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Chapitre 2: La flamme de l'amour

La dernière fois que j'avais rassembler mon courage pour parler à une fille qui me plaisait elle s'était chargée de me ridiculisé de la pire des façons

--- Annie ? S'il te plaît, j'aimerais te dire quelques chose.

--- euh... Oui je t'écoute...

--- en fait... De... Depuis que nous avons commencé à étudier ensemble, je... Je ressens des choses pour toi. Tu es vraiment une fille très gentille, douce, intelligente et altruiste et en fait... Je pense que, non je suis certain que je suis ... Tombé amoureux de toi.

J'attendais  sa réponse avec appréhension. Elle m'as regardé sans mots dire pendant quelques minutes puis elle à éclater d'un rire moqueur avant de dire:

-- dis moi tu n'est pas sérieux n'est ce pas ? 

--- je suis très sérieux, crois moi...

--- tu penses vraiment qu'une fille comme moi peux avoir une relation amoureuse avec un garçon comme toi? Je ne veux pas être méchante mais dis moi un peu t'es regardé ? Nous ne sommes même pas de la même classe sociale ! Je suis vraiment désolée mais il n'y a aucune relation possible entre nous et il n'y en n'aura jamais.

Ça réponse m'avait briser le cœur en mille morceaux. Elle ne m'avais pas giflé mais c'était tout comme, peut être aurais je même souhaiter qu'elle le fasse plutôt que de me répondre avec cet air méprisant et moqueur. comme si ça ne suffisait pas, elle  m'avait laissé planté là été était partie sans plus m'accorder un seul regard. Le lendemain toute ma salle de classe se moquais de moi j'ai compris qu'elle avait tout raconter à ses copines et que celles si s'étaient chargées de transporter la nouvelle dans toute la classe. J'étais ridicule toute la journée. Je me sentais  idiot, inutile et tellement inférieur que dès ce jour j'ai décidé de ne plus faire la cours aux filles.

Aujourd'hui j'étais toujours célibataire mais cette fois ci ,ce n’étais plus pour les mêmes raisons qu’avant ! cette fois j’étais étudiant, je n’étais plus dans un collège huppé ou tout le monde regardait les autres de hauts, je n’étais plus aussi frustrer qu’avant. Mon style était beaucoup plus soigner qu’avant et j’avais gagné un peu plus de confiance en moi. 

En fait, mon réel problème était que je croyais plus vraiment en l’amour, tellement mes avances avaient été repoussée de manière humiliantes que j’en avait conclu que je n’étais pas fait pour l’amour, ou que l'amour n'existait tout simplement pas. J’y croyais dur comme faire jusqu’au jour où j’ai rencontré Anaïs.

J’ai rencontré Anaïs lors d’une petite fête, ou henry m’avait entrainé. Je ne voulais pas sortir mais henry n’avait cessé d’insister !

--Tu es jeune hein ! pense même souvent à t’amuser hein ! c’est bien pour la santé

J’avais éclaté de rire avant de dire :

---Fou le camp ! tu es médecin depuis quand ?

---Ekiée est ce que j’ai besoin d’être médecin ? je connais norr ! were viens on sort…tu peux même trouver la femme de ta vie

— C’est moi qui t’ai dit que je cherchais l’amour de ma vie ?

—Tu es trop seul dis donc ! tu dois avoir quelqu’un dans ta vie… Quelqu’un pour t’aider, donc….

—Pardon gar ça va on sort ! si je m’amuse ici on ne va jamais s’en sortir.

Henry adorait me charrier à propos de mon célibat prolongé, raison pour laquelle je préférais clore le sujet. Je suis allé me préparer et nous sommes sortis.

         

J’étais aller me doucher, et je m’étais habiller pour la fête, j’avais porté une un jean moulant avec une chemise carrelée, j’avais complété le tout avec un tennis simple et j’avais retrouvé henry qui s’impatientait déjà, dès qu’il m’a aperçu, il a dit d’un air moqueur :

—Mon frère tu dures aux toilettes comme une femme ?

—Dis donc laisse-moi tranquille ! tu parles même encore trop je ne sors même plus hein !

—Regarde-moi l’autre ! comme je t’ai flatté pour qu’on sorte ensemble là ! tu vas commencer à mimba (se vanter). Mouff passe ici on sort.

Une fois à la fête, Pamela la petite amie d’henry s’était rapproché de nous, elle semblait très surprise, elle a embrassé henry avant de se tourner vers moi en me tendant la main Puis, elle s’est tournée vers henry.

—Mais henry tu viens de faire un miracle ! comment as-tu fait pour faire sortir Florent de la maison ?

—Ça n’a pas été facile mais aujourd’hui j’ai enfin réussi !

—  ah ça tu l’as dit. Puisque nous ne savons pas si cet exploit se reproduiras après un siècle ou deux, profitons s’en pour lui trouver une copine !

—Ma chérie tu as totalement raison, il faut vite trouver une fille pour le caser. Sinon il risque de mourir célibataire.

Ils parlaient de moi comme si je n’étais pas là, ça m’amusait tellement que j’ai fini par dire :

—He ho ! vous deux là je suis là hein ! je suis ici vous faites comme si je suis sourd

Nous nous sommes tous mis à rire ensuite, j’étais aller m’asseoir, dans un coin de la salle tandis que henry était déjà en train de se défouler sur la piste de danse en compagnie petite amie. Quant à moi, j'étais là à siroter une bière tout en surfant avec mon smartphone sur F******k.

