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Face cachée
Face cachée
Auteur: D'el Pablo

CHAPITRE 1: L'espoir et la rencontre.

                                                            CHAPITRE 1: L'espoir et la rencontre. 

 Dans sa voiture, la Mercedes dernier cri 2019 le regard par dessus la vitre, d'un air apaisé explorant toutes images resplendissantes que peut offrir la ville et celles moins jolies qui lui faisaient sourire d'autant pour lui malgré le nombre de millionnaires et milliardaires dans cet État certaines zones restent toujours aussi déplorables. Ils préfèrent aller passer les vacances dans autres régions, y construire des bungalows que les régions les plus probantes. Ce débat individuel prit fin dans sa tête lorsque son chauffeur l'interpela à savoir s'il rentre à la maison ou s'il passe au rendez-vous de 20h.

  -On rentre Nicolas. J'ai pas vraiment la tête à courtoyer ces gosses de riches en leur parlant de ce qu'ils ne pourront pas comprendre.

 -Excusez moi monsieur mais vous oubliez que vous êtes aussi riche qu'eux et même plus qu'eux !

 -Justement Nicolas! moi je suis riche. Eux ils sont gosses de riches. Il y a une différence du fait que moi j'ai gagné l'argent de mes propres mains tandis qu'eux héritent de ceux de leurs parents

 -Je comprends Monsieur mais ça m'étonne qu'entre riche parfois vous vous dénigrer.

 -C'est l'ironie des choses, Alors ferme la et conduit.

Nicolas ne dit mot sourit et continuiait son boulot comme toujours. N'ayant pas l'habitude de rentrer si tôt dans sa grande maison munit d'exceptioonnels objets d'art venant d' un peu partout du monde, des artistes les plus remarquables, il ne taillait pas d'importance à tout ça. Plus jeune il croyait qu'être riche, il serait bien satisfait de sa vie cependant ce ne fut pas le cas puisque cette fortune demande parfois certains sacrifices qui y impliquent parfois sa dignité. Contrairement à sa compagne Alice. Ces objets d'arts définissent ce qu'on est. Et le mariage n'est qu'un contrat entre deux individus juste pour satisfaire soit la coutûme communautaire soit par obligation, par besoin pour plus de fortune ou résoudre un problème plus complexe.

 Sa voiture se gara alors dans le domaine il sorti, toujours bien vertit comme d'habitude, d'une beauté élégante et assez mignon. Du taille de plus d'un mètre 70. Ilse dirigea vers la porte de sa maison. Sa démarche était souvent les plus droit on dirait qu'il l'avait appris à le faire depuis son jeune âge. Eh oui la richesse lui va bien.. Il entra laisse le grand salon du bas, monta les escaliers pour les chambres. Le silence dans l'appartement lui était un peu plus soupçonné. Devant sa chambre il ouvrit, entra se débarrassais de sa veste. Sans raison il décida d'aller vérifier si sa femme était dans la sienne. Selon Alice ils n'avaient pas besoin de partager la même chambre puisque cela entraverait à leur espace personnelle. Elle avait ses caractères et pire encore. Marchant tout droit vers la chambre de sa femme. Il entendit des voix, des gémissements, bref des cris, frustré par ce qu'il vient d'entendre, une colère lui monta jusqu'aux orbites qui changea la couleur de ses yeux en rouge. Ainsi pour être plus sûr de la situation il ouvrit la porte et vit sa femme s'envoyer en l'air avec un monsieur bien musclé dont il n'avait pas connaissance. La position dans laquelle il les avat surpris était des plus gymnase. Prise en flagrant délit. Elle sursauta de sa position magique

-Aaron? T'es déjà rentré.

Hébété, il ne dit mot ,figé, les yeux pleins de rougeurs.

-Et d'ailleurs pourquoi tu frappes pas avant d'entrer ?

Le monsieur qui prenait la charge de s'occuper de Alice ramassait ses vêtements, l'air effrayé comme s'il avait reconnu l'homme qu'il venait de cocufier. Il ne tarda pas à sortir de la chambre traversa les couloirs, les escaliers et le reste du domaine enfin finir pas s'habiller dans les jardins. Le chauffeur vit l'homme en vitesse et comprit ce qui se passait déjà ayant été témoins de beaucoup des ces situations.

