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BLIND LOVE CHAPITRE 3

#CHAPITRE_3

Ils sont arrivés. Patrick prit la clé à la fenêtre comme si de rien n’était, comme sis ça avait toujours été chez lui. 

NADIA : chéri tu laisses tes clés à la fenêtre ? Et si un jour on les vole ?

PATRICK : c’est sans crainte chérie. Encore que j’ai mon ami qui reste ici depuis quelques temps tu vois … Il pourrait venir de temps en temps et ne pas me trouver. 

NADIA : ah je vois. 

Il ouvrit la porte et ils entrèrent. 

PATRICK : bienvenue chez toi ma reine. Voici donc où je me cache. 

NADIA : waouh, c’est tout beau chez toi ! Tu dois être un vrai maniaque toi (glissant son doit sur la table) 

L’appartement de David était très propre. Il vivait comme un chat. Nadia était contente, et satisfaite. 

PATRICK : on pourra souvent se voir ici, qu’est-ce que tu en pense ? (S’asseyant avec elle sur le canapé) 

NADIA : c’est bien… mais.. 

PATRICK : mais quoi encore chérie ? 

NADIA : à chaque fois que je pense à toi, je pense aussi à cette fille. Je ne suis pas seule dans ta vie à ce qui parait. 

PATRICK : bb, ne t’ai-je pas assez prouvé mon amour pour toi ? Si celle-là est toujours dans ma vie, montre-moi un seul de ses affaires ici. 

NADIA : … elle peut partir avec tout non ? 

PATRICK : tu me blesse Nadia ma chérie. Je n’ai jamais été aussi honnête de toute mon existence. C’est parce que tu ne peux pas ouvrir mon cœur, tu aurais vu comment la grande place t’es réservé. 

NADIA : tu es sérieux ? 

PATRICK : tu doutes encore de moi ! Bon dis-moi, j’ai déjà fait quoi qui t’a déplu ? Tu me reproche de quelque chose ? 

NADIA : pas du tout. 

PATRICK : et alors ?? 

Il s’ajusta tout près d’elle et pris ses mains, la regardant droit dans les yeux. 

PATRICK : Nadia ma chérie, je t’aime. Je veux que nous soyons plus que des copains copines. Je n’ai pas pour intentions de jouer avec tes sentiments. 

NADIA : je veux aussi une relation durable. 

PATRICK : alors vivons-le et je te prie d’avoir confiance en moi. 

Il mit sa main sur sa joue la caressa avant de poser ses lèvres sur les siennes. Elle répondit au baiser. Il continua de l’embrasser, avec ses mains baladeuses. C’est avec délicatesse qu’il glissa astucieusement ses doigts sur les jambes veloutées de sa proie. Ça lui plaisait bien, elle était consentante. 

PATRICK : on va dans la chambre bb ? 

Elle refusa d’un geste de la tête. 

Il se détacha d’elle et la fit coucher le long du canapé. Une de ses jambes était posée au sol. Il se mit sur elle en califourchon et continuait de l’embrasser. Il enleva sa chemise, souleva la robe de Nadia et parsemait son ventre de baisers humides. Il bichonnait son bas ventre avec ses lèvres et lorsqu’il voulut baisser son slip, elle stoppa sa main. Il ne força point. Il se contenta d’enlacer juste. Il tenta à nouveaux mais.. 

NADIA : non, on ne peut pas le faire. 

PATRICK : et pourquoi ? 

NADIA : parce que… parce que j’ai dit que je venais juste voir la maison. 

PATRICK : et c’est tout ? Je suis ton homme non ? 

Il parlait ainsi en la regardant dans les yeux et en caressant son clitoris avec son majeur. Le liquide gluant qui sortait lui permettait de mieux glisser. Il caressait désormais avec deux doigts et insistait sur sa partie sensible. Car avait-il remarqué, elle perdait ses mots. 

PATRICK : dit-moi si je ne suis pas ton mec.. 

NADIA : tu l’es. 

PATRICK : et pourquoi tu me refuse ce qui me revient de droit ? hein ma reine ?

NADIA : je… je suis vierge. Je ne sais pas le faire. 

 20 ans, jeune et vierge (ainsi s’était dit Patrick dans sa tête)

PATRICK : ah bon ? 

NADIA : ou…oui (en bougeant les pieds sur ce qu’elle ressentait en bas)

PATRICK : (bisou sur son bas ventre) je t’apprendrais, avec la plus douce des manières qu’il puisse exister. 

NADIA : pas aujourd’hui stp, je ne me suis pas préparé. 

Elle voulait se lever lorsqu’il insista de plus en plus sur son clitoris. Elle respira fortement et se recoucha. 

