"𝕁𝕖 𝕟𝕖 𝕞â𝕔𝕙𝕖𝕣𝕒𝕚 𝕡𝕒𝕤 𝕞𝕖𝕤 𝕞𝕠𝕥𝕤, 𝕛𝕖 𝕥𝕖 𝕕𝕚𝕣𝕒𝕚 𝕔𝕖 𝕢𝕦𝕖 𝕞𝕠𝕟 â𝕞𝕖 𝕡𝕖𝕟𝕤𝕖 𝕖𝕥 𝕔𝕖 𝕢𝕦𝕖 𝕞𝕠𝕟 𝕔𝕠𝕖𝕦𝕣 𝕣𝕖𝕤𝕤𝕖𝕟𝕥" — Jaelly LaRose
Il est temps pour de se séparer, mais je dois avouer que je n'ai pas envie de m'en aller.
— Désolée de vous avoir appelé par votre prénom, j'étais trop à l'aise... me reproché-je, en se passant nerveusement ma main dans mes cheveux.
— Vous avez déjà fait bien pire, et je vous préfère largement à l'aise en dehors du travail que coincée.Et voilà le retour de la tronche de cheval. J'ai bien compris son allusion au mot &
Je me rends compte de la bêtise que je viens de dire. Mes poings se serrent et mes bras tremblent. Je cale ma lèvre inférieure sous ma dent pour m'empêcher de pleurer de frustration. Je suis une enfant ou quoi ? Pourquoi je ressens ce genre d'émotion ?! C'est si déstabilisant.— Putain...La seule chose à faire c'est de m'enfuir, tant pis. Je m'éloigne de lui comme le jour d'entretien. Sauf qu'il me retient et me ramène contre lui. Je le vois froncer les sourcils. — Arrêtez deux secondes ! me crie-t-il.— Quoi ? — Assumez ce que vous pensez, sinon c'est avec des regrets que vous avancerez. — Vous n'y connaissez rien, je-— De ce que j'ai entend
« Même si mon cœur est perforé par des balles de haine, j'arrive à ressentir de l'amour pour toi » — Jaelly LaRoseBANDE-SON — Dans le média pour une immersion optimale.Le froid se balade dans mes manches, titillant les pores de ma peau.J'essaie tant bien que mal de me réchauffer à la traditionnelle : frottement de mains.Je commence à regretter mon gros coup de fierté... mais je remarque enfin le sigle du métro au loin.— Bah voilà, je peux y aller seule !
— Si un jour je revois ta sale gueule en train de la toucher, l'effleurer ou même la regarder, prévient-il en respirant bruyamment, le front en sueur. Je te tuerai sans hésiter.— Lâche... s'il te plaît, mec... c'était juste pour... pour rigoler, tremble-t-il, manquant d'air.— Rire ?! T'appelles ça de la blague ?! s'écrie-t-il en enfonçant presque le couteau dans sa peau.— Non ! Non ! Non ! Pardonne-moi... je... je ne veux pas mourir !Il s'apaise peu à peu et s'empresse de se relever. Il regarde autour sûrement pour voir si quelqu'un les regardait. Je m'efforce à être plus prudente, alors je me cache davantage. Je le vois r
Le titre est "Réminiscence et Renaissance" et on va suivre maintenant les 4 personnages, incluant Charlotte Taylors un peu plus profondément.La réminiscence définit ici, l'aspect des souvenirs confus ou qui peuvent être volontairement obscurcis pour empêcher l'éclatement des vérités. Ce sera un arc très dense dans les révélations, et très important pour déceler tout ce qu'on a pu voir durant le premier arc. La renaissance est déterminée comme des nouvelles natures qui vont émerger, ou se transformer. Certains masques glisseront des visages pour
"Les morceaux brisés ne pourront pas se recoller, le mieux est de les jeter." — Kate LaurenNous sommes devant chez Curtis qui m'a indiqué la route avant de sombrer dans la somnolence.— Monsieur, on est arrivés...L'interpellé ouvre les yeux et observe le lieu où nous nous trouvons. Un air confus apparaît sur son visage...— Ce n'est pas ma maison, affirme-t-il.— Excusez-moi mais... il n'y a pas d'autres villas dans le coin, vous êtes sûr que ce n'est pas là ?— À cent pour cent.Je fronce les sourcils et cherche du regard une autre potentielle grosse maison. Je n'en vois pas d'autres... c'est étrange. Curtis ouvre la portière et sort de la voiture. Je m'empresse de le rejoindre, ne voulant pas qu'il se fasse de nouveau mal. Je verrouille le v&eacu
Prise de panique, je m'empresse vers lui.— Monsieur Miller ! Monsieur Miller ! Répondez je vous prie !Je le transporte tant bien que mal jusqu'au canapé et l'allonge délicatement. J'essuie le haut de sa tête marqué par la sueur de l'effort. Mon coeur bat si fort, je ne sais pas comment procéder sans faire de dégâts.Je me mets à le regarder et examiner les petites blessures sur son visage encore rouges. Il est totalement absent même s'il respire encore bruyamment. Je me penche, hésitante à toucher son front.— Merde, il est brûlant !C'est bon, je sens mes mains trembler, et ma gorge se serrer.Je commence à tournoyer en faisant les cent pas. Je ne peux pas appeler l'ambulance, son rapport sera remonté auprès de son père... mais que faire ? Il a l'air tellement anéanti !&mdash
"Le meilleur cadeau que tu peux faire à toi-même n'est pas de devenir parfaite, mais d'être ce que tu es, et c'est ce qui te rend incomparable" — Kate Lauren.Je suis prisonnière de ses yeux bleus comme le lapis-lazuli. Ne m'attendant à rien, j'espère tout de même un peu au fond de moi, qu'il puisse faire ce que j'ai envie qu'il fasse.Embrasse-moi.Ma bouche s'entrouvre, lâchant un profond soupir qui décrit mon désir. Je sens mon dos produire des gouttelettes. Sentant toujours sa main dans la mienne, je me permets de la serrer davantage tout en soutenant son regard.Allez... rapproche-toi.Sa question flotte encore dans l'air.— Répondez-moi.— Que... qu'aimeriez-vous entendre ?Je sais détourner la si
« Regarde-moi avant de t’endormir, je suis ton capteur de rêve » — Jaelly LaRose.Je pousse un cri épouvantable qui a sûrement réveillé Curtis. Je sors d’un mauvais rêve.Mon visage s'étire, et mes traits deviennent durs. Mes mains s'agrippent de manière saccadée aux draps, les déchirant presque. Encore ce maudit cauchemar…— Ça va ? s'exclame-t-il en me secouant.Je le regarde, les yeux grands ouverts. Ceux-ci commencent à déborder de larmes, je plonge ma tête dans les paumes de mes mains. Les bras de mon hôte viennent me cajoler comme il y a quelques heures.— Que se passe-t-il ? cherche-t-il à savoir.— Je... je... il était là, encore.— Qui ça ?Je réponds par des couinements qui viennent ta