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Marianne remplit de peur, d’émoi sur les paroles d’Henri. Elle a peur même de s'asseoir au salon, toujours dans la chambre car elle évitait le fait de se voir à tout moment avec son père Henri, car les femmes tout en premier elles savent le but d’un homme à son premier pas. Et restant discrète et se dit de voir la suite car elle était déjà avertu de ce genre d’aventure.

Les jours évoluent, Maria dans la profondeur de crainte des hommes…

Patrick : bonjour madame, comment vas-tu ?

Marianne : salut monsieur, je vais bien.

Patrick : J’espère que tu as besoin d’aide, un verre par exemple ?

Marianne : Une aide, un verre qui t’aurai dit ça? Loin de là monsieur.

Patrick : Non, c’est pas grave. Je peux avoir l’accès pour un mot?

Marianne : ok volontier, vas y.

Patrick : merci, je suis allumé d’un immense amour pour une jolie fille que tu es, je me permets te l’exprimer directement sans ne pas louper…

Marianne : Et à la fin ?

Patrick : Je vois dans cette beauté une parfaite famille, une excellente génération que je peux faire avec toi, en un mot je t’aime.

Marianne : merci de m’avoir aimer, en un mot je ne peux pas et bonne chance dans ta recherche.

Patrick : Oui, c’est simple que tu penses que je plaisante, mais je suis sérieux.

Marianne : monsieur pour tout respect que je te dois, tu peux arrêter ton histoire.

Patrick : okay, je comprends que c’est ne pas le moment opportun, je peux trouver ton pour une prochaine occasion ?

Marianne : ( le fixe son regard tout droit dans le visage,sans réponse)

Patrick : Vas-y s’il te plaît ?

Marianne : ( sans réponse, et décidé de le quitter en premier)

À plusieurs reprises c’était les mêmes allures pour Maria. Ruth à son tour, elle voyait comment les hommes vennaient vers elle mais elle ne s’interessait point et décida de lui parler.

Ruth : Ma chérie, il ya certaines choses que tu dois comprendre, n’arroser toujours pas les plaies dans ton cœur, je sais que t’as peur mais tu n’a pas tort sauf que tu dois comprendre que la peur n’empeche pas la mort et ne rend pas certaines personnes coupables de ta déception non, elles sont ininnocentes cas même. Lance-toi encore dans l’amour ma chérie, c’est bon, les blessures d’amour se font soigner par l’amour lui- même.  Tu dois profiter de tes jours ma chérie, le temps qui passe ne revient plus … Essaie je te promets que ça va aller , la fin d’une histoire c’est le début d’une autre. Tourné la page…

Marianne : je te comprends bien chérie, laisse moi du temps.

Ruth : il n’y a jamais eu du temps pour aimer, c’est quand on est aimée qu’il faut s'aimer sinon le temps viendra où tu vas chercher à aimer sans être aimée…

Mais Marianne avait plusieurs hommes qui lui demandaient sa main, les uns pour un passe temps et d’autres pour une sérieuse relation mais une forte émoi l’engloutissait et mettait ces hommes en attente.

Henri toujours dans son parcours et dans sa lutte secrète, il offrait souvent à Marianne toutes les belles robes de la ville, elle se sentait cas même être au top, il lui invitait dans les plus grands restaurants de la ville de fois avec toute sa famille, tantôt tous deux.

Plus les jours, les mois passent  et comme les gens sont souvent faible à la reflection et forts au jugement elles commencaient à semer des mauvaises graines dans les oreilles de Naomi.

Monsieur x  :’’Naomi tu ne pas  sérieuse, trop stupide que tu es, livrer à ton homme une femme si belle qu’elle et tu penses faire une bonne action ?, tu risquerait de le donner offrande à une fille étrangère.

Naomi : donné offrande à une fille étrangère, je n comprends pas ?

Monsieur x : Comment tu peux permettre à ton mari de decouvrir tous les coins de la ville, les restos, les places chics et luxueuse avec Marianne penses-tu que c’est pour un plan merveilleux ? Sois prudente mon amie, la réalité du monde reste tout autre.

Naomi : non, c’est n pas vrai ce que les gens imaginent, c’est sa fille qu’il fait découvrir la ville c’est tout !

