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Partie 9:

Elle: sniff...sniff...sniff...

Je reviens de la rivière comme à mon habitude. Je vois ma mère entrain de pleurer assise devant  la cuisine. Je depose mes effets et m'approche d'elle tout doucement.

Moi: qu'est-ce que tu as maman?

Elle: sniff...sniff...sniff...

Moi: mais maman réponds-moi?

Elle: sniff...sniff...sniff...

Moi: papa t'a fait quelque chose?

Elle: sniff...sniff...sniff...

Je lui pose des questions pour savoir ce qu'elle a mais elle continue de pleurer. Qu'est-ce qu'elle a?

Elle: sniff...sniff...sniff...

Moi: il t'a battu?

J'ai entendu le bruit d'une voiture. Elle se dirige vers notre maison on dirait. Elle se gare et je remarque qu' Il n'y a personne dans la voiture. Même pas au volant de celle-ci. Mais donc qui la conduisait?...

Elle: je suis désolée Cécile...sniff...sniff...

Moi: désolée? Mais désolée pour quoi?

Je me suis sentie attirée par une force invisible. Elle me tire...elle me tire vers la voiture. Le moteur de cette dernière est toujours en marche comme si elle n'allait pas durer à l'arrêt. Je n'ai aucun moyen de me défendre contre cette force, je ne la vois même pas. Je me sens juste attirée vers cette voiture...ma respiration se fait de plus en plus courte au fur et à mesure que je me rapproche de la voiture. Je commence à paniquer...mais qu'est-ce qui se passe?

Moi: maman!...maman!...viens m'aider!

Elle: je suis désolée Cécile...sniff...

Sans que je ne comprenne comment, Je me retrouve très vite a l'intérieur de cette voiture. La ceinture se bloque et elle démarre. Mais il n'y a aucun chauffeur. À ce moment là, j'hyperventile. J'ai peur, très peur. Des larmes se mettent a couler sur mes joues. Qu'est-ce qui se passe?... C'est quoi ça? où est-ce qu'elle va m'emmener? Je regarde par la vitre. Je vois la voiture s'éloigner de la maison. Je pousse un dernier cri de désespoir.

Moi: MAMAN!!!!

*****

Je me réveille en sursaut. Ca fait déjà une semaine. Tous les jours depuis une semaine, je fais le même rêve chaque soir. Je reviens toujours de la rivière, je vois toujours ma mère en pleurs. Je lui pose toutes les questions possibles et inimaginables sur les raisons de sa tristesse mais c'est toujours le même scénario à la fin. Je suis fatiguée de faire le même rêve chaque soir. De plus ce rêve me terrifie. Je ne sais pas où cette voiture m'emmène, il n'y a même pas de chauffeur. Jamais je n'ai fais le même rêve autant de fois....c'est bizarre.

moi: pff!...

Ça me stresse. Je suis même en retard. Le soleil est déjà levé. Je sors et trouve ma mère devant la cuisine. Elle est assise et soutient sa tête avec sa main droite. Je m'approche d'elle.

Moi: maman?

Elle: hmmm?

Elle me regarde. Elle a un regard vide, on dirait une morte.

Moi: ca va?

Elle:...

Moi: hmmm?

Elle: oui, ca va.

Elle n'est pas loin de la mère qui est dans mon rêve. Elle aussi ne veut pas me dire ce qui ne va pas et ça commence à m'énerver. Quelque chose se passe. Je le sens mais je n'ai aucun moyen de savoir quoi.

Moi: tu es sûre que ça va?

Elle:...oui Cécile, ne t'en fais pas.

Moi:...

Pourquoi à chaque fois qu'elle dit ça. Je m'en fais encore plus?...bref. Je quitte maman pour la rivière où mes travaux champêtres m'attendent.

