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Chapitre 12

J'étais dans un sommeil profond quand subitement je me suis réveillé en sursaut. Je m'étais rendu compte de l'erreur que j'avais fais. L'erreur semblait être le fait d'avoir aimer Mariam. Car si ce n'était pas le cas je l'aurai pas désiré de la sorte. Et je n'aurai pas couché avec elle. Donc on m'interdisais aussi d'aimer et d'être aimer.

Je me suis levé du lit et j'ai d'abord regardé près de moi. Je ne l'a voyait pas, elle était pas là. Automatiquement mon coeur se mit à battre la chamade. J'avais compris que les choses n'étaient pas telles que j'aurai peut-être voulus. Je n'en revenais pas mes yeux , mon coeur se mit encore à se crisper et à se remplir d'une sorte d'amertume. Je m'en voulais de l'avoir entraîné dans ces choses pas nettes que j'avais fais avec le Diable.

Mais j'eus envie de comprendre encore plus là je me lève du lit et je prends la direction du salon, elle n'était toujours pas là. Sans rien comprendre mon intrigue se mit à augmenter encore et encore. Donc était-elle morte ?? Avait-elle été victime de mon pacte et de mon alliance ? Voilà un peu le genre de questions qui circulaient dans ma tête. Il me restais quand-même deux autres pièces à vérifier la cuisine et le balcon. D'abord je me suis dirigé dans la cuisine il n'avait toujours personne elle était encore absente. Mais j'avais espoir de la voir dans le balcon je ne sais pas pourquoi mais j'ai courus vers ce lieu mais une fois là bas c'était pareil. Ma peur s'est aussitôt intensifié. Je me suis dis que c'était fini et que je l'avait perdue pour de bon. Je ne pourrai peut-être plus la revoir ainsi que ce fabuleux sourire dont elle seule était la reine.

Et lorsque je me suis arrêté à son balcon, j'ai vue une sorte de foule qui s'était mit à un endroit de la route. Les gens ont commencé à crier un peu comme pour montrer qu'une tragédie s'était produite. Les enfants ainsi que les femmes criaient et s'affolaient de partout. Immédiatement j'ai eu l'envie d'aller vérifier de quoi il s'agissait un comme si une partie de moi me disais que c'était Mariam.

Alors à grande vitesse j'entamai une course folle sur les escaliers uniquement pour aller rendre clair ce doute qui me tortutais l'esprit. J'étais tellement pressé qu'à un moment je commis l'erreur de te cogner l'un des escaliers avec mon pieds automatiquement je me suis retrouvé parterre à glisser sur les escaliers comme si j'allais même en mourir. Même si j'avais mal c'était le dernier de mes soucis alors je me suis levé au même moment que je suis tombé.

Je continue de courir jusqu'à ce que je sois à l'extérieur. Une fois en bas je voyais la foule de loin et je me mis à marcher vers leur direction et cela le plus rapidement possible. Les gens me regardais d'un air étrange comme s'ils se demandaient ce que je faisais là dans leur quartier. D'autres même ne tardaient pas à laisser des phrases du genre : «mais c'est le milliardaire Junior l'un des plus riches d'Afrique. » d'autre aussi disaient «mais que fait-il dans notre quartier ? ». Moi je n'écoutais même pas un mot de ce qu'ils disaient je voulais seulement avoir l'esprit net et clair. Ils s'écartaient de mon chemin juste pour me laisser passer avec toujours leur air d'étonnement.

Moi j'étais trop soucieux pour calculer quoique ce soit. Une phrase venant d'une vielle femme qui était près du goudron était suffisante pour me mettre la boule au ventre. Elle avait crié fort «elle est tombé du balcon». Immédiatement une larme s'échappa de mes yeux pour couler sur mes joues. Une autre interlocutrice lui posa encore une question.

______elle est morte??

et là elle répondu encore plus triste.

_______ Franchement je ne sais pas mais elle ne bouge pas depuis sa chute.

________Mais qui a appelé les secours les secours

________c'est déjà fait ils viendront tout de suite j'ai vraiment peur pour cette fille.

Cela était suffisant pour que je me résigne au fait qu'elle était finalement morte. Et cela à cause de moi mes larmes coulaient encore plus vite qu'avant. Ma peine qui d'autant plus remplissait mon visage n'était pas la seule chose qui semblait préoccuper cette foule qui me regardais. Selon moi ils étaient juste étonné de me voir moi pleurer. Comme si j'étais pas humain. Ou encore j'avais pas le droit de le faire. Tout cela rien qu'à cause de mon statut social. Comme si être riche célèbre et tout autre synonyme de richesse ne nous donnais pas le droit de couler des larmes. Voilà un peu comment je justifiais la réaction des gens à ce moment.