  Je naviguais sur la toile depuis déjà 30 minutes, et sérieusement je commençais déjà à m'ennuyer, avec la musique je ne pouvais pas me concentrer sur mon téléphone et je n'avais pas non plus envie d'aller sur la piste de danse, je regrettais déjà pourquoi j'avais mis les pieds à cette soirée, je n'aurais pas dû écouter Henry, j'aurais dû passer ma soirée à visionner et surfer dans notre chambre mais lui, il avait fallu qu'il m'entraine ici.

J'étais encore là dans mes pensées lorsque quelqu'un a arraché mon téléphone d'entre mes mains, hébété et énervé à la fois, j'avais levé mon visage avec fureur, lorsque j'ai vu Henry placer devant moi les bras croisés, il était accompagné de Pamela et d'une autre jeune fille que je ne connaissais pas.

 —Mais Florent tu fais quoi assis ici comme un enfant ? 

-   Aka moi je veux rentrer ! Je suis fatigué

—Tu es fatigué que tu as fait quoi ? Mais Florent toi même si pourquoi tu es comme ça ?

—Je suis comment ? Je ne connais personne ici ! 

 —Tu ne me connais pas ? Tu ne connais Pamela ?

—Vous étiez occupés, je devais faire comment ? 

—Comment ? Tu ne peux pas inviter une fille a danser ?  

—Toi-même tu sais que je ne suis pas habitué aux trucs comme ça ! 

Pamela qui depuis le début de l'échange était resté muette, s'était avancé et avait dit : 

—Florent, pourquoi tu fais comme si tu es malade comme ça ?

—Je ne suis juste pas à l'aise c'est tout ! Et je m'ennuis… 

—C’est un problème d'ennuis n'est-ce pas ? 

—Oui

—Ok voici mon amie Anaïs. Elle est nouvelle dans la ville et ne connais encore personne, je me suis dit que vous pourriez vous entendre au moins pour cette soirée. 

J'ai regardé la dénommé Anaïs et dès que nos regards s'étaient croisés, elle avait directement baissé les yeux. Tout comme moi elle semblait ne pas être à l'aise dans ce milieu je me suis levé et je lui ai tendu la main. Elle l’a serré avec réserve.

—Bon maintenant que vous êtes présentés, mon chéri et moi nous allons vous laisser.

Pamela avait dit cela en entrainant henry vers la piste de danse. Au moment où nous nous étions retrouvés seuls, je m’étais tourné vers Anaïs et j’ai dit :

—Bon je suppose que toi non plus tu ne t’attendais pas à ce guet-apens ! 

—Elle avait souri avant de secouer la tête en signe de négation

—Je m’en doutais bien ! bref du moment que nous sommes là nous ne perdons rien à faire connaissance. Je me trompe ?

—Avec tout ce vacarme, je ne pense pas que ce soit l’endroit idéale pour ça !

J’ai souris, depuis qu’elle était arrivée avec Pamela et henry c’était la première fois qu’elle prenait la parole 

—Enfin tu parles ! à un moment je me suis dit que tu étais muette !

Elle avait éclaté d’un fou rire, c’était la première fois que je la voyais rire mais déjà, j’adorais la voir rire. Je sentais que j’étais prêt à tout pour la voir rire ainsi.

—Je ne suis pas muette loin de la rassure toi ok ? c’est juste que je ne suis pas très à l’aise lorsque je suis avec un inconnu.

—Oui c’est normal. Et si on allait sur la terrasse pour discuter ! là-bas c’est beaucoup plus calme.

—Oui je préfère mieux ça !

—Nous étions allées nous asseoir sur la terrasse et nous avons à commencer à parler.

—Anaïs parle-moi de toi je t’en prie !

—Qu’est-ce que tu veux savoir concrètement ?

-Tout ! par exemple ce que tu viens faire dans cette ville.

—Bon tout d’abord hum…je m’appelle Anaïs j’ai 20 ans, et je viens d’obtenir mon baccalauréat, je suis ici pour m’inscrire à l’université 

—Hum…c’est un bon résumer ! alors félicitation et bienvenue parmi nous. 

—C’est tout ? tu ne vas pas aussi me parler de toi ? 

—Ok ! ok ! moi je m’appelle Florent, j’ai 24 ans et je viens d’obtenir ma licence je vis avec henry le petit ami de ta copine, au fait comment as-tu connus Pamela ?

—Nous sommes amis depuis longtemps, juste qu’elle a eu le bac avant moi et elle s’est avancée.

—D’accord je vois

Nous avons passés le reste de la soirée à bavarder, se taquiner et rire… cette fille avait un charme fou ! c’était juste incroyable, en plus d’être belle, elle était intelligente, mature et ambitieuse.

Nous étions rentrés tous ensembles ce jours-là ! mais je ne gérais pas les autres, tellement j’étais captiver par Anaïs, je n’avais même pas eu besoin de lui demander son contact, elle me l’avait donné d’elle-même ! 

Henry et Pamela pouvaient être fières d’eux car lorsque j’entrais dans notre chambre avec henry, j’étais un autre homme ! une flamme c’était allumé en moi, une flamme magique et irremplaçable : la flamme de l’amour !

A suivre

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