Share

Chapitre 6 : Pas le choix.

*QG du BEST.

(Le matin, tout le monde se retrouva au travail. Samuel vint parler à tout le monde dans la salle des opérations).

Samuel : bonjour tout le monde. Comme vous le savez, hier, Thomas a été libéré et nous pensons qu’il a été libéré par les membres de son gang. Notre priorité est donc de le retrouver avant qu’il n’inonde nos rues de drogue. Quelqu’un a-t-il une piste ?

(Personne ne répondit, John parla à Krist).

John : Krist, qu’est-ce qui t’arrive ?

Krist : tout va bien, pourquoi ?

John : je ne pense pas que tout va bien. A voir ton visage, il est clair que tu as des problèmes. Tu veux m’en parler ?

Krist : non ce n’est rien.

John : d’accord.

Samuel : mettez-vous au travail et retrouvez-moi ce Thomas.

(Samuel s’en alla dans son bureau et John le rejoignit).

John : bonjour patron.

Samuel : John, que puis-je pour toi ?

John : monsieur, je crois avoir une piste sur Thomas.

Samuel : ah bon, pourquoi tu n’as rien dit quand j’avais demandé ?

John : je n’en suis pas encore sûr commandant.

Samuel : c’est quoi cette piste ?

John : mon frère.

Samuel : ton frère, expliques-moi !

John : je lui ai parlé hier nuit et il m’a affirmé que la brigade antidrogue avait mis sa mort en scène pour pouvoir l’infiltré dans la bande de Thomas parce qu’ils pensaient que quelqu’un d’autre continuait ses activités. Il s’agit de son frère Marcelin et c’est lui qui l’a fait évader. Une grosse transaction se prépare et il a besoin de Thomas pour passer les accords.

Samuel : et tu crois tout ça ?

Éric : il n’a aucune raison de me mentir. Toutefois, je compte me rendre dans la brigade antidrogue pour me renseigner sur tout ça.

Samuel : non, laisses ça, je m’en charge tout de suite.

(Samuel appela le directeur de la brigade antidrogue, monsieur Léon).

Léon : allô !

Samuel : oui, bonjour Léon !

Léon : Samuel, bonjour. Que me vaut cet appel ?

Samuel : c’est à propos de l’un de vos hommes, Éric.

Léon : Éric, qu’y a-t-il à son sujet ?

Samuel : j’aimerai savoir s’il est vraiment infiltré dans la bande de monsieur Thomas qu’on avait arrêté l’an dernier.

Léon : Éric est mort commandant.

Samuel : ah, donc c’est surement son fantôme qui a agressé mes hommes hier et qui a libéré Thomas ? Ne me prends pas pour un idiot Léon, je veux connaitre la vérité.

Léon : très bien, ok c’est vrai, Éric est infiltré dans le gang et il va nous mener jusqu’à Eltchoko.

Samuel : Eltchoko, qu’est-ce qu’il viendrait faire ici ?

Léon : d’après Éric, c’est lui qui fournissait de la drogue a Thomas mais depuis qu’il a été arrêté, Eltchoko s’est retiré mais Marcelin a repris le flambeau de son frère et il a tout fait pour que Eltchoko revienne dans la partie mais il ne veut traiter qu’avec Thomas, c’est pourquoi Éric l’a libéré.

Samuel : vous aurez dû partager ses infos avec nous, quatre de mes hommes sont à l’hosto à cause de ça.

Léon : je suis désolé mais si nous réussissons à mettre la main sur Thomas et son frère ainsi que sur Eltchoko et la quantité de drogue et d’argent qu’ils transporteront, nous porterons un grand coup au monde de la drogue.

Samuel : très bien, tiens-moi au courant et je veux participer à l’opération, ça me concerne aussi.

Léon : bien évidemment. Mais retiens une chose, Éric doit demeurer mort.

Samuel : compris !

(Il raccrocha).

Samuel : c’est vrai John, ton frère est bel et bien infiltré et tout ce qu’il t’a raconté est vrai.

John : d’accord, je suis soulagé d’entendre ça.

*Chez Marcelin.

(Marcelin se rendit ce matin dans la chambre de son frère avec le petit déjeuner).

Marcelin : bonjour grand frère.

Thomas : bonjour.

Marcelin : comment tu te sens ?

Thomas : ça ira, grâce à toi.

Marcelin : tiens, manges quelque chose !

Thomas : merci. Parles-moi des affaires.

Marcelin : t’inquiètes, quand tu seras rétablit, je te parlerai de tout, sois patient.

Thomas : d’accord, mais dis-moi que tout va bien au moins.

Marcelin : oui les affaires marchent comme sur des roulettes. La police pense que tout s’est arrêté avec ton arrestation et ne se doute de rien.

Thomas : mais mon enlèvement va les mettre encore sur nos dos.

Marcelin : c’est vrai mais ça sera trop tard quand ils réagiront.

Thomas : tu t’es occupé de tout han !

Marcelin : oui grand frère.

Thomas : je suis fier de toi.

Marcelin : merci.

*Hôtel, chambre de Bertin.

(Le matin, Estelle revendiqua son droit à la scolarisation).

Estelle : maman, il est l’heure de partir à l’école.

Isabelle : tu ne peux pas aller à l’école aujourd’hui ma puce.

Estelle : mais pourquoi maman, je veux partir à l’école.

Isabelle : je sais ma chérie, mais ces hommes ne te laisseront pas partir. Tu vas devoir attendre un autre jour.

