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Chapitre 1: Le tueur aux lettres

Dix hui heures, l'heure du journal national à la une des inaugurations, l'ouverture d'une nouvelle route commerciale entre Zaleme, Dika et les pays orientaux mais l'info la plus attendu concerne une affaire bien mystérieuse qui terrorise tout le pays. Le média difuse l'info sans trop s'attarder pour ne pas envenimé la situation. Il transmette que les directives de la police.

"Mesdames et Messieurs, nous vous transmettons les recommandations d'aujourd'hui, ne sortait pas après 22heure. Ne rester pas seul  chez vous. Si possible inviter des membres de la famille. Le tueur aux lettres n'a toujours pas été arrêter. Je vous le répète le tueur court toujours malgré les éffort de la police"

-Quoi toujours pas ? Mais qu'est-ce qu'il foute à la capitale ? S'écria une femme sur l'île de  Mao. 

Soudain les journalistes s'interrompent.

-Hum.. nous venons de recevoir une info de dernière minute. Le nombre de victime à augmenté, la police ne nous en dit pas plus. Tout ce que nous savons c'est que maintenant il y'a plus de quatre victimes. Je vous le répète, rester chez vous. Accompagbé si possible. Sur ce message s'achève l'édition de dix huit heures. 

-Je crois qu'on va finalement m'envoyer à Yastre. Dit la femme d'un air abattu. 

Quelque jour plus tard, Yastre la capitale de Zaleme. Un avion atterri sur le second aéroport du pays. Les passagers descendent de l'avion entre dans le bâtiment. Accueillit par des dizaines de policiers. 

Vous êtes bien Madame Heart ? Dit l'un des policiers a une femme blonde, le visage marquer par le voyage avec une plaque de policière autour du cou. 

-Euh..elle est derrière vous. Répond-t-elle, moi c'est Maeva. Maeva Campbel. 

L'homme se retourne confus et dit à Eva Hearth:

-Excusez moi ! Je vous ai confondu avec...

-Laisse. Tu pensais que la fameuse Hearth qui a nettoyé Mao était une femme blanche. Ce n'est pas de ta faute. Par contre ne m'approche plus jamais. 

La voilà qui recommence se dit Maeva  Madame, il serait temps qu'on y aille non ?

-Tu as raison. Tu as Nerner ?

-Je vais le récupérer. 

-Je te donne dix minute. 

Maeva court récupérer tous leur affaires. Pendant ce temps Eva l'attend dans le hall. 

Puis un autre policier vient la voir.

-Madame, je ne sais pas si on vous à mis au courant mais il faut se dépêchez. Le..

Eva pose sa main sur la bouche du policier avant de lui murmuré a l'oreille:

-Si tu dis un mots de plus ça sera la panique. De plus personne n'est au courant qu'ont nous a presque tous réunis. Maintenant, Eva se redresse, Part et fait rien qui change de ton habitude. Elle retire sa main, enlève ses gants pour dévoilé sa peau mate. 

Le policier se retourne et se place quelque pas a côté et fit signe aux autre de retourner a leur poste. 

-J'ai compris. Pour info ici c'est mon poste.

-Toi, tu es capitaine ?

-Oui. 

-Tu mérite ton grade.

-Merci.

Maeva reviens quelque minute plus tard avec trois sac. Eva prend les deux plus gros tandis que Maeva prend le dernier. 

-On va où maintenant que vous avez chassé notre escorte ?

-Quel question, chercher un appartement. Un meublé vu que c'est l'état qui paie. On va pas se gêner.

Quelque heures plus tard Eva à trouver se qu'elle chercher. Un petit appartement meublé avec deux chambres, une cuisine ouvert et une pièce à vivre.

L'immeuble ne fait que quatre étage et se trouve dans un quartier tranquille de la capitale à quelque minute en voiture du poste de police centrale. Les deux femmes jette leurs affaires sur la table a manger coller aux canapé puis font le tour pour s'asseoir. Un moment de silence s'installe puis Eva dit tout en s'étirant de tout son mètre quatre-vingt un.

-Bien, mettons nous aux travail Maeva. Trouvons se satané tueur lettré et rentrons chez nous.

-Oui, j'aime pas trop cette ville.

-Maeva Campbel, 25 ans. Diplômé à 20 ans de l'école de police, génie parmis les  génies. N'aime pas la ville ? Et pour quelle raison ? Dit Eva en se retournant vers l'un des sacs.

-Parce que mon père est mort ici. 

-Ah. Bah tu va t'en remettre. Aller va dormir, demain commence officiellement l'enquête.

Maeva se lève regard Eva sourit discrerement puis repond:

-Vous avez raison...bonne nuit madame à demain. 

-Bonne nuit. 

Maeva entre dans la première chambre et s'effondre sur le lit. Tandis qu'Eva regarde tout ce que les médias locaux on écrit sur l'affaire dans l'espoir de trouvé une piste. Ce qui était relativement rapide car le tueur ne laisser aucune trace menant à lui. Aucune trace adn. Et les victimes sont endormie puis tuer. 

-Rien à faire...tant que j'ai pas accès a se foutu dossier je ne peux rien faire.

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