PATRICK : je vais te montrer quelque chose. 

Il retira son caleçon lentement, écarta ses jambes et caressait dorénavant son appareil avec la langue. Il la léchait, la suçait et pinçait légèrement de temps à autre. Elle réagissait plutôt positivement. Elle câlinait sa tête, son dos et avait lâché un « mince alors ». Elle s’agitait sur le canapé, et enroula ses pieds sur le cou de Patrick pour mieux ressentir. Il cherchait à pénétrer avec sa langue, mais son hymen était plutôt résistant. Il enleva sa tête pour mettre ses deux doigts, et voilà, le téléphone de Nadia qui sonna. 

Elle n’avait pas entendue la première sonnerie, tant elle était emportée par de fortes sensations. Patrick ne voulait pas aller fort, il voulait la dépucelé de telle sorte qu’elle ne s’en rende compte de rien. 

Le téléphone de Nadia sonna à nouveau. C’est à ce moment-là qu’elle sursauta et se précipita à prendre l’appel. À l’écran s’affichait JORIK et son cœur battait. 

NADIA : mince ! Comment j’ai fait pour oublier ça !

PATRICK : c’est qui princesse ? 

NADIA : mon grand frère. Il faut que je rentre 

PATRICK : déjà ? 

NADIA : je ne peux pas rester longtemps stp. Mon caleçon est où ? 

Elle lança un deux coup d’yeux elle ne vit pas son caleçon, et s’en alla comme ça. 

PATRICK : c’est quel départ si brusque ça ? On n’a pas fi…

NADIA : Patrick c’est mon grand frère, stp. Et désolé. (Regardant son pantalon gonflé) 

PATRICK : attends, je te raccompagne 

NADIA : non non, je me débrouille toute seule. On va te voir ainsi en érection ? Reste, je te fais signe. 

Elle sorti à toute vitesse laissant Patrick sur le seuil de la porte. 

PATRICK : fait chier ! Comme si j’allais d’abord te raccompagner ! Mais c’est qui ça ! 

David sorti de la chambre inattendus en frappant dans les mains

DAVID : bravoooo ahahahah 

PATRICK : toi ici ? 

DAVID : où voulais tu que je sois ? 

PATRICK : donc tu as tout entendus alors ! 

DAVID : il manquait voir ta tête lorsqu’elle t’a refusé le trésor. Ahahaha 

PATRICK : salaud ! Je ne te paie rien hein… 

DAVID : tu dis à qui ? Tu as même osé dire que ton ami quémandait la maison alors que c’est l’inverse. 

PATRICK : je n’ai rien fait, et toit même tu sais. Aucune pénétration. 

DAVID : ce n’est pas mon problème. Ahahahaha tu ne sais plus convaincre les filles alors… 

PATRICK : c’est à cause de son grand frère au téléphone, elle avait déjà pris gout. Elle m’a laissé dans un état de aaaahhhrrrr (tout furieux)

DAVID : son grand frère c’est un magicien alors… je prie qu’elle soit plus wise que toi. Là tu comprendras ce que ça fait. 

PATRICK : elle ne peut pas me dépasser. Je l’aurais la prochaine fois.

DAVID : et le coût de ma maison augmentera.

PATRICK : tu es un malade. 

DAVID : j’ai déjà parlé. 

#PDV_JORIK

Cela faisait une heure de temps que j’essayais de joindre Nadia. Je devenais déjà un peu inquiet, car j’ai appelé Rachelle et elle m’a assuré qu’elle n’était pas à la maison. Je voulais relancer l’appel lorsque j’aperçu quelqu’un dans le noir courir essouffler pour venant vers moi. 

MOI : Nadia ? 

NADIA : bonsoir Jorik. 

MOI : comment tu vas ?d’où sors tu ? 

NADIA : entrons d’abords stp. J’ai besoin d’eau. 

MOI : tu courrais ? Qui te poursuivait ? 

Elle but de l’eau une fois à l’intérieur et je l’observais. Elle respirait toujours fort et son regard était loin. 

MOI : je t’ai appelé sans succès pendant des heures. J’ai même cru qu’on avait un souci… 

NADIA : un souci ? non non. 

Nadia était la seule fille sur qui j’avais mis mon cœur. Elle est tout pour moi, comme une petite sœur, une meilleure amie et une copine. Je mentirais si je disais que je n’ai jamais eu d’aventure avec une autre, mais rien n’a jamais été sérieux comme ce que je ressens pour Nadia. Avec les autres c’était pour résoudre mes problèmes de pulsions sexuels par contre cette fille, je serais prêt à attendre jusqu’au mariage. Je savais aussi qu’elle m’aimait. Mais depuis quelques temps, je n’ai plus ces mêmes impressions. J’ai plutôt comme impression qu’elle me fuit, ou qu’elle a rencontré quelqu’un qui fait partie de sa vie et dont elle lui offre assez de son temps. 

