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3: Le jour où tout à commencé.

Pdv de l'auteur 

La jeune fille sorta de la chambre pour répondre à son père qui était dans une colère plus que noir puisque Doussou avait réussi son coup, c'est-à-dire elle avait envoyé les photos de Oumou et de Youssoupha qu'elle avait prise.

Tout les membres de la famille, alertés par les cries du chef de famille étaient maintenant dans la cour de la maison paniquer et ne comprenaient pas pourquoi il criait le nom de Oumou qui n'était toujours pas presente,et c'est ce qui augmentait de plus sa colère. 

Coumba de son côté était confuse ne sachant pas ce que sa fille avait fait, puisque cette dernière était du genre calme et faisait tout pour que son père ne soit pas furieuse contre elle. 

Du côté de Hawa et de Doussou, elles étaient assise tranquillement dans leur coin en faisant comme si rien ne se passait autour d'elles et Coumba trouvait ça un peu louche, eux qui d'habitude essayaient de savoir coûte que coûte ce qui se passait quand y'avait un problème mais cette fois c'était le contraire qui se passait. 

Gaoussou : papa qu'est ce qui y'a ?

Il tremblait en ayant les yeux fixés dans son téléphone qu'il tenait et comme son père ne répondait pas, il a prit le téléphone dans ses mains puis jeta un coup d'œil mais ce qu'il vue le laissa bouche bée. Certes, Gaoussou ne se mêlait pas des problèmes entre sa mère et Coumba contrairement à Doussou et Kadidia mais cela ne voulait pas aussi dire qu'elle aimait la mère de Oumou et comme on le dit : qui n'aime pas ta mère ne peut aussi t'aimer et vis versa,on trouve ça impossible.

En gros Demba avait catégoriquement séparé sa famille sans même s'en rendre compte et il regrettait amèrement d'avoir épousé Coumba juste pour faire plaisir au père de cette dernière. Il avait gâché non pas seulement sa vie mais elle n'était pas aussi heureuse dans son foyer.

 

Au fait quand Doussou avait prit les photos, elle les avait d'abord envoyer à un ami à elle qui est un expert en informatique en demandant à ce dernier de photoshoper les images qu'elle avait prises en faisant comme si Oumou et son ex petit ami s'embrassaient dans la rue. 

Si c'était que des simples photos des deux jeunes peut-être Demba allait comprendre un peu mais on voyant sa propre fille dans les bras d'un homme et de surcroît dans la rue entrain de s'embrasser, ça le mettait hors de lui. 

Oumou se présenta enfin devant son père qui tremblait de colère, Gaoussou son grand frère la regardait déçus et les autres aussi ne faisaient que regarder ne sachant pas ce qui se passait mais Oumou ne comprenait rien du tout.

 

Oumou: papa tu m'as...

Demba : FERME TA GUEULE OUMOU, ferme la tout de suite. Donc devant tout le monde tu fais comme si t'es une fille exemplaire alors que dehors tu joues aux petites putes c'est ça ?

Coumba : mais com...

Demba : NE M'ADRESSE PAS LA PAROLE COUMBA,NE ME PARLE PAS. Au lieu de passer tes journées dans ta chambre préoccupe toi de l'éducation de ta fille, ton unique fille...Dieu à bien fait de te donner qu'un enfant parce que s'il t'en avait donner plus, ils allaient tous ÊTRE DES DÉLINQUANTS MÉLANGÉS DE PUTE COMME OUMOU. 

 

Coumba commençait à pleurer et Oumou voyant cela, ça lui faisait mal donc elle s'était mise aussi à pleurer comme sa mère. 

Oumou :papa pou...pourquoi tu dis tout ça ? Snif...qu'est-ce que j'ai fais...

Demba : hier tu es sortis sans me le dire mais j'ai rien dis pensant que tu ne partais pas loin mais c'était pour rejoindre un homme et faire vos bêtises...

Oumou: Astarfiroula mais qu'est-ce que tu racontes, je...

Demba arracha le téléphone à Gaoussou puis le donna à Oumou. 

Demba : tu vas dire que c'est pas toi c'est ça ? OUMOU TU OSES ME MENTIR? wallah tu me fais honte.

