Isabelle a été gâtée depuis son enfance, elle disait ce qu’elle voulait et personne ne l’avait jamais réprimandée.Mais maintenant, Léa l’a traitée de personne bavarde.Même si Léa n’avait pas mentionné son prénom, ces paroles ont frappé Isabelle comme des gifles, et elle a foncé, furieuse, en criant violemment.« Léa, ça suffit ! Tu dis tant de choses ouvertement ou en sous-entendu, n’est-ce pas pour dire que ma mère a maltraité Alex depuis son enfance ? Mais qui a dit qu’une belle-mère doit être gentille avec l’enfant d’autrui ? Ma mère déteste Alex, elle veut lui faire du mal, et alors, est-ce un tort ? »Léa a dit : « Elle n’a bien sûr aucun tort. Elle choisit elle-même à qui elle veut être gentille, et je respecte totalement ce choix. »Non seulement elle respectait son choix, mais Léa était aussi heureuse que Catherine ait eu Isabelle, une fille gâtée, colérique et bavarde.Sans Isabelle, Léa n’aurait pas pu obtenir si facilement la preuve de la fausse bonté de Catherine.
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