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Il a voyagé plus longtemps et plus loin qu’il n’avait jamais voyagé tout en me portant dans ses bras.  Au lieu de s’arrêter brusquement comme il l’avait fait dans lepassé,  il a progressivement ralenti, donnant à mon corps l’occasion de s’adapter.  En conséquence, quand il nous a finalement débarqués au sommet d’une majestueuse montagne canadienne, j’ai pu profiter de jambes stables qui m’ont permis de me promener immédiatement.   Je suis resté immobile, attendant que la purge de mon estomac commence.  À ma grande surprise et à ma grandejoie,  je me sentais un peu nauséeux, mais rien ne sortait.

Il m’a pris par la main et m’a tiré derrière lui.  J’ai remarqué que sa respiration était un peu laborieuse.  Une autre erreur découverte.