuse invitation à s’abreuver de leur nectar.
Mais le plus troublant dans les traits de son visage, s’était la longueur de ses cils, aussi long que les ailes d’un aigle en plein vol.S’il n’avait pas v&eC’était trop affreux à dire. En outre cet homme la troublait et la déconcertait à la fois. Un instant il cherchait à abuser d’elle, un autre, il la logeait au creux de son épaule et s’occupait d’elle avec tout le naturel possible, comme si c’était la chose la plus normale. Il battait le froid et le chaud en même temps, alors rien de surprenant à se qu’elle se perde dans la personnalité très complexe de son geôlier. Doté d’une personnalité simple, ouverte, chaleureuse et généreuse, Sadia voyait en cet homme, une véritable énigme.-Violer…-Quoi?-Violer, c’est le mot que vous cherchiez. Vous savez il faut savoir employer les mots dans leu
Je…je… ne voulais pas vous blesser à la main. Je suis désolée. Faut me croire...Je…je n’ai jamais blessé quelqu’un de toute ma vie. Dit-elle, des sanglots dans la voix.Il arrima son regard de prédateur au sien. Et ce qu’il y lu, le déconcerta passablement. Ses yeux couleur ambre était voilé de regrets…Sincères.Il eu un silence entrecoupé par les larmes de la jeune fille. Kaleb ne sut comment réagir devant cette situation, il ne s’y attendait pas du tout. Elle ne simulait pas. Elle semblait vraiment attrister de l’avoir blessé. Ridicule, pensa t-il.Agacez, il sorti de la pièce en faisant claqué la porte derrière lui. La laissant prendre son bain seule. Aussi étran
<<Ta voix me hante, jusque dans mon sommeil j’écoute ta voix, je continue de ressentir le contact de ta peau contre ma peau même dans mes rêves. Pardonne ma faiblesse, excuse ma détresse, soit ma forteresse. J’ignore pourquoi mais sans toi, survivre m’est impossible. Je te veux dans ma vie…>>C’était la déclaration d’amour la plus profonde qu’elle ait eu à entendre de toute sa vie, comble de l’ironie cela venait de la personne la plus détestable qu’elle ait rencontré en vingt-deux ans d’existence. Elle venait à peine de sortir du sommeil de plomb dans lequel, la peur et l’anxiété de vivre ces dernières heures sur terre l’avait plongé. Réveillée par ces paroles, elle avait d’abord cru rêver mais petit à petit, une voix grave et sensuel
Une main de fer se referma sur celle qu’elle avait posé sur son bras nu. Elle sursauta et voulu s’écarter de lui mais ne put retirer sa main. Soudain elle se senti attiré vers lui brusquement et se retrouva allongé sur son corps puissant.La main encore libre du cheikh se posa sur son dos et se mit à la caresser – le drap dont elle s’était recouverte avait glissé et se retrouvait désormais par terre - en un mouvement lent de va et vient du haut de son dos vers le bas.La respiration de moins en moins rapide, elle se laissa griser par la chaleur de cette main sur elle. Elle se perdait petit à petit dans le tourbillon de sensation que provoquait en elle les doigts de cette homme énigmatique en prise avec les démons de son cauchemar.
Il ponctua ses derniers mots par un lent et froid sourire qui en disait plus que mille mots au sort qu’il lui réservait.-Voyons, ne soyez pas stupide, reprit-il, -cette fois avec une note d’impatience dans la voix- je ne vais pas me priver plus longtemps de ce pourquoi vous êtes ici!-Je vous en prie majesté ne faite pas cela…-Et pourquoi ne devrais-je pas le faire selon vous.- Parce que vous… vous êtes quelqu’un de bien, je le vois moi, vous n’êtes pas cet être dépourvu de bons sentiments que vous essayez de paraitre, il y’a du bon en vous je le sais. Alors ne faites pas ça. Ce n’est pas seulement moi que vous allez détruire, une partie de vous va mourir en même temps que mon âme. Faites pas ça…Svp
Le corps recouvert d'eau, les genoux remontés sur sa poitrine, tout son corps était traversé de violents soubresauts, Sadia se sentait salle, impropre, vidé. Elle n'avait plus la force de se battre, elle voulait se perdre dans les abysses de l'oubli, car il n'est pas de montagne plus haute que les marches de l'oubli.Dans un état second, elle laissa son corps meurtri glisser le long de la baignoire. L'eau lui recouvrait le visage, mais elle ne fit rien pour remonter à la surface, elle voulait oublier ou peut être mourir... Elle ne savait plus ;Elle se sentait partir doucement mais surement... Avec cette intime conviction quelle s'approchait du chemin du non retour. Une sorte de langueur se répandait en elle, ses paupières étaient lourdes, elle suffoquait, étouffait, mais à aucune seconde elle ne songea à
Avec la discrétion qui la caractérisait, Assour, la servante de la princesse sorti et revint avec un drap dont elle recouvra la nudité de la jeune inconnue. Qui sans prêter attention continua à pleurer le visage enfouis dans le coup de la princesse.-Oh votre majesté si seulement vous pouviez voir ces blessures qui zèbre le dos de cette si jeune enfant...Qui peut donc ainsi traiter une fleure à peine éclot. Il est évident qu'elle vient à peine de quitter l'inconscience de l'adolescence... Elle semble si affai...blie. Les dernières syllabes ne parvinrent à franchir le seuil de ses lèvres étouffées par un sanglot.
Ou est-elle?Tonna Kaleb dans un grondement guttural aussi terrifiant qu’une nuit d’orage, où le bruit retentissant du tonnerre fait écho au déchainement des forces de la nature. Un silence assourdissant s’en suivit.Les gardes qui l’entourait semblaient statufiés, comme pétri dans la pierre. La colère du roi allait grandissante menaçant de n’épargner personne sur son passage.-Je ne me répèterai pas, où est-elle? fit- il en articulant chaque mot comme s’il s’adressait à des attardés mentaux.- Je… votre majesté, de qui parlez vous? Osa demander Djaffar le visage blême,