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Ça fait plus d'une semaine que je n'ai ni vu, ni parlé à Aurore et elle me manque terriblement. D'accord j'étais un peu jaloux de son cousin mais au moins quand il était la, je pouvais discuter avec elle. Ce matin j'ai décidé d'aller à la rivière où elle fait ses travaux. C'est vrai qu'elle est loin mais bon, je ferais tout pour la voir. Après avoir prévenu mes parents, je me dirige alors vers cette rivière très tôt le matin. Quand j'y arrive je trouve des femmes entrain de faire leurs travaux et Astride même mais pas Aurore. Je m'approche d'Astride.

Moi: salut.

Elle:...salut.

Moi: Ça va?

Elle: oui.

Moi: pourquoi tu réponds toujours aussi froidement?

Elle:...

Elle me toise et se reconcentre sur ces assiettes. Tanpis!Elle a l'habitude de me répondre comme ça. Si c'est parcequ'elle me déteste, je ne sais pas. J'aperçois enfin Aurore qui arrive. :) quand elle m'a remarqué, elle a jeté ses assiettes au sol et s'est précipitée vers moi. Elle m'a serré fort dans ses bras. Je n'allais quand même pas l'embrasser devant toutes ces femmes même si j'en mourrais d'envie. Toutes ces personnes connaissent ces parents donc... J'ai préféré la tirer dans un endroit calme, tranquille, à l'abri des regards indiscrets. Là j'ai pu aisément l'embrasser comme je le voulais. Si quelqu'un nous voyait, il verrait bien qu'on a été séparé pendant longtemps parce que la façon dont on s'embrasse la. On ne prend même pas le temps de respirer.

Moi: tu m'avais manqué.

Elle: (smack)...(Smack)...toi aussi. Beaucoup, beaucoup, beaucoup.

Moi: tout ces beaucoup là. :)

Elle: oui. Tu es tout beau oh...

Moi: lol et toi tu es toute belle. :) tu es plus belle que la lune et le soleil réunie parce que tu es mon Aurore.

Elle: :). Même si je n'aime pas que tu m'appelles comme ca.

Moi: moi j'ai déjà choisi, je préfère Aurore a Cécile. Cécile c'est trop commun, tout le monde l'utilise pour t'appeler alors que je suis le seul à utiliser Aurore.

Elle:...

Moi: comme ca, à chaque fois que tu entendras Aurore, tu sauras que c'est moi.

Elle: je t'aime Frédérick.

Moi: ah bon?!...c'est nouveau ça?

Elle: non,  tu es dans mon coeur ca fait une éternité.

Moi: je n'étais même pas encore né a une éternité.

Elle: oui, mais tu m'étais prédestiné.

Moi: (smack)...je t'aime aussi mon Aurore. Que seraient mes journées si elles ne commençaient pas par toi.

Elle: ihihihih...(Smack langoureux)

On s'embrasse à nouveau. Quand on dit que l'amour rend bête. Nous sommes entrain de raconter des conneries la mais ces conneries on en a besoin. Je l'aime trop Cécile. Devant elle je ne l'appelerais jamais comme ça mais derrière oui, la je peux...mais je préfère Aurore.

Moi: alors parles-moi de tes journées. Tu sais que j'adore t'entendre parler de toi.

Elle: oui et quand tu as essayé de parler de toi la dernière fois je me suis endormie. :(

Elle baisse sa tête. J'attrape son menton et la relève.

Moi: ce n'est pas grave. Je ne racontais rien d'intéressant de toute façon. (Smack)...

Je ne peux pas m'en empêcher. J'ai tout le temps envie de l'embrasser ou de l'enlacer.

Moi: tu fais encore des cauchemars?

Elle me fait un oui de la tête.

Moi: est-ce que tu essaies de les interpréter?

Elle: non. Je n'arrive pas. Tiens par exemple le dernier est incomprehensible.

Moi: il parle de quoi?

Elle se met à me raconter le rêve avec sa mère. Ça m'inquiète parce que ce cauchemar est répétitif et puis pourquoi sa mère s'excuse a l'intérieur?

Moi: mais agis dans ton cauchemar, après tout c'est ton cauchemar, c'est dans ta tête, c'est toi.

Elle: j'essaies.

Moi: mets  plus d'efforts pour découvrir ce qu'elle a.

