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Je me suis réveillé de ma sieste se sentant rafraîchi et dans un état d’esprit plus positif.   J’avais rejoué ma tentative de me connecter avec mon lointain cousin, Anton, et je croyais savoir ce que j’avais fait de mal.  J’avais hâte d’essayer à nouveau.

Invoquant Elsie pour m’aider à entrer dans les engins qu’ils considéraient comme des vêtements appropriés - mais, pour moi, étaient plus comme un appareil de torture que je savais que je ne m’habituerais jamais à- je me précipitai habillé pour le dîner et ardemment couru à la salle à manger.

Dès que je suis entré dans la grande pièce avec ses meubles polis à la cire d’abeille et des boiseries, j’ai été reconnaissant à Elsie d’avoir refusé de couper les coins ronds