Monsieur x : okay, ce qui est dit, doit être, et sinon, donc il s’annonce. Et n’oublie pas qu’avant la pluie c’est l’éclatement du tonnerre.

Alors Marianne intelligente qu’elle est, toute les offres que les hommes lui donnaient pour payer les unites bouffait que 2 pour cent et d’autre elle l’encaissait pour son projet secret qu’elle avait. Naomi depuis que les gens ont mis les ont dit dans ses oreilles elle n’était plus la même Naomi d’au parravant, ni pour Maria ni pour son époux.

Sur son lit à coucher dans la nuit monsieur son époux prend la peine de la conversation…

Henri : chérie ! Je ne comprends pas ton nouveau genre de style que t’as pour moi?

Naomi : mais, tu comprends le style que tu as pour ta nouvelle amitié ??

Henri : Arrêter de réfléchir en rebours chérie, plus l’âge avance plus tout change.

Naomi : je ne suis pas bébé, mon cerveau tourne, j’espère que tu es au courant que toute la ville connaît ta manigance avec Marianne, et tu en es fier…

Henri : je connais le monde, vous les femmes vous croyez plus aux ont dits qu’à la vérité et maintenant je te demanderai de me croire, laisse tomber les inutiles.

Naomi : Les inutiles ?? Okay !

Et la conversation s’est étreint en queue de poisson, et elle ne se permettait plus le moindre sourire. Du coup le courant est parti, les ténèbres commencèrent à régner dans sa maison, le court surcuit entre eux et donc une guerre froide qui s’y imposant …

Ruth et Naomi diminuant leur joie, leur affection pour Marianne car dans leurs cœurs il y avait déjà de jugement, mais Maria constatant qu’il n’y avait plus de paix entre eux.

Comme on dit souvent ‘’ qui vivra verra’’ avec ce sage conseil d’une personne anonyme ‘’ ne dis jamais ça ne m’arrivera jamais, je ne le ferrais, par ce que la vie peut être imprevisible et personne n’est à l’abri de certaines choses.

Tout peut arriver, même ce que tu n’aurais jamais imaginé Marianne jugée pour un faux soupçon ( les ont dits, les je pense, les peut être ) soit disant qu’elle était  venue troublée et séparée les gens dans la famille.

Voilà les mots de Ruth envers son amie intime de longue date celle qu’elle ne considerait plus comme amie mais une sœur.

Marianne entrain de faire sa vaisselle matinale dans la cuisine, Ruth entra sans ni dire bonjour ni dire un mot, à peu près trois minutes de silence. Mais Maria à son toujours elle faisait son boulot tout en chantant.

Marianne : “Je chante Mon parcours eeh Jahwé

Dans ma vie orphelin de nakivale,

Je rêve grand pour être utile,

Sans abandonner mon hémicycle,

Je lutte nuit et jour sans mobile.

Je ne sais pas où caramboler,

Mais je suis qu'un guerrier idole,

les riches ne doivent m'affoler,

Car c'est le seigneur qui immole.

Aujourd'hui je décide de ciseler,

Pour ne pas tombé dans le vole,

Malgré plusieures paraboles,

La vie est toujours difficile.

Et le monde entier devrait simuler,

mon effort dans le survol,

tout en sachant que le ciel,

Est mon seul et unique modèle,

À la réponse de mes carrousels.

Le parcours du sauvage.”

Ruth  ‘’ je regrette d’avoir donné du lait à une lionceau que je ne m’imaginait grandir un jour et devenir une lionne pour toute la  famille,

Maria : c’est quoi ça ma chérie? ( avec l’ironie de faire comme si elle ne connait rien)

Ruth : la réalité du monde reste tout autre, aujourdhui je comprend l’adage qui dit ‘’ l’homme est né naturellement bon, mais c’est la société qui lui rend mauvais’’ Maria merci pour ta surprise si décevante tu es championne. Donc tu faisais tout ses semblants tu faisais comme si tu ne voulais pas une relation amoureuse tous ces hommes qui venaient vers toi tu les boudais dans le but de bouger avec le mari de ma sœur ? Pourquoi es-tu si ingrante ,

Marianne : Oh mon Dieu ! Essaie d'apaiser cette vague ( les larmes dans ses yeux !)