Estelle : mais si je ne vais pas à l’école, la maîtresse va me punir.

Isabelle : ne t’en fait pas, ton père va s’occuper de tout et ta maitresse ne te fera rien.

Estelle : d’accord maman. Est-ce qu’on ne va pas manger ce matin ?

Isabelle : nous sommes prisonnières ma puce, on ne peut plus faire ce qu’on faisait chez nous.

(Bertin arriva avec de la nourriture. Il entra et ferma la porte).

Bertin : viens ma puce, je t’ai apporté à manger.

(Estelle courut jusqu’à lui et il lui donna le repas. Quant à lui, il fixa Isabelle avec envie).

Isabelle : pourquoi vous me regardez comme ça ?

Bertin : vous êtes tellement belle que je suis sans voix en vous regardant ! Comment êtes-vous arrivé à tomber amoureuse d’un policier qui n’a presque pas le temps et qui peut mourir du jour au lendemain ? Vous méritez mieux que lui.

Isabelle : ce ne sont pas vos affaires.

Bertin : bon appétit !

(Il s’en alla. Isabelle mangea avec sa fille).

*QG du BEST.

(Krist sortit quand John arriva derrière lui).

John : Krist, hey Krist, où est-ce que tu vas ?

Krist : je vais à l’école de ma fille.

John : ok, je n’ai rien à faire alors je t’accompagne.

Krist : non, ce n’est pas nécessaire, je m’en chargerai tout seul.

John : tu es très bizarre Krist, qu’est-ce qui ne va pas ?

Krist (furieux) : je te dis que tout va bien, lâches-moi un peu.

(Il entra dans sa voiture et s’en alla. Il alla avertir la maitresse que sa fille ne sera pas présente à l’école pendant un certain temps puis il rentra chez lui. Il réfléchit à comment il fera pour retirer ces preuves contre Paulin, le frère de Bertin. Après quelques minutes, il repartit à l'agence. Il alla trouver Romain, celui qui est chargé de déposer les preuves dans les archives).

Krist : salut Romain !

Romain : bonjour Krist, comment cava ?

Krist : bien. J’aurais besoin d’accéder dans la salle des archives.

Romain : pour quoi faire ?

Krist : je dois vérifier si l’arme qui a servi a tué Gérard est la même qui a aussi servi à un autre meurtre.

Romain : qu’est-ce qui te fait penser ça ?

Krist : s’il te plait, tu vas m’aider ou pas ? Tu me connais, c’est que c’est très important.

Romain : bon d’accord, suis-moi !

(Romain le conduisit dans la salle des archives. Ils arrivèrent devant un casier dans lequel se trouvait les preuves).

Romain : c’est ici, dans ce casier, je vais l’ouvrir pour toi.

(Romain introduisit la clef dans la serrure et Krist frappa sa nuque pour l’assommer. Il prit les preuves et sortit de la salle des archives. Il se rendit dans le bureau d’Alex).

Krist : salut Alex.

Alex : bonjour Krist.

Krist : j’ai besoin d’un traceur.

Alex : pour quoi faire ?

Krist : je soupçonne ma femme de me tromper. Je veux placer ça sur sa voiture pour voir où elle se rend.

Alex : je peux me connecter sur le signale GPS de sa voiture.

Krist : elle sait bien que je peux faire comme ça donc elle pourrait le désactiver.

Alex : d’accord, accordes-moi quelques minutes.

Krist : fais vite !

(Après quelques minutes, Alex lui donna le traceur et il sortit de son bureau. Il croisa John).

John : Krist, je te cherchais, le patron a besoin de nous.

Krist : désolé, je n’ai pas le temps.

(Il continua son chemin et alla à sa voiture. John l’appela en vain et il alla voir Samuel).

Samuel : où est Krist ?

John : il est parti.

Samuel : comment ça il est parti ?

John : il est parti comme ça. Je crois qu’il a de sérieux problèmes mais il ne veut pas en parler.

Samuel : très bien, appelles-moi Romain.

(John se rendit au bureau de Romain mais ne le trouva pas. Il demanda et on lui dit qu’il partait tout à l’heure aux archives avec Krist. Il se rendit donc aux archives et trouva Romain inconscient par terre).

John : à l’aide, venez m’aider !

(Quelques agents arrivèrent. John essaya de réveiller Romain et il réussit).

John : Romain, Romain, est-ce que ça va ?

Romain : oui je crois.

John : qu’est-ce qui s’est passé ?

(Samuel arriva).

Romain : Krist, il m’a assommé.

Samuel : Krist, pourquoi il aurait fait ça ?

Romain : je ne sais pas, il a emporté les preuves contre Paulin.

John : quoi, pourquoi il a pris ça ?

Romain : je n’en sais rien, je n’en ai aucune idée.

Samuel : John, appelle-le et demandes-lui de venir immédiatement ici.

(John l’appela).

John : ça sonne dans le vide.

Samuel : mais qu’est-ce qui lui prend, il veut foutre sa carrière en l’air ou quoi ?

John : il doit avoir une bonne raison.

Samuel : prends quelques hommes avec toi et allez voir chez lui !

John : à vos ordres !

(John prit trois hommes avec lui et se rendit chez Krist mais ils ne le trouvèrent pas. Sa femme non plus ne fut pas à la maison. Ils retournèrent donc à l'agence).

Related chapter

Latest chapter

DMCA.com Protection Status