Elle: je vais essayer.

Moi: non pas essayer, fais-le.

Elle: je le ferais promis.

Moi: d'accord.

Elle: et toi?

Moi: moi c'est comme d'hab.

Elle: hmmm.

Moi: au fait toi, tu n'as pas des assiettes à laver?

Elle: ah...oui, c'est vrai.

Moi: je vais t'aider à les laver.

Elle: :)

Nous sortons de notre cachette. Je l'aide a ramasser les assiettes qu'elle a laisser tomber et tous les deux nous les lavons. Astride n'est plus la.

Elle: oh...je n'ai même pas vu Astride.

Moi: elle était la tout a l'heure.

Elle: ooooh.

Moi: c'est moi qui te fait cet effet la?

Elle: mais je ne l'ai même pas salué.

Moi: je suis sur qu'elle a compris.

Elle: Oui mais...quand même.

On termine de laver ses assiettes, je la raccompagne et la laisse pas trop loin de chez elle. Avant de partir, on se donne rendez-vous dans trois jours a l'Emeraude en soirée. On s'embrasse une dernière fois avant de la laisser et de rentrer à la maison.

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Moi: pourtant j'ai gagné cette affaire.

Lui: oui, je sais Edward mais c'est comme ça. Tu connais les règles. Tu sais très bien que ce n'est pas suffisant pour obtenir cette grande place que tu veux.

Moi: c'était quand même un grand homme politique qui a été condamné par moi je vous le signale.

Lui: je crois que tu perds la notion de sérieux et la base même du métier d'avocat. Tu n'es pas la pour condamner,  C'est le juge qui condamne et non toi. Certes l'affaire que tu as remporté a rendu le cabinet d'avocat célèbre mais si tu veux vraiment être désigné comme mon remplaçant, tu dois encore faire tes preuves.

Moi: faire mes preuves?

Lui: un doigt ne suffit pas pour laver tout le visage. Tu veux être nommé directeur de ce cabinet d'avocat après mon départ, il faudra bien plus que l'affaire de l'homme politique violeur pour ça.

Moi: je vous l'accorde.

Lui: et malheureusement par rapport à Glaine tu es en retard. Il a plus de 6 affaires en ce moment. Rien qu'au cours de ces 5 derniers mois, il a remporté 4 affaires mais toi tu n'êtes qu'a une seule.

Moi: je vois. Je veux rattraper mon retard.

Lui: peut être est-il trop tard mais occupes-toi de ce dossier.

Il balance un dossier sur la table que je saisie, je commence a feuilleter le dossier tout en marchant vers mon bureau. Le type avec qui je parlais c'est mon patron. Directeur général du cabinet d'avocat où je travaille. Il y a 5 mois j'ai réussi à faire condamner un homme politique qui avait violer une enseignante. C'était  impossible de gagner ce procès vu que les hommes politiques de ce pays ont tout le mondd derrière eux maos j'y suis quand même parvenu. Et vu que mon patron est vieux, il prendra sa retraite dans pas longtemps. Je me suis dit que grâce à cette reussite je le succederais immédiatement mais il vient de me dire que ce n'est pas suffisant et qui risque de me voler ma place? Glaine, c'est un collègue de bureau. Il m'énerve mais bon c'est vrai qu'il est en avance par rapport a moi. Je dois me mettre au boulot si je ne veux pas perdre cette place. Je regardais le dossier tout en marchant quand mon téléphone s'est mis à sonner. C'est ma très chère mère.

Moi: allo?

Elle: oui, bonjour mon fils.

Moi: Ça va?

Elle: oui et toi?...le travail?

Moi: Ça va. Papa?

Elle: il va bien aussi.

Moi: hmmm.

Elle: finalement, les présentations pour ta femme c'est pour quand?

Moi: quelle femme?

Elle: rooh!...c'est pas nous sommes allés au village pour...

Moi: ah...oui. Pardon j'ai un peu la tête ailleurs ces temps-ci...et puis d'ailleurs tu es la seule à avoir vu son visage.

