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PARTIE 4

LE DERNIER CONTRAT 

Auteure:O.k 

#Leshistoiresdunemalienne 

PARTIE 4 

            ~Samuel Keïta~

Avec l'aide des filles nous avons fait du bon boulot même si cela nous a pris beaucoup de temps. En effet l'idée de recevoir d'autres villageois n'était pas prévue dans notre programme. Tout le monde se battait pour pouvoir ramener quelque chose à la maison. Heureusement que Leïla nous a proposé une idée de génie. Physiquement les trois se ressemblent beaucoup avec des caractères différents. Brefff c'était cette fois à la dernière personne de recevoir ses vivres. C'était un très vieux homme qui n'arrêtait pas de fixer les filles. Nous étions tellement étonnés qu'on lui a tout gentiment demandé .

Moi:Vieux père un problème avec mes amies lui demandé je?

Il reporta enfin son regard sur moi...

-Tu dois dire la vérité à cette jeune fille me dit il. 

Cette fois c'est moi qui suis étonnée, les filles me fixaient d'un œil qui ne présageait rien de bon...

Moi:Je....je...mais qu'est-ce que..vous racontez...je n'ai rien à cacher à personne dis je ...

-Oh que si jeune homme, dites lui avant qu'elle ne l'apprenne de quelqu'un d'autre.... 

Moi :Je ne sais pas de quoi vous parlez monsieur mais tenez voici votre part dis je en lui tendant des sacs remplis de vivres. 

Leïla :Sam tu trompe Zeïna ?Tu sors avec une autres?

Moi:C'est pas ce que vous croyez les filles je vous jure que Zeïna est la femme de ma vie croyez moi, cet homme ne sait pas de quoi il parle. 

Faty:Tu as intérêt Samuel, Zeïna est notre sœur et crois moi je serai capable de tout pour ne pas la voir souffrir. 

-Et vous jeunes dame rétorqua le vieux homme. Les histoires d'une malienne

Elles :OUI BABA .Elles répondent tous au même moment. 

-Quand la nuit tombera le soleil va apparaître et tout sera éclairé dit il de nouveau. 

Habibatou:Qu'est-ce que vous voulez dire baba demande cette dernière. 

-Sachez qu'un coq a lui seul peut être à l'origine de plusieurs  grossesses. Dit il cette fois en partant 

Moi:Qu'est-ce qu'il veut dire à travers ces paroles leur demandé je. 

Leïla :Nous en savons rien mais toi Samuel tu as intérêt à ne pas nous mentir dit il. 

-RENTREZ VITE AU VILLAGE, VOTRE AMIE EST EN DANGER ET JE VOUS CONSEILLE AUSSI DE QUITTER CETTE COMMUNAUTÉ DÈS CE SOIR TERMINE LE VIEUX AVANT DE DISPARAÎTRE COMPLÈTEMENT. 

Faty:MON DIEU EN DANGER S'ÉCRIA-T-ELLE. 

Habibatou:Ne perdons pas de temps a-t-elle dit avant que nous ne nous engouffre dans la voiture. 

J'espère  que Zeïna ne m'en voudra pas un jour pour cette vérité. Je n'avais pas d'autre choix que d'accepter.Tout était prémédité. 

                ~Zeïna Touré ~

On était toujours dans cette position embarrassante l'homme au regard terrifiant et moi. Ma petite taille ne faisait rien face à son apparence. Son corps my god trop musclé pour être vrai, sûrement un de ses villageois qui passe la journée au champs à labourer la terre. Son regard ne présageait rien de bon à croire qu'il fume de la marijuana. 

Ressaisi toi et arrête de le fixer ainsi, il va croire que tu l'admire me souffle ma conscience.... 

Sauf que c'est impossible je sentais toujours cette chose dure contre moi ,il devenait encore plus dure. Qu'est-ce que cette vieille sorcière attend pour ouvrir cette foutue porte. J'en pouvais plus de cette situation. La tension pesante n'y rangeait rien. 

