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Chapitre 4

#VIE_DE_SECTE

#EPISODE_4

Ils buvaient en écoutant les autres parler. Cette fois, il prenait du plaisir à leur conversation et ne se rendait même pas compte des heures qui s'écoulaient. Sa promesse à sa femme de rentrer tôt, était déjà ooubliée

Michaël : je vois que tout le monde est déjà fatigué, vidons nos verres et rentrons.

Au moment de départ, chacun entrait dans sa grosse voiture et démarrait. Cette fois Frank n'avait même pas le taxi avec lui.

Michaël : viens entre, je vais te déposer avant d'aller chez moi.

Frank : merci gars, façon les taxis sont d'abord rares dans cette rue, si tu ne me portais pas, je sais ne pas comment j'allais faire pour arriver chez moi.

Michaël : tu vas seulement m'indiquer le chez-toi, c'est encore quel quartier ?

Frank : bepanda tendon 

Michaël : gars cherche vite l'argent tu quittes les sous quartiers comme celui-là, imagine que tes collègues doivent venir te rendre visite, tu vas faire comment ?

Frank : gars tu as raison, j'ai toujours le reste de l'argent avec moi, je vais d'abord aller en location dans quartier plus chic.

Michaël : voilà par exemple, tu as les idées comme ça et tu attends quoi pour les placer en applications ?

À la maison tout le monde dormait déjà, il avait fallu qu'il toque à la porte avec insistance pour que sa femme l'ouvre.

Au départ, elle voulait lui demandait des explications mais lorsqu'elle avait vu l'état dans dans lequel il se trouvait, elle avait trouvée qu'il était préférable qu'elle le fasse le matin.

Dès qu'il avait trouvé une place sur le lit, c'est sans effort que le sommeil était arrivé. C'est dans la même position qu'il s'était réveillé le lendemain à 10h00

Astrid : monsieur s'est enfin réveillé bravo.

La fatigue le dominait encore, pour retirer ça sur lui, sa femme l'avait préparé un bain bien froid et après une tasse au citron.

Frank : merci chérie

Astrid : maintenant que tu es en forme, tu peux m'expliquer ce qui s'est passé hier ?

Frank : désolé je n'ai juste pas vu le temps passer

Astrid : vous étiez avec les petites c'est ça Frank ?

Frank : non juste entre nous les hommes.

Astrid : et depuis quand tu rentres dans cet état Frank ? Depuis que tu as vu ton ami là, tu changes petit à petit. S'il veut t'aider, qu'il t'aide mais pas qui te transforme à une autre personne. Parce que les choses que j'ai attendues sur lui là hier après notre séparation humm...

Frank : je savais que madame avait déjà les préjugés. Bon dis-moi, tu as attendu quoi à son sujet ?

Astrid : hier en rentrant de l'école après notre séparation, j'ai croisé ma camarade Ingrid, elle demandait tes nouvelles. Dès que j'ai prononcé le prénom de Michaël, elle m'a fait comprendre qu'on dit partout qu'il est dans une loges.

Frank : Pourquoi les gens sont toujours obligés de saboter les autres ? Tu as déjà vu quel homme qui est riche et qu'on ne dit pas ça sur son nom ? 

Astrid : te voilà qui le défends déjà pourtant tu ne connais même pas comment il a fait pour avoir tout cet argent.

Frank : parce que moi-même avec mon pauvre taxi, d'autres disaient déjà que c'est le sang qui est en l'intérieur à la place du carburant, pourtant me voici je ne mange même pas.

Astrid : tant que ce n'est pas vrai, c'est une bonne chose, mais tu dois avoir au moins la méfiance.

Frank : ce n'est pas vrai. C'est à cause des choses comme ça que je veux quitter le quartier. Dès que je trouve une maison dans un bon quartier là, tu vas dire au-revoir au kongossa.

Astrid : tu as pris l'argent ou pour déménager ?

Frank : en attendant l'ouverture de la cave, Michaël m'a donné un peu d'argent 

Astrid : combien ?

Frank : au lieu de chercher à savoir ce qu'on a conclure hier c'est les choses du kongossa qui t'anime. "Que les loges"

Astrid : j'ai demandé qu'il t'a donné combien ?

Frank : 1 million

Astrid : yemaleh. 1 million Frank ? 

Frank : c'est prêt que j'ai demandé pour pouvoir démanger, je vais rembourser dès que la cave va bien fonctionner. Pour un gars comme lui n'a pas les problèmes d'argent, ce n'est pas au souci.

Astrid : je n'ai rien, je peux même encore dire quoi ? Le niveau me dépasse 

Dans les semaines qui suivaient, Frank utilisait l'argent petit à petit, il avait dépanné le taxi et l'avait remis à son propriétaire accompagné de sa démission de conducteur taxi. 

Quelques jours après, il avait également trouvé un appartement dans le quartier Bonamoussadi. Ils avaient aménagé pendant que les enfants étaient encore, le couple avait enfin une chambre à deux et les enfants la leur.

