บททั้งหมดของ Divorcée, elle rayonne : son ex-mari fait tout pour la récupérer: บทที่ 11 - บทที่ 20

Diane a été traînée dans la ruelle, et avant même qu'elle ait pu émettre le moindre son, sa bouche a été fermement recouverte, l'empêchant complètement de crier.Une panique immense l’a submergée en un instant. Instinctivement, elle a tendu la main dans la direction où Théo était parti, essayant de saisir ne serait-ce qu'une lueur d'espoir. Pourtant, dans l'obscurité dense de la nuit, il n'y avait rien.Théo l'avait vraiment laissée seule pour aller retrouver Amélie.Diane a été entraînée au fond de la ruelle par l'homme. Si elle continuait encore plus loin, ses chances de s'échapper seraient encore plus minces. Son cœur battait à tout rompre et ses paumes étaient trempées de sueur.Profitant d'un instant, elle a mordu le creux de sa main. L’homme a hurlé de rage : « Sale garce ! » Il a relâché instinctivement sa prise, et presque au même moment, Diane a écrasé son pied avec son talon aiguille.L'homme a senti une douleur vive.Diane a profité de cette chance, a rapidement enle

Diane a brusquement poussé la porte du bureau. Amélie était assise sur le fauteuil en cuir de Théo en train de ranger des dossiers. En entendant le bruit, Amélie a souri et a dit : « Tu n'avais pas dit que tu allais voir M. Colin pour parler affaires ? Comment se fait-il que tu sois déjà de retour ? » Amélie parlait avec désinvolture et un ton taquin, montrant l'intimité qui existait entre elle et Théo.Le regard de Diane s'est refroidi, et elle a marché vers le bureau en claquant ses talons.En entendant le bruit des talons, le sourire d'Amélie s'est figé. Elle a lentement levé la tête et a vu le visage percutant de Diane apparaître devant elle.« Madame Morel. » Amélie s'est lentement levée du fauteuil de Théo. Son visage était pâle et une lueur de panique a traversé ses yeux.Le regard de Diane était glacial. Sans dire un mot, elle s'est avancée directement et a levé la main pour gifler Amélie avec force.Le bureau tout entier a semblé frissonner sous son aura glaciale.Am

Diane regardait Théo privilégier nettement Amélie, et une profonde amertume envahissait son cœur, comme si une main invisible lui serrait le cœur à en couper le souffle.Elle a inspiré profondément, et son regard s'est fait lentement froid.Elle refoulait de toutes ses forces les larmes qui montaient, jurant intérieurement de ne plus jamais en verser une seule devant lui.Les yeux emplis de détermination, elle a ouvert la bouche, les lèvres légèrement tremblantes : « Théo, ton favoritisme me dégoûte vraiment ! » Diane a inspiré profondément ; à la base, elle n'était pas venue ici pour autre chose, seulement pour avertir Amélie et, par la même occasion, lui régler ses comptes.Maintenant qu'Amélie avait Théo pour la soutenir, il semblait qu'il n'y aurait aucun moyen aujourd'hui.Diane ne voulait plus continuer à se laisser entraîner dans ce conflit. Elle l'a regardé avec froideur. « Théo, parfois j'ai l'impression que tu es toi aussi assez pitoyable : cette jeune fille que tu tie

Le cœur de Diane s'est soudainement alourdi. Ce qu'elle redoutait le plus avait fini par se produire. Ayant elle-même traversé une relation pleine d'obstacles et de blessures, elle ne voulait absolument pas que sa petite sœur vive à son tour le même type de souffrance.Au moment où il avait fallu choisir un partenaire pour la cérémonie d'alliance familiale, Diane n'avait pas eu le courage de s'interposer entre Claire et Antoine, puisqu'ils partageaient déjà des sentiments réels l'un pour l'autre. Et, avec au fond du cœur une légère part d'intérêt personnel qu'elle n'avait jamais vraiment avoué, elle avait finalement choisi d'épouser Théo.Mais à présent, Diane n'aurait jamais imaginé qu'Antoine, qui avait pourtant toujours semblé sincèrement attaché à Claire, puisse commettre une telle chose. En l'apprenant, un mélange de choc, de colère et de tristesse l'a submergée, bouleversant complètement son cœur.Elle a pris la main de Claire et l'a doucement conduite vers un siège, puis, s'a

Après avoir décroché le téléphone, il s'agissait d'un appel du fournisseur de matières premières.« Mademoiselle Morel, le siège a déjà donné son accord, mais il faudra que vous veniez aux États-Unis. De plus, notre président a un emploi du temps très serré et souhaite que vous soyez présente demain matin. La durée de la négociation ne sera que d'une heure, nous espérons que vous comprendrez. » En entendant cette nouvelle, Diane a été extrêmement excitée.Bien qu'elle ait autrefois créé cette épice unique, devenue l'une des plus prisées par les riches de toute la France, elle n'était pas revenue à son métier depuis un certain temps et a dû repartir de zéro pour retrouver son rythme et son expertise.Au départ, Diane ne pensait pas que la société Arty accepterait de fournir les matières premières, après tout, à leurs yeux, elle n'était qu'une débutante dans ce domaine.« Très bien, merci de me donner cette opportunité, je serai ponctuelle ! » L'homme au bout du fil a semblé très