Dans la chambre de Alice. Aaron ne sentant plus ses jambes, s'assied sur une des chaises dans la chambre. Elle faisait alors sa grande gueule et continua

-Je suis désolé que tu aies vu ça mais fallait toquer avant d'entrer

-Tu es sérieuse là ? C'est tout ce qui t'intéresse, à ce que je toque à la porte de ta chambre avant d'entrer alors qu'il y a deux secondes tu t'envoyait en l'air sauvagement avec ton prof de gym ou je ne sais qui?

-De un, ce n'est pas mon prof et désolé que cela te choques, mais de toute façon on s'en fou de la personne avec qui je m'envoie en l'air dans le cas où nous restons mariés. Et d'ailleurs ne me dit pas tu ne fais pas pareil avec tes fans, tes secrétaires ?

Là, son honneur était mise en question, sa dignité. Il n'avait jamais trompé sa femme mais pour égaler la situation fallait qu'il dise ce qu'elle avait envie d'entendre.

 -Oui je couche avec des nanas mais je les amène jamais chez moi. Je ne baise pas avec eux dans notre salon,ni cuisineset nul part d'autres ici ou je ne sais où tu t'es déjà envoyé en l'air avec tes inconnus.

-N'en fait pas une drame politique quand même. Dit-elle

-Alice. Respecte au moins ma maison, moi, et respecte au moins notre fille qui dort juste à côté,mais putain !!!!!!

Sous ces mots il quitta la chambre. Évolua dans les couloirs et dit

-Si tu continues ainsi je risque de demander le divorce.

Suite à ces mots, elle prend un air de gaîté et vint lui voir en face pour lui jeter à la figure ces mots.

-Si tu oses Aaron. Tu sais bien que tu vas tout perdre, ta fortune, je sais que tu t'en fiches de moi mais tu vas aussi perdre ta fille, ainsi ta dignité du grand écrivain, homme d'affaire et cinéaste que tu es. Tu sais bien ce qui est en jeu.

-Ma dignité je l'ai déjà perdu il y a bien longtemps.

Ce fut ses mots avant d'entrer dans sa chambre et claquer fort la porte derrière lui. Enfin il cria à travers la porte

-Et plus jamais tu ne me cusineras avec tes mains infectes et ni à notre fille.

-Parfait, d'ailleurs ça rend raides mes doigts de faire la cuisine. Et demain je dirai à ta fille que Papa a refusé que maman lui fasse la cuisine lorsqu'elle posera la question de savoir " pourquoi ce n'est pas maman qui me fait aujourd'hui ma salade ?".

Il ne répondit pas à ses propos. Entra sous la douche, pleurait toutes les larmes de son corps, essayant  les cacher sous les gouttes d'eau comme si quelqu'un étant là allait les remarquer. Parfois il avait envie de tout laisser, fuir loin de cette femme même si cela lui coûtait sa dignité, sa fortune. Mais ça devrait pas lui coûter sa fille. Il se disait ainsi rester pour elle mais seulement que jusqu'à là il n'avait pas encore trouvé lui même la bonne raison de laisser tout, quelques chose qui en valait la peine de risquer tout ça et s'en aller. Il n'avait pas encore trouvé ce bonheur. Ainsi il comprenait des fois que ça fait très longtemps qu'il avait sourire sans y être contraint. Le désespoir le gagnait et son seul espoir parfois était sa petite fille de 5ans qui, réveillée le matin demande d'après lui; veut qu'il lui fasse son bain, qu'il l'amène à la garderie. Chaque fois avant de s'endormir c'était ces seules choses, cette importance que lui accordait sa petite qui l'aidait à se réveiller et à ne pas enfin sombrer..

  L'éclair ensoleillé, traversait sa grande fenêtre ayant une vue sur le jardin entier ainsi se projetait sur son visage tout calme, ce fut toujours cette sensation de sentir son visage éclairé par une lumière qui le réveillait de son sommeil. L'un des moments où il était lui même. Sortit du lit il prit une douche, s'habillait et se précipita dans une chambre plus petite, bien décorée avec des guirlandes, des dessins, et aussi des tableaux d'enfants très spéciaux. Il ouvrit minutieusement comme pour ne pas réveiller quelqu'un. Il entra se glissa dans le petit lit à côté d'un corps minuscule, verti en pyjama ,courbé sur son côté droit et d'un sommeil profond. Sa présence se fit remarquer par sa fille qui se retourna vers lui, ainsi face à face. Il s'enpressa de dire

-Toc-toc !