Ses larmes coulaient à flots et elle avait la main sur sa bouche incapable de prononcer un mot.

Hamza qui suivait toujours la scène sans parler s'approcha et prit le téléphone des mains de sa sœur pour après jeter un coup d'œil comme l'avait fait son frère mais il fronça les sourcils directement. 

Hamza : papa ces photos ne sont pas vrai, ils ont été retouchés...

Demba: DÉGAGE DE MA VUE OUMOU,TU ME DÉGOÛTE...tu ne mérite pas ce prénom que tu portes.

Hamza: papa écoute...

Demba : si tu veux pas que je me défoule sur toi alors quitte sur ma ligne de vison. 

Malgré tout il n'écouta pas et s'approcha de son père mais Oumou était déjà dans la chambre de même que sa mère. 

Hamza : regarde papa, c'est pas pour protéger Oumou mais je te dis la vérité wAllah. Ces photos qu'on t'as envoyé ont étés retouchées, en plus la personne qui t'as envoyé les photos tu le connais?

Demba: hum hum !

Hamza : voilà tu vois non, c’est peut-être pour créer des problèmes dans la famille que la personne à fait ça, tu sais que je ne te ments jamais. 

Demba regarda longtemps les photos avant de se décider de parlé. 

Demba : si tu le dis Hamza je te crois mais si jamais quelqu'un dans  cette maison fait en sorte que je perds le respect des gens dans cet quartier il me verra sous une autre facette, vous êtes tous prévues. Je vais aussi bientôt devenir l'iman du quartier donc faites très attention pour ne pas me faire honte. 

Hamza : Insha'Allah. 

Demba : et vous attendez quoi pour dégager ?

Tout le monde retourna à ces occupations mais c'était la troisième guerre mondiale au fond de Doussou et sa mère puisqu'elle voulaient que Oumou ainsi que sa mère soient tous punis. 

Oumou s'était rendue dans la chambre de sa mère mais cette dernière l'avait chassé après l'avoir donné une gifle. 

Elle pleurait à chaudes larmes et suffoquait même si Mouna faisait de son mieux pour la calmer...après elle essuya ses larmes puis prit son téléphone en composant le numéro de Youssoupha. 

 

•Kou...

•écoute moi très bien Youssou, je ne veux plus que tu m'appelles et efface mon numéro de ton répertoire. Même quand je passerais dans votre rue, devant votre porte je te prie de rentrer dans votre maison et quand je passerais tu pourra sortir...

•qu'est-ce qui se passe ?

•QU'EST-CE QUI SE PASSE ?je vais te dire, hier tu m'as suivis quand je me rendais chez Safiatou et je sais pas ce qui s'est passé mais quelqu'un t'as suivis ou m'as peut-être suivis pour après prendre nos photos et les retoucher, genre comme si on s'embrassait...

•non tu blagues n'est-ce pas ?

•ET TU PENSES QUE J'AI LE TEMPS POUR ÇA ? LAISSE MOI TRANQUILLE YOUSSOU POUR L'AMOUR DU CIEL NE ME CRÉE PAS PLUS DE PROBLÈME, OUBLIE MOI ET SI TU VEUX SAVOIR JE...je ne t'ai...T'AIME PAS...

•tu mens !

Au lieu de répondre ou de raccrocher elle jeta son phone vers le mur puis il se fracassa en miettes. Elle commença à crier en se tenant la tête puis se laissa tomber par terre. 

Mouna : oh mon Dieu!

Mouna sorta en prompt de la chambre puis parta devant la chambre de Coumba en tapant fort à la porte.

Mouna : MAMAN...MAMAN OUVRE...VIENS S'IL TE PLAÎT, les djinns de Koulsoum...ça recommence...

Coumba en entendant cela ouvra vite la porte puis sort et partit en courant vers la chambre des filles tandis que Mouna appelait son père et  ses frères.

Quand ses derniers sont venues, Demba commença à réciter quelques versets du Coran sur la tête de sa fille et après quelques minutes elle se calma un peu. 

*****

Youssoupha Berthé 

Cela fait maintenant des jours que je cherche à joindre Koulsoum au téléphone mais à chaque fois que j'essaye c'est sur répondeur et j'avoue que ça commence à me faire peur vu qu'elle est toujours disponible au téléphone.

