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Comme je facilité mon modèle tardif Chevy Malibu à travers la porte en fer orné surdimensionné et il a conduit jusqu’à l’allée bordée d’arbres, j’ai pris un long coup d’oeil à la maison.   Il était dans un état tout aussi beau qu’il l’était dans les dix-huit cents; si ce n’est plus le cas.  La façon dont le soleil s’est mélangé avec son extérieur doux et jaune pâle et l’état immaculé de sa garniture blanche et tableau de colonnes tenant l’imposant portique m’a fait réaliser que Nora avait raison de l’étiqueter majestueux.  Il devait être la maison la plus spectaculaire que j’avais jamais eu l’occasion de voir et de marcher à travers - sans parler de posséder et de vivre dans- mais il a émis une ambiance triste et solitaire. 

J’ai mis de côté les souvenirs de l’horrible sournoise de Jason et le traitement vil de moi et le fait que j’avais été empoisonné alors que dans cette maison et me suis permis de me rappeler les longues promenades avec Lance dans les jardins élaborés et la beauté de notre nuit de noces.  Nora avait peut-être raison.  La maison a eu de merveilleux souvenirs pour moi.  J’avais juste besoin de les tirer à l’avant-garde de ma banque de mémoire et de pousser les mauvais à l’arrière.  Ou, même complète ment dehors.  Si c’était possible.

Comme j’ai arrêté la voiture dans la partie circulaire de l’allée près de la porte d’entrée et lentement sorti, je pouvais effectivement sentir la tristesse que la maison a émis. Il s’est mélangé avec le froid de la fin de l’automne et a causé mon corps à frissonner involontairement. Je détestais le froid, mais j’ai dû accepter le fait que l’hiver était sur nous et, bien que Virginia n’a pas eu le froid comme New York l’a fait, il faisait encore froid et neigeux. 

J’ai ajusté le col de fourrure sur mon manteau de sorte qu’il offrait une meilleure protection contre les éléments.  Mon cœur me regrettait le vide d’une maison autrefois pleine de vie.  Une partie de la vie était heureuse et bonne tandis que d’autres étaient tristes et mauvaises, mais tout était vibrant.  Nora avait peut-être raison quand elle a souligné que la maison avait besoin de vie.  J’ai pensé à ce que Lance ressentirait de voir sa maison si seule.  Je me sentais, dans une certaine mesure, obligé de faire quelque chose à ce sujet. 

« Si j’emménageais ici, je voudrais que vous habitiez avec moi », dis-je en je cherche ma porte-clés pour trouver la clé de la porte d’entrée.  « Je ne pouvais pas vivre ici seul. »

« Vivre ici? » « Ou, rester le week-end? »

— Je ne sais pas, gémit-je.  « Il n’a aucun sens de garder nos deux appartements quand nous avons cet énorme manoir à notre disposition. »

« Avez-vous une idée de ce qu’est une aide de ne pas avoir à payer le loyer serait pour moi? »  « Je ne fais pas le même argent que toi. »

Je l’ai regardée avec surprise. « Avez-vous besoin d’argent?  Vous n’avez jamais dit.

« Mes difficultés financières ne sont pas votre problème, dit-elle avec son menton tenu haut comme elle se tenait à côté de moi et attendait que je déverrouille la porte, mais ce serait une énorme charge sur mon dos si je me débarrassais du fardeau du loyer. »

— Et les services publics, ajouta-t-il en insufflant la clé dans le trou de serrure et en la transformant.

Elle leva les sourcils et dit avec enthousiasme: « C’est vrai.  Ceux-là aussi!

— D’accord, alors, dis-je en balançait la porte et en me écartant pour lui permettre d’entrer en premier. « Donnons un avis à nos propriétaires. »

« Je vais lancer avec les factures, bien sûr.  Je ne penserais jamais à devenir un mooch.  Je ne suis pas mooch », at-elle bavardé avec enthousiasme comme elle a pratiquement sauté sur le seuil portant un énorme sourire.