Ruth : Ton Dieu ? Il ne pas cas même injuste pour permettre un pareil bordel, devenir l’antagoniste tragique de ma famille, et d’ailleurs les gens me disaient de ton sale comportement mais j’ignorais tous en pensant que tu étais une famille on veut nous séparer, quand le contraire et que tu te réveilles une déesse pour ma famille! Il est vrai que c’est à l’abondance du cœur que la  bouche parle, oui mon cœur est brisé par une personne que je ne m’imaginais jamais, ‘’c’est toi Marianne’’ donc tu profites à la faiblesse stérile de ma sœur que tu fais tes moqueries sur elle et tu croyais que la nuit durera pour toujours, et maintenant le jour apparait ‘’ ta manigance est dévoilée, la vérité triomphe déjà …

Et comme Marianne est habituée déjà à ce genre de difficulté, rien que les larmes qui coulaient à ses yeux  comme l’eau qui coulait dans un robinet. Elle se disait dans son interieur, Mon Dieu me vois- tu  ou non? , pourquoi toujours moi, qu’ai – je fait pour être misérable dans cette façon et si  je ne suis pas digne d’une vie commode à une enfant du père Céleste, pour moi il serait mieux que je ne puisse exister sur cette terre malheureux ! Et si vous trouvez que je suis coupable dans tout ce que je traverse je vous demanderez de me tuer,[ car mieux-vaut être coupable  dans une affaire que de  mourir inoccente]…

Trois jours dans les silences amères, elle ne buvait ni mangeait toujours dans la chambre, elle écoutait ce que Naomi et Ruth parlaient qu’elle considéra des jetons, des moqueries et décida de remercie à son tour Ruth et Naomi à ces mots.

Le monde est trop petit et la vie est trop courte pour récolter ceux qu’on peut semer, quelque soit la durée de la nuit, le jour finira par apparaître …

Je sais qu’à ce moment de creuseux tout le monde me tourne le dos mais c’est pas la fin . On dit toujours c’est ne pas le score à la mi- temps qui compte dans un match mais c’est la fin.

‘’La raison du plus fort est toujours la meilleur’’ oui c’est  bien  dit, mais pour être loyal dans la vie , ne sois jamais quelqu’un qui combat pour la raison, mais sois quelqu’un qui lutte pour la vérité. C’est la loyauté que les sages  ont optés.  

Je n’aurait et je n’ai rien à dire maintenant, laissons le tmps au temps, il est le bon et l’excellent juge … Vous avez étés pour moi une famille et vous l’êtes toujours, la réalité veut nous séparer mais je pense bien que la vérité aura à nous réunir. Maintenant je suis perdu dans la vie, je pars mais vous allez me manquer oui, mon père Henri ne pas inclus dans cette affaire, peut être ce qu’il a fait pour moi qui lui cause problème, je m’excuse pour sa part ! Merci pour ce que vous avez été pour moi, j’ai beaucoup appris tout au long de mon séjour ici dans votre famille. Aujourd’hui je pars à la destination inconnue parce que le présent a cashé mon identité et je me connais moi-même c’est dure, je suis peut être habitué à ce genre de chose. Merci monsieur Henri, merci madame Naomi et merci mon amie Ruth soyez tous bénis…

Marianne avec ses valises dans la rue les larmes aux yeux et personne n’essayant lui demander, chacun est occupé de ses affaires, vers 15h de la journée en plein soleil l’accusé Marianne pauvre qu’elle est toujours dans ses lamentations

Marianne : oh Dieu fait quelques choses s’il te plaît, mais vous avez dit que vous êtes le père des orphelins, qui suis-je ?? Le monde me traite de sa méchanceté et je suis faible pour y résister, si ma mère est dans votre saint paradis, dis lui que je peine, je manque où aller, à qui parler et quoi faire.

Qu’elle me vienne même pour un temps…

Okay, merci père Céleste, je laisse que ta volonté s’accomplisse dans mon chemin !

Il est dix-huit heures quarante cinq minutes, Maria dans les rues de la ville, pendant que tout le monde se précipite à rentrer à la maison, elle ne sait quoi faire, seul au rond-point…

Ah, ça c’est mal, très mal encore.

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