J'avais décidé de me rendre  chez elle mais en pensant à ce qu'elle m'a dit la dernière fois qu'on se parlait au phone, je ne l'ai plus fait puisque j'ai entendus dire que son père est trop dure.

 

Je l'ai peut-être causé des problèmes et je m'en veux tellement mais je pense aussi que ses parents ne doivent pas être trop sévère avec elle mais bon...Nous avons pas grandit dans le même milieu donc je peux pas comprendre parce que toute mon enfance je l'ai passé en Europe avec mon frère et mes parents.

Nous sommes venus au Mali quand j'avais 16ans suite à la mort de mon père que je veux même pas penser.

C'était un moment très dure pour moi parce que j'étais beaucoup trop attaché à mon père, ma mère commençait à avoir peur de mon comportement, je ne dormais même plus donc presque tout les jours on partait chez un psychologue, ça m'énervait de ouf...

C'est mon frère qui à voulut qu'on vienne vivre ici pour qu'il s'occupe lui-même de l'entreprise familiale et ma mère était parfaitement d'accord avec lui donc nous voilà ici. 

Quant à Koulsoum je ferais tout pour avoir de ses nouvelles avant mon départ, je veux la voir une dernière fois avant de partir même si je sais qu'elle ne va pas aimer.

Elle va beaucoup me manquer et dans tout ça, à chaque fois que je pense à mon départ mon coeur commence à battre vite puis un sentiment bizarre se propage sur tout mon corps, une sensation de peur je dirais mais je sais pas pourquoi. 

J'ai comme le sentiment de la protéger, au fond de moi j'ai comme l'impression que quelque chose va se passer en mon absence...

 

-toc toc.

Je sursaute un peu,  j'étais trop occuper dans ma tête. 

- c'est ouvert. 

Je me redresse et lève la tête...c'est mon frère, il s'appelle Ismaël. 

Youssou : tu ne devrais pas être au bureau ?

Ismaël : je viens de rentrer...bon prépare toi, tu prends le vol aujourd'hui à 19h...

Youssou : QUOI? C'était prévu pour la semaine prochaine.

Ismaël : oui je sais mais comme tu fous rien à la maison, j'ai décidé de le faire aujourd'hui pour que tu commences vite les cours. Je t'ai déjà inscris dans l'une des meilleures universités là bas,tes cours n'attendent que toi.

Je le réponds pas et sors de ma chambre en courant pour rejoindre ma mère qui est assise dans le salon devant la télé.

- maman....maman....maman...

Elle se retourne et me voit qui vient vers elle en descendant des escaliers.

- qu'est-ce qui se passe?

Youssou: t'es au courant que c'est aujourd'hui mon voyage ?

- ton frère vient de me le dire. 

Youssou : maman s'il te plaît, remettons ça à la semaine prochaine, je dois faire une truc d'abord avant de partir. 

- quel truc ? 

Youssou: heu...je...mum je veux voir d'abord...

- Koulsoum ?

Youssou : oui elle....ça fait des jours que j'ai pas de ses nouvelles maman et la dernière fois que je suis partis dans son lycée la fille avec qui elle est toujours m'avait dit qu'elle ne venait pas à l'école, ça me fais peur. 

-viens mon bébé assis toi près de moi.

Je me couche sur le canapé et pose ma tête sur ses jambes. 

- Youssou tout ton esprit est focalisé sur cette fille mais tu oublies que tu dois préparer ton avenir comme elle le fait aussi. Je sais que tu l'aimes mais finis d'abord tes études et après vous pourrez faire ce que vous voulez ensemble, je ne suis pas contre votre relation mais je veux juste le meilleur pour vous deux, vous êtes tout les deux jeunes donc vous avez toute la vie devant vous en plus j'ai appris que son père est le nouveau iman du quartier donc je pense pas que ce dernier acceptera qu'un homme côtoie sa fille contrairement à moi qui n'y trouve aucun inconvénient parce que je sais que t'es pas quelqu'un de mauvais qui pourra faire du mal à Oumou. Oublie la pour le moment et concentre toi sur tes études. 