-Qui est là ?.. Dit elle à son tour.

-C'est ton prince charmant Papa.

-Et que me vaut l'honneur d'une telle visite ?

-Venir me blôttir contre ce corps de reine avant d'aller au boulot et en passant lui faire beaucoup de bisous pour qu'elle ait une très bonne journée.

-Et ainsi en recevoir d'elle pour une bonne journée de travail aussi ?

-Effectivement.

Souriante elle se mit dans les bras de son père qui la serra fort contre lui sans manquer de lui faire des bisous dans ses cheveux, sa joue, et un peu partout sur son visage.

-Ça va Papa tu risques de me mouiller.

Dit-elle en éclatant de rire. Son père prenait encore le temps de la dévisager pendant qu'elle était encore entre ses bras et lui dit.

-Si petite mais si intelligente. Je t'aime ma reine.

-Je t'aime aussi Papa prince. 

Il quitta après quelques minutes la chambre de sa petite fille puis redescends dans la cuisine près du salon d'en bas. Monica une femme dans les trentaines habillé en blanc avec un tablier de couleur rouge lui fit son petit déjeuner qu'il prend avec savoure

-Toi tu vas pas arrêter de me surprendre avec tes nouvelles préparations.

-Ça me ravit de toujours vous surprendre et que vous soyez bien rassasié.

-Merci pour les œufs brouillés au saucisses, Monica

-Je vous en prie monsieur et bonne journée à vous.

-merci.

-Lorsque vous pourriez écrivez sur moi aussi. Ça me plairait qu'on fasse un film sur mon histoire.

Il se mit à rire et pour ne pas décourager la dame,

-Ne t'en fais pas. On a tout le temps pour que je puisse connaître ton histoire et et le narrer au monde entier.

Compris qu'il le disait juste pour le faire plaisir alors elle dit

-Vous blaguez n'est ce pas?

-Oui je blague Monica. Tu me cuisines très bien et ça c'est la plus magnifiques des histoires que tu puisses narrer. Bye.

Elle sourit et se mit alors à faire la vaiselles. Au dehors, Nicolas attendait devant la voiture que prendra aujourd'hui son employeur. Plus proche il lui passa le bonjour lui ouvrit la portière de derrière mais Aaron décida de prendre la place du devant proche du conducteur. Surpris par sa décision il s'exécuta ensuite. Pendant la moitié du trajet il était silencieux et comme d'habitude regardait par dessus de la vitrine. À un moment il demande à ce que Nicolas lui joue ses goûts musicaux qu'il dénigra ensuite et qu'il n'avait pas bon goût et lui faisait jouer les siens que lui seul aimait bien sûr. À destination avant de descendre il se tourna vers son employé pour un regard plus intense et lui demanda?

-Couches tu avec ma femme ?

Pris de peur il répondit assez vite 

-Mais non. Jamais je ne vous ferai ça Patron.

-J'espère bien, si tu tiens vraiment à ta putain de vie.

-Bien sûr je tiens à ma vie.

-J'espère que c'est pas parce que je viens de menacer ta vie tu me dis ce que j'aurais envie d'entendre ?

-Jamais monsieur je ne la regarde même pas!

-N'exagère pas abruti. C'est une belle femme. Aucun homme ne peut s'empêcher de la matter mais les belles choses, ça vous suce,vous vide de tout.

-Vous voulez dire quoi par là ?

-Que tu rentres et amène ma fille à son école.

