Il est au-dessus de moi. Il caresse doucement ma joue, essuie les quelques larmes qui y ont coulés, avant de m'attraper fermement par la taille et me serré contre lui. Je sens son parfum qui m'enivre et me fait oublier le désagrément que j'ai pu apprendre quelques minutes plus tôt. Son souffle chaud sur ma peau...
Oh bordel... Mais est-ce qu'il n'aurait pas eu raison ? Je me sors de son emprise si chaleureuse.
« Aller pousse toi ! Je dois me remaquiller avant de partir, lui dis-je en me relevant de mon lit.
- Je te laisse faire, il se couche sur mon lit, sur son dos en croisant les jambes.
- Mets-toi à l'aise surtout, je ne vais pas t'empêcher de te mettre bien. Je lève les y
D'une seule main il me rattrape par les hanches. Sa main toute chaude touche mon ventre dénudé et me procure des frissons intensent."Mais fait voir attention, t'as de la chance que je te suis comme ton ombre, je sens qu'il sourit en disant ça- Oh merci, il me rapproche de son corps et me colle à son torse"J'ai l'impression de plus rien entendre autour de moi. J'ai des papillons dans le ventre, je sens ses abdos musclé dans mon dos, sa main et encore sur mon ventre. Et la seconde touche mes cheveux. J'en oublie même que mon frère nous regarde, je me sens tellement en sécurité proche de lui.Son souffle chaud dans mon cou m'appaise et je me surpprend à sourrire.Il me retourne contre lui et me dis :"Tu as assez profité comme ça tu sais ? En me repoussant- Non, j'ai profité de rien du tout. C'est toi qui à profiter d'un mom
Mais c'est trop tard. Il a déchiré ma robe. Il est au dessus de moi et je suffoque...J'essaie de lui mettre des coups de pieds, mais une giffle viens s'abbattre sur mon visage.Je hurle et le griffe le plus possible. je me laisserais pas faire. Je peux pas vivre ça.'Mais laisse toi faire sale pute, de toute façon je te violerais quand même !"J'essaie de lui mettre des coups mais il les evite. Ma robe est de plus en plus déchirer. Et j'ai envie de mourir à l'instant. Je veux pas vivre ça.Je lui met un coup de pied. C'est le bon. Il se retrouve propulser sur le sol...Mais c'est Alejandro qui est là. Il se met sur lui et l'enchaine. Je hurle dans le fond de la piéce. Je suis en larmes, mais si fière qu'il n'est pas pu me toucher. Le poing de mon suaveur s'abat une nouvelle fois, encore, encore et encore. Le mec ne bouge presque plus mais il