La porte s'ouvre cette fois avec force, par peur je me laisse tomber dans ses bras et ferme les yeux....

-OÙ EST PASSÉ CETTE FILLE CRIT MÂA ADJA LA SORCIÈRE. 

-TU AS BIEN DIT QU'ELLE ÉTAIT À L'INTÉRIEUR CRIE LA VOIX D'UN HOMME. 

La peur que je ressentais en ce moment était inexplicable, je n'avais pas imaginé ma fin ainsi, non jamais. Je tremblais sous ce bois qui nous servait de lit. Alerté par les battements rapides de mon cœur, l'homme au regard démoniaque m'enveloppe de ses gros bras, à cet instant je me sentais en sécurité, je me sentais bien ,beaucoup mieux. Bizarrement la peur que je ressentais avait disparu pour laisser place à quelque chose......

-RETROUVE LÀ SINON C'EST TOI QU'ON MANGERA CE SOIR CRIT UNE AUTRE VOIX . LE FEU EST DÉJÀ ALLUMÉ PAS MOYEN DE L'ÉTEINDRE PRÉPARE TOI.

-Non....non....vous ne pouvez... pas me faire une chose pareille...bégayait la vieille dame.

La pauvre elle ne méritait pas un tel sort mais c'était elle ou moi. Je les entendais toujours sans émettre le moindre son.Les histoires d'une malienne

-TU SAVAIS BIEN QU'ELLE ÉTAIT L' INVITÉS DU CHEF MAIS TU AS FAIT LA TÊTE DURE, KO NOUS POUVONS FAIRE D'ELLE NOTRE DÎNER,NE COMPTE PAS SUR MOI POUR TE PROTÉGER CE SOIR RAJOUTA UNE VIEILLE DAME à travers sa voix. 

- AMENONS LA AVANT QUE LES AUTRES N'ARRIVENT, JE NE VEUX PAS AVOIR DE PROBLÈME AVEC LE CHEF DU VILLAGE CE SOIR...

-Non ...laissé moi ...je...je...ne..veux pas être manger criait mâa Adja..

Et là , un grand bruit venait de résonné dans la cabane laissant place  à un silence total..

-APPORTEZ LA MAINTENANT, NOUS ALLONS NOUS RÉGALER CE SOIR termine encore cette même voix. 

Je venais de comprendre que Mâa Adja avait reçu un coup qui l'a fait endormi. Oufff quel soulagement me suis je dit. Où était toujours passé ces quatre, ils tardaient vraiment à venir..... 

On entend de nouveau la porte claquée et c'était la voix de ....seigneur c'était Samuel et les filles. 

Sam:ZEÏNA MON AMOUR S'ÉCRIA-T-IL. 

D'une force surhumaine l'homme aux yeux rougeâtre soulève le lit et me voilà sur lui devant tout le monde. Je m'empresse de me lever et lui aussi après. Sam et les filles étaient vraiment étonnés de me voir ainsi, je m'en foutais. Tout les deux face a face, on se dévie du regard et là.........

SPLASHHHHHHHHHHHHHHH 

Je l'asperge une gifle digne de ce nom ....

Moi:Snif que faisiez vous dans ma chambre dis je en pleure, Mon amour il voulait me violer tu imagine, il a essayé d'abuser de moi dis je me jetant dans les bras de mon homme. 

Sam:COMMENT OSEZ VOUS SALE VILLAGEOIS CRIT CE DERNIER.

Moi:Snif j'ai eu tellement peur bébé, vous êtes venue à temps sinon dieu seul sait ce que j'aurais eu. 

Cet homme était sûrement là pour se vider en moi ,et pour ne pas se faire prendre il a été obligé de me sauver où du moins ce que je crois. Si mon homme n'était pas venu à temps dieu seul sait ce que je serai devenu. Son regard devient encore plus dure et ses yeux s'assombrissent. Même Samuel a dû faire un pas en arrière. 