Il sortit entre dans un grand bâtiment peint en bleu et munit de plusieurs étages. À peine entrer une femme vient à sa rencontre le salua et commençait à lui programmer sa journée. Elle n'arrêtait pas de parler encore et encore ce qui parfois indisposait Aaron mais il ne disait rien puisque c'était son boulot à elle de parler en tant qu'assistante. Dans son exposition des rendez-vous du jour, un l'avait interpellé; celui de midi avec une entreprise de réalisation cinématographique. Apparemment cette entreprise voulait une liaison avec la "Maison d'édition Aaron" sur la vente des droits d'auteur sur un roman qu'ils produiront ainsi pour une série télévisée. Mais les deux côtés n'étaient pas du même accord sur le prix fixé pour la vente du droits d'auteur de ce roman qui est discuté par aussi d'autres entreprises cinématographiques. Dans ce genre d'affaires seul celui qui propose le meilleur prix en est acquéreurs puisque là il s'agit pas seulement d'une liaisons entre la *Maison D'édition Aaron* et l'entreprise du cinemas qui reviendrait à partager par pourcentage des chiffres d'affaires à la sortie de la série mais une vente totale de l'écrit de cette série dont la *Maison' d'édition Aaron* effectuera ce qui lui privera des droits d'auteur du roman ainsi il n'aura plus de revenus après la sortie du film ou de la série télévisée. Cela rend alors cette vente complexe et à des milliers de FCFA. Il prit en compte ce rendez-vous afin de vite conclure le marché et que sa boite recueille des millions de FCFA ainsi qui lui rend un plus plus riche. Dans l'ascenseur il posa la question à connaître l'heure exact du rendez-vous.

-Natasha annulez tout les autres programmes de la journée à part celui-ci.

-Mais pourquoi monsieur ? Ce sont aussi des rendez-vous très importants

-C'est moi qui décide ce qui est important et ne l'est pas. Est ce qu'il me rapporteront des millions ?

-Non mais....

-Alors apporté moi un café et s'il vous plait ne me parlez pas de quoi d'autre à part ce rendez-vous, si vous voulez continuer à gagner votre salaire.

-D'accord boss, c'est noté

- C'est bien,j'aime quand vous comprenez plus vite.

Après le départ de Natasha il prit le temps de s'asseoir, et regarder la photo de sa petite posé sur son bureau, le sourire lui vint sur les lèvres.ce qui lui rappela presque son seul bonheur..

   Des heures passèrent et il sonnait déjà midi, le soleil étant au zénith ce qui faisait bon temps pour les vendeurs de glaces et boissons fraîches. La cafétarias à ce moment sont fermés et rouvrent tard dans la soirée. Déjà à 13h et 30min il était de retour de son rendez-vous sortit de sa caisse pour se diriger à nouveau vers son lieu de travail. À l'entrée il fit constater au Virgile pourquoi y avait-il dans de monde dans son entrée. Aussitôt Natasha le rejoignit tout essoufflée

-Ne vous énervez pas pour ce monde. Mais aujourd'hui c'est la journée de dédicaces. Ce que vous avez tant ignoré dans vos programmes du jour.

-Et puis merde!!!

-Ah oui. Je vous avais prévenu de prendre en compte tout.

-J'avais compris oui. Et arrêté ce me fixer avec cet air de " je vous avais dit"

Elle sourit et continua d'essayer de calmer les gens présents pour la dédicace.

Soudain une fille dans les vingtaines, au cheveux bruns qui tombaient jusqu'à son dos tressé sous forme queue de cheval qui apparemment accompagnait une vieille dame dans les quatre-vingtaines dans un fauteuil roulant d'au-moins trois livres à ses genoux, lui cria dessus.

-Eh toi l'écrivain???

-Moi?

S'étonna Aaron de répondre dû à la façon dont elle lui a adressé la parole.

-Oui toi. Y-a t-il d'autres écrivains ici?

-Excusez moi? Mais.....

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle enchaina,

-Ça fait plus d'une heure qu'on vous attend ici la vieille et moi. Elle m'a fait déplacer de l'autre bout de la ville pour une dédicace de votre part et malgré que vous nous avez fait poiroter ici pendant une heure, enfin vous êtes là et vous vous figez à l'autre bout de la pièce?

La vieille dame aperçu alors Aaron 

-Excusez ma petite fille pour ses mauvaises manières chers monsieur..