J’ai ri.  « J’oserais dire que Lance a tout cela couvert.  Tu vis ici avec moi pour que je ne me sente pas seule et qu’on soit bons.

« Sérieusement?  Qu’est-ce qu’un accord! » elle citait comme elle se précipita vers la porte et reposa sa main sur la poignée de porte. « Vais-je obtenir une clé? »

« Ne soyez pas stupide.  Bien sûr, vous le feraz », dis-je en je lâché mes clés dans mon sac à main.  « Maintenant, pourquoi ne pas aller choisir votre chambre pendant que je nous fais un café et monter la chaleur un peu.  Cet endroit se sent froid et dur.

Elle riait.  « C’est l’hiver, après tout. »

J’ai frissonné et j’ai dit : « Il est encore tard à l’automne.  Ne précipitez pas les choses.  Puis, secouant la tête, j’ajoutais: « Pas ce genre de froid et dur.  Une sorte de solitude de froid et de dur.

« Cela changera une fois que nous y serons », a-t-elle dit avec un sourire heureux.  « Y at-il du chocolat chaud?  C’est comme une occasion de chocolat chaud.

« Tant que ce n’est pas l’heure du thé, je suis bon », murmurais-je en me rendant à la cuisine.

J’ai écouté ses pas étouffés comme elle a couru jusqu’à l’escalier en chêne incurvé et très poli avec son ornée conçu, tapis rouge brique qui coule comme une chute d’eau au centre de ses marches que j’ai pensé aux centaines de tasses de thé que j’avais été forcé de boire alors que retour dans le temps avec Lance.  Je n’avais jamais développé une appréciation pour le thé comme je l’ai fait pour le café.  Après l’avoir poussé sur moi par la mère dominateuse de Lance, Vivian, plus de fois que je ne pouvais compter, je me fiche de ne plus avoir revu une autre tasse.

Debout dans la cuisine, j’ai fermé les yeux et je me suis souvenu de la cuisine du XIXe siècle.  Il était situé dans ce qui était maintenant considéré comme le sous-sol, mais ce qu’ils avaient appelé le niveau inférieur.  La cuisine, les magasins d’alimentation, la lessive, etc étaient tous au niveau inférieur.  Au fil des siècles, il a été élevé au rez-de-chaussée à l’arrière de la maison.

Je me demandais ce qu’ils avaient fait avec les chambres dans le sous-sol, mais a décidé de remettre à plus tard l’enquête pendant un certain temps.  Après tout, ce n’était pas comme si j’étais sur un calendrier de temps pour vérifier l’endroit.  Je l’ai possédé.  Ma priorité était de trouver la cachette de cette boîte magique.

J’avais passé juste assez de temps dans la cuisine avec Lance quand nous avions rencontré pour la première fois pour avoir eu une idée décente de l’endroit où les choses étaient, donc il n’a pas fallu longtemps avant que j’ai eu un plateau avec deux tasses fumante de chocolat chaud prêt à prendre dans le salon pour profiter.

Nora délimité dans la chambre tout comme j’avais mis le plateau sur la table basse.  Elle s’assit sur le long canapé antique et berce sa tasse dans ses mains.

« C’est un jour si sombre aujourd’hui, dit-elle comme elle soufflait doucement sur le liquide pour le refroidir assez pour qu’elle boive.  « Boy, il faut beaucoup de temps pour la maison de se réchauffer.  Vous avez tourné la fournaise, n’est-ce pas?

J’ai giflé mon front avec la paume de ma main.  « Je me suis tellement impliqué dans ce que j’ai oublié. »

« Je vais l’obtenir », dit-elle en se pendant sur ses pieds et en se précipita dans le hall où se trouvait le thermostat.

— Vous saviez où aller, dis-je avec surprise et appréciation. « J’aurais été à la chasse pendant des siècles. »

« J’ai fait un peu d’exploration en attendant que vous revenez », explique-t-elle.

