page 4

Après avoir passé une journée infernale. Oliver décidait de rendre une visite à sa mystérieuse inconnu. Julia où Monica, il ne savait comment l'appeler. 

Il garait devant le petit immeuble et regardait au troisième étage. Il vit une jeune femme assise au balcon de la maison de droite. Les autres lumière étaient toutes éteintes. Il jetait un autre coup d'œil à sa montre. 20h17 , à cette heure de la nuit cet immeuble était plonger dans la noirceur total. Il entreprit de monter quand même. 

Il montait les marches puis frappait à la porte. 

Julia était assise au balcon à contempler la Lune. Elle n'entendit pas les premiers coup, puis les coup devenaient plus fort. Elle sursauta et allait rapidement au salon. Elle n'attendait pourtant personne. Alyn n'était pas censée être ici et a part , Julia n'avait aucune autre amie excepté ses quelques voisins. 

-- qui es ? S'enquit t-elle avec une voix apeuré. 

-- Oliver. Déclare t-il. 

-- je ne connais aucun Oliver. 

-- vous allez m'ouvrir cette porte Monica ?

Jamais c'était impossible. Personne ne savait qu'elle était Latino , son identité était enfouit dans la terre et personne à part Alyn ne savait qu'elle s'appelait Monica, cependant cette voix derrière la porte ne semblait pas la rassurée. 

-- désolé je ne vous connais pas. Passez une bonne nuit. Fit t-elle 

-- OLIVER ANDERSON. JE NE VAIS PAS VOUS MANGEZ.  Siffla t-il en colère. 

Elle ecarquillait les surprise que cet homme soit derrière sa porte à cette heure de la nuit. Elle ouvrait la porte après s'être rassurer que c'était bien le visage du restaurant. 

-- Bonsoir monsieur... 

Au moment où elle se reculait apeuré, un homme à la taille olympique et à la carrure divine s'approchait de l'entrée, tout ses sens étaient en alerte. Il était d'une beauté à faire tomber plus d'une. Dans son manteau noir , elle ne pouvait voir à quoi ressemblait son corps mais elle pouvait facilement deviner qu'il était bien trop musclé. Julia se sentit intérieurement honteuse en regardant cet homme. 

Il l'a détaillait brièvement , mais fut quand même surpris par la beauté de cette femme. Elle n'était pas tellement grande, ni grosse, ni mince , cependant son pyjama cachait des courbes que l'on pouvait voir. Sa peau bronzé et ses longs cheveux ne l'avait pas laisser indifférent. Puis sans un mot, il tournait la tête vers le décor de son modeste appartement. Elle n'avait pas parler et attendait qu'il lui donne la réponse à sa salutation. 

-- Bonsoir mademoiselle . 

Sa voix grave avait fait vibrer toute la pièce, Julia ne s'étonnait pas d'entendre un voix pareil. Il était intimidant presque terrifiant, elle s'imaginait des scénario d'horreur rien qu'a le regarder.

-- vous... Votre argent. Je vous jure que je n'ai toucher à rien. S'empresse t-elle d'expliquer. 

-- je ne suis pas venus pour vous accusez de quoi que ce soit. Répond t-il Pénard. 

-- mais pourquoi... Je ne vous ... Enfin que me voulez vous?

Elle avait complètement perdu tout ses moyens, la Julia éveillé, pleine d'énergie qui n'avait froid aux yeux était là en face de cet homme aux iris verte complètement perdu et nerveuse. 

-- faire votre connaissance. 

Il l'avait appeler Monica, comment pouvait t-il savoir qu'elle s'appelait Monica et que Julia n'était qu'un leurre. Apparemment il savait beaucoup plus sur elle alors que voulait t-il d'autre. 

-- qui êtes vous? ... Écoutez monsieur je... Je... 

-- et si vous me laissez entrez? Avait t-il proposer sans l'ombre d'une douceur. 

Elle le laissait aussitôt passé comme hypnotisé. Son parfum l'avait flatter les narines au passage. Une odeur sensuelle et suave. Elle refermait la porte et se dirigeait nerveusement vers le canapé. Son coeur se mit à tambouriner tellement qu'il émanait une force étrange. Froid, un peu trop froid, Oliver n'était d'aucune émotion. 

-- un café ? 

-- merci. 

Elle s'asseyait dans le canapé les jambes replié. Il continuait à la détaillé à la recherche d'un petit défaut mais hélas la jeune femme semblait être parfaite. Leurs regards se croisait par malchance et Julia s'empressait de les baisser pour ne pas qu'il lise dans son regard déjà terrifié. 

-- vous n'avez pas à avoir peur de moi. Déclare t-il. 

-- vous m'avez Monica... D'où

-- oui. Je suis bien obligé de faire quelques petites recherche sur toutes les personnes qui frôle mon entreprise. 

-- que savez vous d'autre de moi ? S'enquit t-elle anxieuse. 

-- pas grande chose. Juste que vous avez migré au États Unis avec vos parents. Vous avez eut un diplôme en Histoire et vous êtes professeur de sport. 

Il connaissait tout. C'était suffisant pour dire qu'il connaissait tout d'elle. Julia sentait la peur l'a gagner de plus belle. Serait t-il capable de l'espionner?

-- euh... Oui vous connaissez tout sur ma vie. 

-- non pas tout. Et c'est pour ça que je suis la. Je veux en connaître d'avantage. 

-- je ne suis pas sûre d'être très intéressante à découvrir. Je n'ai absolument rien qui puisse intéresser quelqu'un. Dit t-elle avec une panique qui se sentait. 

-- faîtes vous belle plus que vous ne l'êtes Julia. Demain je vous emmène dîner. Déclare t-il sévèrement. 

Sur ses mots il se levait et se dirigeait vers la sortie. Julia bondi pour lui ouvrir la porte. En sortant, leur corps s'était effleuré, Oliver pouvait jurer qu'elle en avait tressailli. Il se tournait pour lui souhaiter une agréable nuit. 

-- rentrez bien monsieur. 

Elle refermait la porte prête à s'évanouir, sa vite était des plus troublante elle éteignait la lumière fermait la porte du balcon et courait jusqu'à sa chambre. Cet homme l'avait inviter. Demain à la première heure, elle ira tout raconter à Alyn. 

∆∆

Oliver était retourner chez lui , les pensées un peu troublantes. Julia lui avait fait une drôle de sensation. Elle était d'une simplicité impressionnante. Il savourait son verre de whisky avant de prendre une douche pour s'endormir aussi rapidement. 

Au réveil, le froid était plus intense. L'hiver s'annonçait avec force. Il sorti très tôt de son lit. Aujourd'hui il se rendait à sa salle de sport pour se dégourdi les muscles, bien longtemps qu'il l'avait délaissé. Il fit quelques exercices puis retournait prendre un bain. 

Sa femme de ménage lui avait apporter le journal comme toujours. Ce matin, il décidait carrément de ne pas le lire. Aucune de ses informations ne devait gâcher sa journée. Il prit son petit déjeuner et filait à l'entreprise.