Elle: si tu te bouges pour aller faire les présentations, tu la verras.

Moi: bon...en Septembre, soit dans deux mois j'aurais des congés. J'irais la-bas.

Elle: merci. Moi j'ai déjà commencé à organiser les mariages.

Moi: Quoi? !Toi c'est pas la peine.

Elle: travailles bien mon chéri.

Moi: au revoir maman.

Cette histoire de mariage la. Pff!...je ne suis pas pressé de me marier. J'attends seulement voir la fille en question et après je verrai. Bon maintenant j'ai du retard à rattraper.

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J'essaie de m'exercer pour ne pas perdre mon niveau. Cette année je passe en terminale et je veux sincèrement que ca se passe très bien. La Terminale C c'est pas facile mais je pars pour réussir. Malheureusement mon petit-frère ne l'entend pas de cette oreille. Il a sa musique à fond!...les parents ne sont pas là, maman est allée au travail et papa aussi. Ce Kayden je vais le tuer. Je me lève en colère et entre dans sa chambre sans cogner... Et la scène qui s'offre à mes yeux est juste choquante.

Moi: o_o...

Il a profité de l'absence des parents pour ramener une fille à la maison et la ils sont entrain de faire leur cochonneries. Sacré kayden! Je ne vous ai même pas encore parlé de mon petit-frère. Il est beau comme moi cela va de soi. Dans la famille on a tous ce beau teint clair qui provient de papa. Mais lui c'est un vrai DON JUAN. Il aime trop les femmes. Qui ne les aime pas, mais il abuse. Déjà petit il draguait, quand il y avait une femme dans les parrages, il usait de ses yeux, les femmes qui venaient voir les parents ne comprenaient jamais pourquoi il s'asseyait sur leurs jambes. Elles se disaient qu'il était très attachant alors que C'était pour mieux mater leur poitrine parfois il leur carressait même les cuisses et les seins mais elles se disaient c'est un enfant. Erreur mesdames! A seulement 4 ans ce petit faisait ça.  Et maintenant à 17 ans c'est pis. La fille est à califourchon sur lui entrain d'onduler.

Moi: KAYDEN!

Les deux me remarquent enfin. Kayden lui n'est pas surpris, même si c'était maman ou papa, il serait aussi calme. En revanche la fille elle son visage a changé, elle a peur. Elle est descendue de lui , a tiré le drap et l'a mit jusqu'au cou pour cacher sa nudité.

Moi: tu devrais baisser le volume de ta musique, il y a des gens qui travaillent.

Lui: ok Germain.

C'est drôle de voir cette fille dans cet état mais si elle se respectait vraiment, elle ne devait pas accepter de le faire la. Bref...je suis sorti de sa chambre et suis allé continuer de travailler. Je n'allais surtout pas gâter son coup...je voulais juste qu'il baisse le volume. Maintenant que c'est fait, ils peuvent continuer tant qu'ils ne me dérangent pas trop. Allez au boulot!

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Cette matinée avec Frédérick m'a beaucoup plu. Ses lèvres, son corps, son sourire, tout m'avait manqué chez lui. :)

...: CÉCILE!!!

Moi: OUI! J'ARRIVE!

C'est papa qui me fait appel. Je sors de ma casz, il est entrain de manger avec maman dans la cuisine donc je vais les rejoindre.

Lui: tu ne manges pas?

Eh!...depuis quand il s'inquiète pour moi celui la?

Moi: plus tard, la je n'ai pas faim.

Lui: d'accord, c'était tout.

Moi: bonne appétit.

Eux: merci.

Lui: quand tu veux tu peux devenir polie.

Je fais un sourire forcé. Je sortais déjà de la cuisine quand j'ai entendu une sonnerie. Oui, c'est la sonnerie d'un téléphone mais dans cette maison, nous n'avons pas de téléphone. Papa met la main dans sa poche et en sors un portable.

Moi: 0_0

 Où l'a t'il eu?...il répond au portable.

Lui: allo...oui...ah très bien...je l'attends en Septembre alors...au revoir.