« Vous saviez que je serais de retour? » J'ai dit.

Elle haussa les épaules.  « J’espérais.  Quoi qu’il en soit, je savais que l’un de vous re viedrait me dire ce qui se passe.  Alors, j’ai tué le temps en explorant.

Une pensée m’a frappé et j’ai demandé avec impatience: « Avez-vous été à explorer au dernier étage? »

Elle frissonna et secoua vigoureusement la tête. « J’étais seul, vous vous souvenez?  J’ai gardé pour les chambres principales; loin de effrayant, solitaires hangouts fantômes.

— Je vous ai déjà dit que les murs ne les arrêtaient pas, dis-je avec une légère impatience.

— Peut-être pas, mais les murs me font me sentir en sécurité, répondit-elle.  « Tout comme les lumières.  Je pense que je vais en allumer.  Le soleil brille, mais il ne fait pas son chemin ici très bien.

Tout comme elle a dit cela, j’ai pensé que j’ai vu une figure clignoter devant l’arche menant au foyer et disparaître dans l’ombre, mais je ne lui ai rien dit.  Pour autant que je sache, c’était mon imagination hyperactive évoquant des choses pour mon esprit de s’inquiéter dans une maison qui détenait l’énergie de siècles de vie en elle.  Sachant ce qu’elle ressentait à propos des fantômes et d’autres choses qui se sont cognées dans la nuit, je savais qu’il était préférable pour moi de garder le silence jusqu’à ce que je suis certain que j’avais effectivement vu quelque chose.  En plus de ce que j’avais vu.

« Avez-vous choisi votre chambre? » J’ai demandé.

« J’ai pris celui que Lance m’a mis en place.  J’y ai passé assez de temps pour m’y habituer », a-t-elle répondu. « Quelle chambre allez-vous prendre? »

« Je ne suis pas encore sûr », dis-je en resserrant qui occupait quelle pièce quand je suis entré dans le passé.  « La chambre que Lance m’a mis dans le week-end quand nous nous sommes rencontrés était celle que j’occupais alors que dans le passé.  Je veux m’asseoir dans celui-là et celui qui était le sien et voir lequel me parle le plus fort.

Je ne lui avais pas dit tout ce qui s’était passé quand j’étais dans le passé.  C’était encore trop douloureux pour en parler.   Par conséquent, je ne pouvais pas admettre que la chambre dans laquelle j’avais séjourné était aussi la chambre où Jason m’avait manipulé et utilisé sexuellement afin d’obtenir ma magie.

« Dans quelle chambre avez-vous passé votre nuit de noces dans? »

— Le sien, dis-je avec un léger sourire.

« Ce serait celle que je choisirais », a-t-elle offert. « Il est sûr d’avoir les meilleurs souvenirs attachés à elle. »

Je l’ai regardée et j’ai souri avec soulagement.  « Vous avez tout à fait raison.  Il pourrait aussi avoir une idée de ce qui se passe avec lui maintenant.

« J’ai encore de la difficulté à comprendre comment le temps passe d’un seul coup », songea-t-elle avec un renfrogné.

— C’est vraiment déroutant, répondis-je.  « Pourtant, d’une certaine façon, c’est logique.  « Si vous croyez en la physique quantique, il indique qu’il existe des chronologies avec des marqueurs qui séparent les choses qui se produisent dans chaque réalité vibratoire.  Quelle que soit la réalité dans laquelle vous vous trouvez est celle que votre conscience éprouve. Ce que j’ai encore du mal avec la façon dont Lance pourrait faire des allers-retours, mais il ne peut pas empêcher les choses de se produire.  Comment cela peut-il être?

Elle jeta ses mains hauteur de l’épaule avec ses paumes étendues vers moi et secoua la tête. « Vous demandez à la mauvaise personne. »

J’ai soupiré.  « Peut-être qu’un jour les choses se réuniront comme un grand puzzle.  D’ici là, nous allons chercher cette boîte.

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