André : On doit se rendre tout de suite là-bas de notre propre chef avant que des officiers n'arrivent ici pour te saisir.
Moi : Le saisir ?
André : On a porté plainte pour coups et blessures. Un homme prétend que tu l'as agressé le mardi dernier et qu'il y avait des témoins parmi lesquels Eva.
Hamza ! C'est lui, ce sale chien.
J'ai regardé Emma.
Moi : C'est Hamza.
André : C'est donc vrai ?
Gui : C'est qui ?<
Mimi : Ce n'est pas nous le problème c'est toi le problème.Mimi : ...princesse Eva....Emmanuel Moi : Tu veux rester seule ?Eva : ...Moi : Tu as parlé de quoi avec Mimi ? S'il te plaît ouvre la porte.Et là j'entends qu'elle pleure.Ça fait dix minutes qu'Eva s'est enfermée dans la salle de bain. Dès qu'elle a fini de parler avec ma sœur, je suis allée demander à Mimi de quoi elles parlaient
Emmanuel : Bah si.Moi : Tu es sérieux Emma ?Emmanuel : Oui. J'arrive.Et il est sorti comme ça sans rien ajouter. Ok, qu'il fasse ce qu'il veut. Je ne suis même pas d'humeur aujourd'hui.Mon téléphone sonne sur le plan de travail, c'est Jean.Moi : Allô.Jean : Allô. Tu es à la maison ? Je suis au boulot pour l'instant.Moi : Non. Je suis chez moi.Je
Tantie Aoua : Tu l'appelles pourquoi ? Tu veux te plaindre ?Moi : C'est maman qui nous appelle. Elle est dans la chambre.Emmanuel : J'arrive tantie.Il se lève et me rejoint. Je ne dis rien et on passe par le salon. Il place sa main sur mon épaule mais je l'enlève. On arrive dans le couloir, il m'arrête. Emmanuel : Tu t'énerves pourquoi ?Moi : Comme si tu ne le savais pas. Depuis là tu l'entends parler sur moi non ?Emmanuel : Je t'ai dit ne fais pas attention.Moi : Comment ne pas y faire attention ?Emmanuel : Allez. _en essayant de me rapprocher de lui.Je m'éloigne.
Emmanuel : Chér...J'ai raccroché en jetant mon téléphone sur l'autre siège, je voulais pleurer de colère..Quand tu restes à la maison on dit que tu ne sais rien faire à part somnoler toute la journée et quand tu veux travailler on te met des bâtons dans les roues. Quelle est cette réalité ? Qu'est ce que ce machisme des hommes ? Ils te disent de rester à la maison pour dépendre d'eux et après ils se plaignent parce que sans eux tu ne peux rien faire, ils ne ratent pas une occasion pour te le faire comprendre mais quand tu fais quelque chose ils se hâtent de te faire des scènes. Tels sont les hommes ! Des égoïstes.Mais l'exception fait la règle.Emma vient de me décevoir. Je ne disconviens pas que moi Eva, je n'ai pas besoin de travailler pour de l'argent ma
On a passé tout le reste de la soirée comme ça. Il ne m'a plus du tout adressé la parole. Même au coucher je lui ai souhaité bonne nuit il ne m'a pas répondu. Ça ne m'a pas quand-même empêché de dormir....Le lendemain..Je me fais réveiller par mon réveil, Emma n'était pas sur le lit sûrement déjà entrain de prendre son bain. Je sors pour faire le ménage mais avant je vais dans la salle de bain du couloir pour me laver le visage et tout.Quand je finis avec le ménage et le petit déjeuner de Emma, je m'en vais prendre mon bain, il était déjà bien prépar&ea
...Quelques jours plus tard..Moi : Faites place Eva est là !Ida : Tu as un problème toi.Moi : Accueillez moi comme il se doit. _en rigolantJe venais d'entrer dans la chambre de mes cousines Anna et Anne, ça va elle n'était pas très remplie pour le moment, juste Ida, les jumelles et deux autres cousines, ce sont les fiançailles des jumelles aujourd'hui donc la journée ça se passe ici.Anne : Ce n'est pas un seul problème qu'elle a deh Ida, beaucoup même.Ida : Yôrô deih ? (N'est-ce pas ?)Anne : Oui.Anna : Elle est folle.Moi : C'est vous même. Bon laissez moi vous féliciter mes chéries.
Ada : ..Il faut qu'on l'emmène à l'hôpital tout de suite, elle est évanouie et elle saigne.Moi : ELLE QUOI ?Mon cœur a raté un battement.Ada : Je..je vais chercher de l'aide.Moi : ADA DIS MOI QU'ELLE VA BIEN.Ada : ...Moi : ...C'est bon..j'ar..j'arrive.Ada : Non, on se retrouve à l'hôpital. Tu ne pourras rien faire en venant.Moi : Emmène la à la clinique proche de la maison.Ada : Oui.Je raccroche et me précipite à sortir de l'hôpital sans prévenir qui que ce soit, le temps n'est pas à cela. Je co
Emmanuel : Ça faisait partie de notre destin. C'était notre destinée.?! : Ou plutôt un signe du destin.On tourne la tête et on voit Tima venir près de nous. Je me détache d'Emma et pose ma tête sur un coussin.Emmanuel : Tu as dit quoi ?Tima : Rien, bonsoir.Emmanuel : Bonsoir. Qu'est-ce qui t'emmène ?Tima : Je ne peux plus venir te voir ? En plus je n'ai pas pu passer de la semaine. Emmanuel : Ok.