Il le repose. Mais avec qui papa peut bien parler au téléphone?... Depuis quand d'abord en a t-il un? ....où a-t'il eu ça? Par quel miracle? Avec quel argent?... Multiples questions me traversaient l'esprit à ce moment là.

Moi: papa, tu as eu ce téléphone où?

Lui: Ça ne te regarde pas. Repars dans ta case.

J'ai peur tout d'un coup. Je ne saurais vous dire pourquoi mais une sensation de peur vient de prendre possession de mon être. Le fait de voir ce téléphone me rend bizarre. Mon coeur est soudain si lourd. Je ne suis pas rassurée, comme si bientôt il va m'arriver quelque chose. Je rentre dans ma case et je finis par m'endormir avec toutes ces questions et sensations. Il est à peine 12h.

****

Elle: sniff...sniff...sniff...

Je reviens de la rivière comme à mon habitude. Je vois ma mère entrain de pleurer assise devant la cuisine. Je dépose mes effets et m'approche d'elle tout doucement.

Moi: qu'est-ce que tu as maman?

Elle: sniff...sniff...sniff...

Moi: mais maman réponds-moi?

Elle: sniff...sniff...sniff...

Moi: papa t'a fait quelque chose?

Elle: sniff...sniff...sniff...

Je lui pose des questions pour savoir ce qu'elle a mais elle continue de pleurer. Qu'est-ce qu'elle a?

Elle: sniff...sniff...sniff...

Moi: il t'a battu?

J'ai entendu le bruit d'une voiture. Elle se dirige vers notre maison on dirait. Elle se gare et je remarque qu'il y a personne dans la voiture même pas au volant de celle-ci. Mais donc qui la conduisait?... C'est la où je prends conscience que c'est encore le même cauchemar. Qu'il va m'arriver les mêmes choses si je ne fais rien. Frêdérick m'a bien dit ce matin qu'il faut que j'agisse... Je vais le faire!

Elle: je suis désolée Cécile...sniff...sniff...

Moi: désolée pour quoi?

Je me suis sentie attirée par une force. La même force, elle me tire toujours vers cette voiture et comme d'habitude je commence à  panniquer, j'ai du mal à respirer.

Moi: maman!...maman!...viens m'aider!

Elle: je suis désolée Cécile...sniff...

Je suis vraiment décidée à ne pas arriver vers cette voiture, à ne pas laisser les même évenements se produire. Je veux comprendre ce qui se passe avec ma mère parce que je suis persuadée que c'est la clé du cauchemar.La force me tient fermement mais ici c'est mon cauchemar, comme me l'a dit Frédérick c'est ma tête. Il faut que je me concentre, j'ai fermé les yeux... " c'est ma tête", " c'est mon cauchemar".... À force de me le repeter, j'ai commençé à respirer plus normalement, j'ai commençé à me sentir calme et apaisé... Le bruit de la voiture se rapprochait mais je me répetait juste la même chose et en quelques secondes,  je n'ai pas compris mais la force invisible disparu. Plus rien ne m'attirait vers la voiture. Et cette dernière s'impatient, elle vroumait bruillament. J'ai couru vers maman, cette situation ne va sans doute pas durer longtemps.

Moi: tu vas m'écouter.

Elle: sniff...sniff...je suis...

Moi: Je me fiche de tes désolées!!...je veux savoir ce qui se passe maman!!!

Elle:0_0...

Elle était surprise de m'entendre lui crier dessus mais là ce n'est plus le moment de jouer.

Moi: Dis-moi ce qui se passe?

Elle:...

Elle me regarde droit dans les yeux.

Elle: ...mariage forcée.

Moi: hein?

Elle: ton père est entrain de tout préparer pour ton mariage...sniff...sniff...pardon Cécile...sniff...

*****

Je me réveille à nouveau en sursaut mais cette fois baignée de sueurs.

Moi: mariage forcée!

Quoi?!....C'est quoi ça?.... Qu'est-ce que... Je me lève et me rend dans la cuisine assez rapidement vu que c'est là-bas où je les ai laissé.