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Après une tasse fumante de certains des meilleurs thés qu’Ari ait jamais goûté et vingt minutes d’examen de leurs plans, les trois étaient prêts à partir pour leur mission de sauvetage. 

Félix a été à la fois impressionné et un peu intimidé par les hommes qui les ont accueillis dans les écuries.  Ils lui rappelaient trop ceux qui avaient aidé le frère d’Ari, Baelil, avec le travail de boucher qui a été fait sur lui dans la grotte avant qu’ils ne le laissent pour mort.  Il a dû repousser les tremblements et la sueur qui ont fait surface presque immédiatement après avoir mis les yeux sur eux.

Voyant sa réaction, Olga posa sa main sur son épaule. « C’est l’uniforme, mon fils. Ces sont tous morts et partis.

Félix a avalé fort. «&n