Youssou : et si on se revoit plus jamais alors que moi je continuerais à l'aimer qu'est ce que je vais faire ??

-mon fils n'oublie pas que les âmes qui sont faites l'un pour l'autre finissent toujours par se retrouver. 

Je soupire. 

Youssou : t'as raison mais maman je veux qu'en mon absence tu la protèges parceque  j'ai un très mauvais pressentiment, j'ai vraiment peur et en plus je fais des cauchemars bizarres où je vois Koulsoum au beau milieu de la foule et puis les gens se moquent d'elle comme si elle avait fait quelque chose de mal, je sais pas trop. 

- ne t'inquiète pas rien ne va l'arriver,crois en Dieu et prie beaucoup d'accord ?

Youssou : oui merci pour les conseils. 

- je suis ta mère maintenant lève toi et commence à te préparer, je vais faire tes valises. 

Youssou : non c'est bon repose toi je vais le faire moi même. 

Je me lève et retourne dans ma chambre où je vois mon frère qui range mes habits dans une valise...Ils pensent que je suis un bébé....

****

Oumou...

J'ai fais plusieurs jours à la maison sans partir à l'école à cause des maux de tête horrible que j'avais mais grâce aux médicaments traditionnels avec lesquels je me lavais et buvais, je me sens très bien Alhamdoulila...j'espère que ces choses(djinns)vont faire des siècles sans venir me dérange encore. 

Je suis dans la chambre de Hamza et je fais quelques recherches avec son ordinateur sur les leçons que j'ai raté en classe...J'ai plus de téléphone voilà pourquoi je le fais avec l'ordinateur de mon frère....Hamza m'aidait même et m'expliquait des petites parties mais vu qu'il fait tard il s'est endormi mais moi j'ai pas sommeille, il faut que je me mette à jour, c'est bientôt l'examen donc faut que je sois prête.

Je tape quelque chose puis commence à lire mais...

Hamza : t'es toujours là toi?

Oumou : ouai. Tu dors pas?

Il se lève et éteint l'ordinateur puis ferme mon cahier avant de me soulever pour ensuite m'emmener dans la chambre des filles. 

Oumou : mais dépose moi j'ai pas finis. 

 

Hamza : il est 3h du matin, demain t'as cours à 7h et tu dors toujours pas,tu comptes de réveiller quand ?

Je roule les yeux et ils me déposent enfin. 

Hamza : bon matin parceque la journée commence déjà. 

Il ferme la porte,je me couche puis je m'endors. Je savais pas que j'avais sommeil hein...Je suis vraiment chanceuse d'avoir un frère comme Hamza...

A travers la fenêtre je voyais que le soleil se levait donc quand j'ai regardé l'heur dans le téléphone de Mouna,j'ai sauté...06h34 et la rentrée c'est à 7h00.

Je suis vité entrer dans la douche pour me laver et faire l'ablution en même temps. 

Je me suis habillée vite fait avant de réveiller Mouna mais elle rentre à 8h.

Cette dernière m'évite ces temps ci et ne me parle que rarement mais je sais que sa mère et sa sœur y sont pour quelque chose sinon elle ne ferra jamais ça. 

Je prends mon sac et sors vite de la maison sans oublié d'aller salué ma mère qui est dans la cuisine, elle prépare la bouillie du matin que tout le monde boit avant de sortir. 

J'ai fais comprendre à ma mère que Youssou n'est qu'un ami mais je lui ai pas dit c'est mon ex...

Arriver dehors, comme tout les matins je vois Safia sur sa moto les deux mains sur sa hanche et elle me regarde énerver.

 

Oumou : bonjour. 

Safia : s'il te plaît cherche vite un nouveau téléphone parceque je supporte plus de faire presque une heure à t'attendre dehors sans nouvelles. 

Oumou : tu pouvais entrer à l'intérieur. 

Safia: quoi? Astarfiroula, t'as oublié que la première fois que je suis venue chez toi ton père m'a chasser disant que j'ai une mauvaise influence sur toi alors qu'il me connais même pas.

Eeh oui,mon père à chassé Safia un jour,du coup quand elle veut me voir elle reste dehors et mon père ne sait pas que c'est avec elle que je pars à l'école.