Leïla :Qu'est-ce qui te prend de le gifler ainsi s'écrie cette dernière en se rapprochant de cet homme 

Pardon ??????????????????????? 

Même habibatou qui était la plus calme de nous s'est joint à Leïla 

Non mais je rêve où elles défendent cet inconnu... 

Habibatou: Monsieur désolé, elle est sous le choc, pardonnez la dit elle en caressant le bras de ce dernier.  

-Ne vous inquiétez pas, c'est compréhensible dit il en essayant de ce retenir. 

Leïla :Vous êtes de ce village ? Elle demande en fixant cet homme comme si elle le connaissait déjà. 

-Ne restez pas ici c'est dangereux dit il cette fois en voulant partir. 

Qu'est-ce qui ne vas pas avec ces filles, Leïla et Habibatou tenait toujours ses bras. 

Faty:Attendez monsieur vous viviez ici redemande encore Faty. 

Je rêve où elles ont flanché ces trois ?

-Non je ne suis pas de ce village jeunes filles ,juste un touriste dit il simplement en me fixant droit dans les yeux. Les histoires d'une malienne

Leïla :Waouh je me doutais bien ,vous venez de la capitale j'imagine 

Sam:VOUS N'AVEZ PAS D'AUTRE QUESTION À PART CES CHOSES INUTILE, IL A VOULU ABUSER DE MA FEMME BORDEL. 

Il a bien dit ma femme seigneur.... 

Leïla : Et si tu nous racontais du début à la fin Zeïna, tu as sûrement mal interprété ses intentions me lance t'elle 

Moi:PARDON LEÏLA, JE RÊVE OÙ TU INSINUES QUE MOI ZEÏNA JE MENTS?

-ASSEZ BORDEL S'ÉCRIA MON SUPPOSÉ VIOLEUR. 

On sursaute toute à l'entente de sa voix grave. Il ôte son manteau et me le tends 

-Couvre toi dit il .

Moi:J'en ai pas besoin dis je .

Faty:Donnez moi monsieur, elle va le mettre tout de suite n'est-ce pas Zeïna. 

Pffffffffffffff je n'avais pas d'autres choix de toute les façons. 

-Veillez m'excusez dit il cette fois en sortant complètement de la cabane. 

Leïla :Tu n'aurais pas dû me dit elle avant de sortir elle aussi. 

Faty: Je parie que tu ne nous dit pas toute la vérité rétorqua-t- elle avant de disparaître à son tour. 

Habibatou :Ce n'était pas la peine Zeïna, tu as une fois de plus mal interprété ces intentions termine-t-elle en partant. 

Cette fois j'éclate en sanglots, j'étais à deux doigts de me faire manger et violée mais c'est moi la fautive . N'ai je pas le droit de me défendre. 

Moi:Snif c'est moi la victime Sam ,pourquoi elles défendent cet inconnu, pourquoi ?C'est moi leur sœur. 

Sam:Ne t'inquiète pas moi je te soutiens mon amour calme toi. C'est du passé me dit il. 

Moi:Je suis fatiguée et j'ai sommeil dis je me détachant de lui.

Sam:Repose toi ,nous allons rentrer demain dit il .

Moi:Cet imbécile a gâché ma soirée dis je .

Sam:Shuttttttttt c'est fini, repose toi.

                  ~Ismaël Koné ~ 

Moi:BORDEL, CETTE CHIENNE N'A PAS OSÉ CRIE JE RAGE. ME GIFLER DEVANT SON GAY DE PETIT AMI.ELLE M'A TRAITÉ DE VIOLEUR CETTE PUTE ALORS QUE JE L'AI SAUVÉE MOI ,

Je déverse toute ma colère sur cette foutue porte, de toute ma misérable personne n'a osé levé ne serait-ce qu'un petit doigt sur moi. Où était ce putain de petit ami quand elle a failli se faire bouffer toute cuite? Je crie de rage rien qu'à pensant à la façon dont elle m'a traité :UN VIOLEUR, UN MISÉRABLE VIOLEUR, UN VILLAGEOIS MOI UN VILLAGEOIS EN PLUS D'ÊTRE UN VIOLEUR.  

