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— Vous avez l’air normal à nouveau, dis-je avec joie en m’agenouillant à côté de Nora  qui était assise par terre à rassembler ses esprits autour d’elle et lui donna un gros câlin.

« C’est vrai », songea-t-elle quand je l’ai finalement libérée.  « Je me souviens maintenant. Je brûlais et j’ai pensé avec certitude que j’étais un goner.

— Je vous ai trouvé dans le couloir, dis-je. « Vous vous étaient évanouis.  J’ai envoyé pour Anton et il nous a ramenés.

Elle flashé mon cousin un sourire reconnaissant qui a dit un peu plus que « merci ». Je l’ai regardé pour attraper sa réponse.  C’était plus qu’un sourire « vous êtes les bienvenus ».  Po