Je la regardais en face de moi et j’étais si content. Elle était naturelle et si belle, une peau douce que je ne me contentais que de caresser depuis 3 ans déjà ; sa robe évasé lui arrivait au genou. Voir ses suaves et jolies jambes ainsi me donnait encore si faim d’elle. 

On était resté là, sans dire moi. Je me levai donc et allais m’assoir près d’elle. 

MOI : princesse tu m’as manqué… (Caressant ses cheveux.)

Elle ne me répond pas. 

MOI : on a un problème ? stp

NADIA : pas du tout à ce que je sache. 

MOI : et qu’est-ce qui se passe donc entre nous ? 

NADIA : comment ça ? 

MOI : je ne te sens plus. J’ai comme l’impression que tu t’éloignes de moi. 

NADIA : je ne m’éloigne pas de toi Jorik… je.. je remets juste en question mes sentiments pour toi. 

MOI : tu remets en question tes sentiments pour moi ? Et pourquoi ? 

NADIA : parce que… 

Elle se perd encore dans ses pensées et ne me donne aucune réponse. 

MOI : il y’a quelqu’un dans ta vie ? 

Elle me regarde en fronçant les sourcils. 

NADIA : non non… comment tu peux penser une chose pareille

Se tournant dos contre moi. 

MOI : te fâche pas, je demandais juste. Je veux juste savoir ce qui ne va pas entre nous. C’est tout. 

Nous sommes encore restés sans plus parler. J’avais une question qui me troublait l’esprit, alors il fallait que je me libère. C’était mieux que nous soyons clairs. 

MOI : Nadia, regarde-moi. 

Elle me regarde

MOI : tu m’aimes ? 

Elle continue de me regarder tandis que je patiente pour sa réponse. 

#PDV_NADIA 

Jorik avait véritablement ressenti la présence d’un autre homme dans ma vie. Sa question me fit battre le cœur. Il me regardait, et je n’avais plus assez de courage. Je voulais lui dire que je ne l’aime que comme un frère, mais je pensais à une autre chose. 

Je ne pouvais pas me séparer ainsi de Jorik. Même si je ne ressentais plus rien pour lui, je ne devrais pas le perdre. Jorik était le seul gars qui me soutenait véritablement dans mes activités, le seul qui pouvait me parler jusqu’à ce que je comprenne, ajouter à cela, il m’accompagnait tous les jours des classes à la maison. je faisais les cours du soir et rentrer tard dans la nuit n’était pas évident ni prudent. C’étaient autant de choses que je ne pouvais pas me permettre de tout gâcher pour Patrick. Alors face à sa question si je l’aime, je n’ai trouvé qu’une seule réponse à lui donner, un baiser sur la bouche. 

JORIK : je prends ça pour un quoi ? 

MOI : oui Jorik, je t’aime. 

Il me sourit et me pris dans ses bras. 

Il m’embrassa et je laissais. 

JORIK : tu m’as beaucoup manqué. (Bisou dans le cou). 

MOI : (sourire) 

JORIK : je veux te demander quelque chose mais je crains de ta réaction. 

MOI : il s’agit de quoi ? Vas-y… 

JORIK : j’ai envie de toi. 

MOI : envie de moi ?

JORIK : j’ai envie de toi Nadia. Te faire l’amour. 

MOI : euh… je… 

Je pensai directement à tout à l’heure avec Patrick, et mon clitoris qui faisait toujours un genre. J’avais moi aussi envie. Mais si je le faisais là avec Jorik, Patrick allait s’en rendre compte que je l’ai trompé. Or il est rassuré que je suis vierge.

JORIK : ne te sens pas obligé, si t’es pas prête je continuerais d’attendre. 

MOI : merci, merci pour ta patience. 

JORIK : mais je peux qu’en même te caresser partout non ? 

On s’embrassa de plus belle, je posai mas jambe sur la sienne et il me caressait les cuisses. Lorsqu’il arriva sur ma fesse qui était toute nue, j’ouvris les yeux instantanément et lui aussi. 

Mon cœur battait encore plus fort. Mon caleçon était chez Patrick. Jorik s’exclama

JORIK : tu as porté la robe évasée sans caleçon !? 

Il fronça les sourcils et me regardait avec influence en attendant ma réponse. 

Qu’allais-je lui dire ? 

A SUIVRE…

#larrime

#EcrireCestHurlerEnSilence

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