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Chapitre 134 Il nous faut rendre au centuple à son bienfaiteur l’aide reçue 

Un court instant de silence a précédé sa question : « Qui t’a agressée ? »

Dans ces mots transparaissait une assurance profonde.

Leur lien s’était distendu depuis longtemps. Bien que touchée par son attention, Carine n’était pas encline à se confier à lui.

Après un moment de réflexion, elle lui a répondu sobrement : « Je me suis battue ce soir, et il est probable que beaucoup de gens l’aient vu. »

« Tu crains des représailles de la famille Boucher à cause de ça ? », a interrogé Jan.

Carine a acquiescé légèrement.

« Ne t’en fais pas, je serai là pour toi », a assuré Jan d’une voix douce mais déterminée.

Carine s’est sentie quelque peu dépassée.

Elle se sentait quelque peu embarrassée. Tout ce qu’elle avait fait à l’époque était d’appeler les secours d’urgence, et c’étaient les médecins qui avaient assuré les secours et les soins ultérieurs. Mais Jan était si généreux envers elle, prêt à répondre à toutes ses demandes. Cela lui faisait comprendre ce que signifiait « il nous faut rendre
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