Moi:JE VAIS LA TUER CETTE PUTE ,JE VAIS LA TUER D'AVOIR ME MANQUER DE RESPECT CRIE JE POUR ME DÉBARRASSER DE CETTE ENVIE DE MEURTRE. 

-Excusez là, Zeïna est très fragile et ne savait pas quoi dire .

Encore ces trois ?Qu'est-ce qu'elles me veulent. 

Moi:RENTREZ CHEZ VOUS C'EST DANGEREUX DE RESTER DEHORS À CETTE HEURE LEUR DIS JE. 

-Non on veut savoir ce qui s'est réellement passé dit une des filles. 

Je ne leur connaissai pas de nom ,ces trois visages me rappelaient quelqu'un. 

Moi:Demandez a votre amie, je dois me reposer leur dis je afin qu'elles me laissent seul. 

-Moi c'est Leïla m'avoue une fille 

Elles avaient presque les mêmes tailles et se ressemblaient. Leïla à travers sa voix était la plus bavarde elle a été la première à me défendre. Bizarrement elle avait les mêmes traits que celle de ma sœur Oumou lol j'exagère sûrement. 

-Et moi c'est Habibatou dit elle d'une voix qui se faisait douce. À vue d'oeil elle est différente des autres timides et calme comme moi avant la mort de mon père. Elle sera beaucoup blessé car dans ce monde les faibles sont toujours déraciné. Les histoires d'une malienne

-Et enfin c'est Faty je suis la plus grande même si n'avons qu'une semaine d'égards. 

On se connaissait ?me suis je demandé intérieurement. Ces filles étaient trop collantes à mon goût. J'ouvre la porte de ma cabane et y pénètre sans répondre à aucune de leur phrase, fût ma surprise quand Faty me bloque la porte m'empêchant de fermer. 

Moi:JE PEUX VOUS TUER TOUT LES TROIS VOUS LE SAVEZ ?Leur demandé je .

Faty:Oui on le sait mais tu n'oserais pas on le sait aussi. 

Moi:Vous avez quel âge ?

Leïla :Nous avons chacune dix-huit ans dit cette dernière. 

Moi: Que puis je pour vous, leur demandé je. 

Moi qui a toujours détesté discuter avec ces choses, voilà que je me surprends à leur posé des questions. Elles se fixent tout les trois avant de dire ceci au même moment. 

Elles:Nous voudrions voir les photos que vous avez prises durant tout le tourisme.

Tourisme ?Photo ?De quoi parlaient-elles. 

Moi:Ahhh je vois mais désolé mon appareil est à court de batterie. Mais entré j'ai des rafraîchissements pour vous dis je afin de détendre l'atmosphère. 

Sans se faire prier elles entrent à pas précipité à croire qu'elles n'attendent que ça. Je leur offre mes propres boissons. 

Faty:Waouh mais c'est délicieux dit elle. 

Moi:Hummmmm fais je simple. 

Leïla :C'est fabriqué au Mali par la société Koné ajouta cette dernière, l'usine ne fonctionnait plus à la dernière nouvelle alors le propriétaire a décidé de fermer. Je crois qu'il a de nouveau réouverte vu la date sur l'étiquette. 

Moi:Effectivement dis je. 

Elles continuent toujours à discuter entre elles et me posaient des questions que j'étais obligé de répondre. Cependant elles savaient juste que j'étais chef d'une entreprise et que je vivais avec ma mère et ma sœur. J'ai appris qu'elles sont de mère différente mais avaient les mêmes âges et sont les meilleurs amies du monde. Deux heures plus tard on était toujours dans la même position sauf que ces trois filles se sont précipités dans mon lit. 