Nous sommes arrivées au lycée plusieurs minutes après mais le prof était déjà en classe et dispensait ses cours,ce qui veut dire que nous sommes en retard mais j'ai pas vue le surveillant devant la porte du lycée. 

Le prof : c'est maintenant que vous venez ?

Safiatou : pardon monsieur,on va plus le refaire s'il vous plaît. 

Le prof : d'accord mais je veux que ça soit la dernière fois. 

Safiatou : oui merci.

Moi quand même je disais rien puisque tout le monde me regarde comme si je suis une extraterrestre. 

Le prof : mademoiselle Traoré pourquoi vous étiez absente pendant toute mes cours de la semaine dernière ?

Je pensais que la direction allait mettre les profs à courant de la cause de mon absence. 

Oumou : j'étais malade. 

Le prof : hum ok, ça va mieux maintenant ?

Oumou : oui merci de demandé !

Il continue ses cours et après la récré c'était le prof de Chimie et jusqu'au soir.

Le nuit  comme dans mes habitudes j'étais dans la chambre et je révisais tranquillement, Mouna aussi le fait mais elle ne fait même pas semblant de me regarder un peu et ça me fait mal j'avoue. 

Je me reconcentre sur mon cahier mais peu de temps après j'entends des cries provenant de dehors et...

Mouna :  J'EN AI MARRE DE CETTE MAISON. 

Elle jette son cahier et entre dans la douche. Je sors pour aller voir ce que s'est et je vois que ma mère se dispute avec la mère de Mouna soutenue par sa fille et sa belle fille, papa essaie de calmer la situation mais rien ne va. 

J'ai envie de m'éloigné un peu de tout ça donc moi qui ne sors que rarement la journée me voilà qui sors la nuit et sans prévenir quelqu'un en plus mais ça m'importe peu, je veux être seule. 

Je commence à marcher sans réellement savoir là où je pars. 

Quant est ce que tout cela va finir Seigneur ? Aucune idée mais j'en peux plus de tout ça.

Je veux le calme dans ma famille !

Je repense à Youssou et bizarrement je commence à regretter d'avoir rompus, je l'aime oui et il m'aime mais j'ai juste peur et peut être il à déjà voyager et je crois que c'est mieux ainsi. 

Je marche encore et encore mais tout d'un coup je m'arrête subitement et regarde autour de moi mais  je vois personne à part un chien dans un coin puis un chat sur un mur mais dès qu'il me voit il s'enfuit ...C'est en ce moment que je commence à paniquer, je sais même pas là où je suis. 

Après j'entends des voix qui s'approchent de moi et quand j'ai sus que c'est des voix d'hommes j'ai commencé à courir.

-eeeeh arrête toi,tu pars où ! Disait l'un d'eux

 

Et là j'ai commencé à courir encore plus vite,je savais pas que je courais vite comme ça vu que je suis toujours derrière les autres aux cours d'EPS même si je suis pas grosse. 

Ils couraient plus vite que moi dans le but de m'attraper et ils ont fini par le faire. 

Ils sont trois hommes mais je vois pas leur visage parcequ'ils sont tous masqués. 

Mon cœur bat le tambour dans ma poitrine, pourvu qu'ils me font rien de mal,Allah protége moi s'il te plaît. 

L'un me tenait fermement pour que je m'échappe pas mais les deux autres me regardent. Celui qui semblait être le chef de leur groupe....

 

- qu'est-ce que tu fous ici dis moi.

Oumou : pou…r l'amour de Dieu laissez moi partir...Snif...je ne reviendra plus jamais ici je vous jure sur..

- oui bien sûr on sait que tu ne reviendra plus ici c'est pour cela que chacun de nous trois va profiter de toi cette nuit. 

Celui qui me tenait...

 - en plus elle est fraîche...

Mon cœur cognait dans ma poitrine comme pas possible. 

Mon Dieu je ne t'ai jamais demandé quelque chose de sérieux de toute ma vie mais aujourd'hui je  viens vers toi pour que tu m'aides s'il te plaît, Seigneur aide moi.

Oumou: A L'AIIIIIIDE !!!!

Celui qui ne parlait toujours pas me mit un mouchoir sur le nez puis je tomba dans les vapes .

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