Frank : toi-même quand tu restes dans un beau quartier comme Celui-ci, ça te plaît pas ?

Astrid : est qu'à un moment je t'ai montré mon envie de rester pauvre ? Mon problème repose sur la manière qu'on la quitte.

Frank : laisse mon tes longs discours, et tu viens on inaugure la nouvelle maison de la plus belle des manières avant d'aller chercher les enfants à l'école

Astrid : avec tout le travail du déménagement si, tu n'es pas fatigué ?

Frank : j'ai réservé le denier souffle pour toi.

Il l'avait retourné avec force... et il se retrouvait son nez face au visage de sa femme...

Il avait commencé à l'embrasser, puis à presser ses seins, elle gémissait en approuvant les caresses 

Astrid : Oui vas y... Je suis ta femme... Je suis ta femme... Fais de moi ce que tu veux

Frank : Tu veux maintenant ? 

Astrid : Ouii 

il était descendu avec sa tête Jusqu'a ce retrouver face à l'intimité de sa femme, Il n'avait pas réfléchi par deux fois avant plongé directement sa langue 

Astrid : A ouiiiii... Frankkkk...Ouiiiii vas y Ahhhh.. ouuuhh 

Ses cris le motivaient tellement qu'il s'appliquait encore plus

Frank : Tu aimes ça...

Astrid : Oui vas y!! 

Il lui avait fait l'amour avec passion

Frank : Ça m'a manqué ces sensations là 

Astrid : J'avoue que tu m'as beaucoup manqué.. C'est fou ce que les problèmes peuvent nous éloigner des choses qu'on aime 

Frank : Ah oui j'avoue.. On va chercher les enfants à l'école ?

Astrid : non tu m'as essoufflé s'il te plaît vas-y seul pendant que je récupère.

Frank : alors que c'est moi qui travaillais ? ok je pars.

En prenant son téléphone pour regarder l'heure dessus, il avait constaté que Michaël l'avait laissé un message.

Michaël : gars ta cave est déjà disponible, le contrat pour la cave va se fait le week-end, et avant ce doit rencontrer pour te donner les deniers détails que tu dois connaître.

C'est toujours par message qu'il avait répondu.

Frank : d'accord le soir je passe à l'autre cave comme d'habitude.

Sans tarder, Michaël avait envoyé un autre message.

Michaël : non donne-moi plutôt ta position je viens tout de suite là-bas.

Comme il partait chercher les enfants à l'école, il avait demandé à Michaël de le retrouver là-bas.

Frank : merde tu es arrivé avant moi ?

Michaël : j'étais juste à deux tournants d'ici.

Frank : apparemment il manque 5 minutes avant la sortie des enfants encore, donc on peut parler.

Michaël : c'est mieux dans la voiture.

Michaël : bon Frank ta cave est déjà prêt, il manque juste que tu signes le contrat pour l'avoir. Et comme tu le sais déjà, nous travaillons sur une forme de chaîne, notre chaîne n'est pas différente d'une famille. Comme dans tous domaines, il existe une rude concurrence, et nous sommes obligés nous aider mutuellement, de nous protéger en veillant les uns sur les autres.

Frank avait compris de quoi il était question

Frank : gars tu veux m'amener où ? En gros vous êtes une loges, et tu me vois entrer dans les loges Michaël ?

Michaël : mon frère tu me vois t'amener quelque part où c'est mauvais ?

Pendant qu'il parlait, un homme avait apparu sur les sièges arrière. Il portait une long pardessus, avec une capuche qui ne permettait pas à Frank de voir son visage.

- Michaël tu m'as dit qu'il a accompli toutes les premières conditions n'est-ce pas ?

Sa présence dans la voiture donnait l'impression à Frank d'être quitté du monde des vivants.

Michaël : oui grand maître Tcham c'est exact.

Tcham : alors tu dois l'expliquer qu'aujourd'hui ce n'est plus une question de choix.

Sa présence dans la voiture faisait vraiment peur à Frank, il voulait ouvrir pour sortir mais les portières étaient verrouillés.

Michaël : calme-toi et écoute, après ça tu auras la possibilité de partir.

Frank : vas-y parle vite alors parce que moi j'ai déjà ma décision.

Michaël : comme tu veux compliquer, je vais être bref... L'argent que tu as ramassé, c'est notre qui te la donner, en l'utilisant, tu remplissais des conditions pour être membre.

Frank : votre truc va être sans moi. Je vais vous remettre tout votre argent.

Michaël : et tu penses que nous pouvons le reprendre cet argent alors que tu connais déjà certaines de nos choses.

Frank : et vous allez me forcer ? Où bien me tuer ? Parce que je n'ai aucune intention de vous rejoindre.

Michaël : pour ta vie ne t'inquiètes pas, mais nous disposons des méthodes assez efficaces pour te faire rejoindre notre famille et crois-moi, tu as moins d'une semaine pour signer ton contrat. La clé de la cave est déjà chez-toi, au cas contraire, tu vas vite regretter.

À suivre...

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