Pour qui me prenaient elles me suis je redemandé encore ?

Elles dormaient tout les trois à point fermé chez moi dans ma cabane. C'était impossible je déteste ces choses et elles sont toute les mêmes, toujours là à profiter des hommes. 

Moi:Eh...oh...réveillez vous dis je avant de les secoué. 

C'était peine perdu, elles étaient déjà loin dans leur rêve. Mon portable venait de me signaler un message. C'était un appel manqué d'Abdoul. Il faut dire que le réseau n'était vraiment pas top au village. 

[......]

Moi:Oui bro ,désolé tu sais le problème de réseau dans le village dis je à interlocuteur. 

J'ai dû sortir pour avoir le signal. 

Abdoul :J'imagine, tu l'as retrouvé me demande-t-il. 

Moi en poussant un soupir: En effet, mais bon et ma famille comment se porte ma mère et Oumou. 

Abdoul :Je suis à l'hôpital avec ta mère et ça va Allhamoud lillahi ,mais ta sœur me paraît un peu bizarre dit il...

Moi:Bizarre ?Les histoires d'une malienne

Abdoul :Elle a complètement changé Ismaël tu devrais passer plus de temps avec elle. Elle n'est plus la même ,ce soir j'étais à deux doigts de la gifler je te jure mais bon on en reparlera quand tu sera de retour. Il est tard tu devrais couper me dit il 

Moi:Merci Abdoul et je m'en chargerai ne t'inquiète pas, bonne nuit dis je en raccrochant....... 

Effectivement il était deux heures du matin, je penserai à la situation de ma sœur demain en attendant je dois me reposer....... Je me dirige vers ma chambre et cette fois je vois qui devant moi :cette fille au longue cheveux....

-OÙ SONT MES AMIES ME DEMANDE-T-ELLE. 

Moi:Alors vous n'avez plus peur de ce supposé sale violeur dis je en m'approchant d'elle. 

-Si jamais tu ose faire du mal à mes amies croit moi tu.....

Moi:Hum voilà ce qui est mieux, je quoi dis je en fixant cette robe fine qu'elle portait. Et BIM les images nues d'elle font de nouveau surface me faisant sentir des sensations bizarres. 

Bordel c'est pas vrai crie je intérieurement. 

-Je vous le redemande encore où sont mes amies bégayait elle. 

Moi:Dans ma cabane tu sais elles apprécient beaucoup ma compagnie contrairement à ceux de votre mari. 

-Cela ne vous regarde pas dit elle en essayant de partir. Je fais d'elle ma prisonnière...

Moi:Vous m'avez gifler en plus d'avoir menti sur moi ,croyez moi vous allez le regretter  dis je la fixant avec un regard sombre. 

Comme je le voulais elle tremble de ouff et bien que la partie commence. 

-Je....je...n'ai..pas..peur..de vous, sale vio......

Moi:Si j'étais vous je garderai le reste de cette phrase pour moi dis je en parcourant son visage de mes yeux. 

-Sinon ?

Moi:Et bien sachez que je n'hésiterai pas à vous déshabiller là et tout de suite dis je cette fois en caressant sa joue gauche. Petit à petit ma main descend sur son cou que je caresse aussi. 

Moi:Ce corps il est à moi je vous le promets surtout ne l'oubliez jamais. Ce gifle je vous le rendrai par quelques de plus humm je continue lui chuchoté je à l'oreille ,vous sentez tellement bon dis je en faisant mine de humer son parfum. Maintenant allez y dormir avant que je ne perds le contrôle lui conseillé je. 

-ESPÈCE DE PERVERS DIT ELLE EN COURANT VERS SA CHAMBRE COMME UNE FOLLE. 

Ce n'est que le début petite gamine. 

À suivre..............

Auteure :Oumou Koné

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