Avant qu'elle ne finisse ses mots le reste de la foule aperçut Aaron et s'immobilisait tous vers lui mais les agents de sécurité du lieux les stoppaient avant. Il monte alors dans l'ascenseur et demande à ce qu'on envoie la vieille dame dans son bureau. Des instants après s'être assis à son bureau et signer quelques documents concernant le rendez-vous avant, il reçu un appel si son téléphone fixe. C'était sa secrétaire; pour annoncer deux femme qu'il ordonna d'entrer. La porte de son bureau s'ouvrit faisant apparaître la jeune femme et sa grande mère en fauteuil.

-Entrer s'il vous plait leur dit-il.

La demoiselle fit entrer la vieille et l'accompagne donc. Aaron ne cessait de la regarder. Cette fille avait quelques chose en elle dont-il ne comprenait pas. Il lui fit signe de prendre siège ce qu'elle faisait sans tarder. À lui d'entamer la discussion ainsi..

-Madame, comment allez vous? Je suis vraiment désolé pour le retard ! Et..

-Ça je ne vous le fais pas dire.

-Coupa la demoiselle à ses lèvres.

La vieille pour le calmer lui faisait signe des yeux de ne pas la répondre..

-Vous êtes une bonne grande mère qui adorez la lecture malgré que vous avez une petite fille si..

Mais ne finit pas sa phrase par respect pour la dame en fauteuil.il prit enfin les livres et les signe. Il jetait un coup d'œil à la demoiselle à côté qui était très absorbée par son visage.

-Voudriez vous ma photo et vous, vous ne lisez pas?

-En photo vous seriez très vilain et non j'aime pas lire. Je préfère regarder dans les films

-Ainsi vous me trouvez beau. Les films sont moins captivants que les romans.

Elle sourit d'un coin de ses lèvres et s'approcha plus vers son visage, lui curchotait tout près

-Vous, je crois que je ne vous aime pas.

-Ne croyez pas trop vite, si non vous risquer de m'aimer plus tard.. Lui répondit-il le sourire aux lèvres. La vieille innocente de la situation les regardait tous deux étonnamment. La demoiselle se leva, tint le fauteuil de sa mémé et la poussa vers la sortie sans dire au-revoir à Aaron qui lui fit remarquer

-Chez nous on dit au-revoir avant de quitter quelqu'un mademoiselle ...?

-Ushua. C'est mon nom. Et c'est fait exprès pour que vous le dîtes en premier. Bye.

Et la porte se renferma derrière elle. Et dans sa tête une phrase lui traversa l'esprit.

    << Je crois qu'elle va me plaire celle-la>>.

La porte du bureau vient de rouvrir, Nastha entra, se rapproche du bureau de son patron et posa ses deux paumes à la table, d'un air interrogatif.

-Alors cette réunion ?

-Bien. C'était une femme assez complexe avec sa grande mère pour une dédicace.

-Quoi? De quoi parlez vous? Je parle de la réunion qui devrait nous rapporter des millions.

-Ah oui ça ?

-Oui ça ! Et non de votre dédicace.

-Eh ben, ils étaient tous là avec leurs avocats, ainsi que moi et les miens, on a mené les pourparlers, il m'a traité d'abruti de requin.

-Quoi? C'est tout ?

-Non, il m'a signé un chèque avec pleins de zéros dessus.

-Après t'avoir traité d'abruti de requin?

-Oui.

-Évidemment. J'avais cru que vous feriez foirer cette affaire.

-Et pourquoi croyez vous ça ?

-Parce que d'abord ton associé n'est pas là, et tous deux savons qu'il est plus doué pour mener ce genre de contrat. Et sans oublier que le PDG de notre nouveau partenaire vous déteste.

-Éric est en congé de deux semaines, c'est pas pour autant que

 l'argent ne doit plus entrer dans la boite. Et leur PDG est un trou du cul.

-Je suis sûr qu'il pense la même chose de vous.

-Merci. Soit gentille et va m'encaisser cette somme sur notre compte bancaire

  Elle prit alors le chèque que lui tendit Aaron, sourire aux lèvres après un coup d'œil sur le papier

-C'est une sacrée somme là. Je ne m'attendais pas à une telle prouesse en affaire de votre part.

-Merci pour le compliment et oups!

  Elle sortit du bureau très rapidement pour enfin aller encaisser cet argent.

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