Depuis le tout début c'est uniquement à ce moment que j'ai regretté ce pacte avec ce esprit qui n'était rien d'autre que Satan, peut-être Lucifer ou encore Le Diable. Peu importe , mais l'essentiel à retenir c'est que j'avais regretté sincèrement. Et je m'étais mis en cause pour la première fois depuis le tout début de cette prospérité économique qui était la mienne. J'étais plongé dans tout ce mélange d'émotion quand subitement les pompiers sont arrivé pourtant dans tout ça je n'avais pas vue le visage de la victime au fait. À ce moment précis lorsque les pompiers sont arrivé et lorsqu'ils ont voulus l'emmener j'ai entendu de leur bouche une conversion qui va me faire descendre sur terre. Du moins loins de ce siège d'émotion que j'avais forgé en quelques minutes.

-elle a eut quoi? Une voiture la cognée ?

Et là une femme prit la parole pour répondre. Dans tout ça il était quasiment impossible aux nouveaux venus comme moi de voir la victime en question.

- Non elle est tombée du balcon de l'immeuble d'où elle vit.

- OK a telle bougé ?

- Non

- Et sa mère ?

- Elle est sûrement au marché.

Je n'ai même pas voulus entendre plus à part cela je voulais maintenant voir. Et lorsqu'ils ont soulevé la victime. Au moment de l'a mettre dans l'ambulance j'ai tiré longuement tout en bousculant le plus possible. Même si les gens se plaignait moi je m'en foutais. Je voulais seulement illucider ce doute qui avait déjà commencé à me torturer l'esprit.

Immédiatement j'ai vue une fente entre le publique et automatiquement j'ai mis mon oeil pour voir au cœur de l'action. C'était une petite fille qui était couché sur le lit qui lui servait de transport. Et là j'émis un soufflement juste pour montrer mon soulagement. J'étais heureux que ça ne soit pas elle. À même temps je m'essuie les yeux pour me débarrasser des larmes qui avaient coulées.

Je devais pris la décision de d'abord la voir avant de me réjouir. Lorsque je voulu me retourner j'ai vue quelqu'un me sauter sur le dos et tout le monde me regardais étonné. Moi par contre je voulais savoir de qui il s'agissait. Et lorsque j'ai levé ma main j'ai touché la chose la plus que j'ai jamais touché de toute ma vie. C'était les cheveux de Mariam. Je pouvais les connaître même parmi tant d'autres.

Moi ( en criant) : Mariam

Elle : oui mon Prince je t'ai manqué ?

Moi: Bien-sûr que oui je pensais ne plus jamais te voir. Je pensais que tu étais parti.

Elle: lol partir de chez moi?? Tu es sûr que ça va !?

Moi: non ma belle. Ça va pas je suis fou. Fou de toi, de ton corps, de tes baisers.

J'eus même pas fini de parler qu'elle se mit à m'embrasser d'une douceur jamais vue. Tout le monde nous regardais et ça se voyait qu'ils étaient étonné. Je savais aussi que le lendemain les réseaux sociaux allaient être bourré par nos vidéos et photos. Mais malgré cela je ne me souciais même pas du lendemain ou encore du monde qui était autour de nous. Je vivais seulement le moment présent en savourant délicieusement cette fabuleuse lèvre qui n'était rien d'autre que celle de Mariam.

En plus j'étais étonné qu'elle ne sois pas morte lors de notre union. Pourtant précédemment c'était toujours ainsi mais pourquoi avec elle c'était différent. Alors je me suis rappelé d'une chose importante, mes précédentes victimes n'étaient sue des obsédés matérialistes qui n'aimaient que l'argent et qui n'éprouvaient rien comme sentiment pour moi. D'autant plus cela me rassurais car j'étais enfin décidé à vivre ce amour avec ma Mariam. Aussi cela était aussi la preuve de son inconditionnel amour pour moi.

Moi: je t'aime ma princesse.

Mariam: depuis trois heures maintenant tu me le dis je sais maintenant mon amour.

Moi: je te le dirai même à l'infini ma reine.

Mariam: donnes moi ta main.

Et là elle prit ma main et le posa sur sa poitrine gauche. Moi qui aimait la forme de ses seins me mit à les caresser.

Mariam : oh oh oh arrêtes avec ça monsieur. Je veux juste te montrer quelque chose.

Je me suis senti stupide d'un coup et cela m'a fais sourire.

Moi: montrer quoi? Dis moi.

Mariam: écoute! Qu'es-ce que tu entends?

Moi: les battements de ton coeur.

Mariam : voilà tu vois comment il bat? C'est ainsi depuis le premier jour que je t'ai vue. J'étais déjà désiré, aimé et tout ce qui peut être synonyme d'amour. Mon coeur il bat seulement et vivre allure rien que pour toi.

Moi : Oh c'est que tu m'aimes. Je suis l'homme le plus heureux actuellement. J'aime tout ce chez toi. Ta nature, ton parfum et tout ce qui te définis. Viens dans mes bras ma princesse.

J'étais heureux de la revoir et de vivre tout cela. Cette belle histoire, j'étais tombé amoureux par accident et me voilà que je pouvais vivre cet amour en question. Le concevoir et en faire ce qui me semblait être bon ou juste.

Moi (en glissant ma main sous sa jupe) : je n'ai qu'une envie te faire l'amour encore. Laisses moi remplir ton monde.

Mariam: arrêtes on doit aller au boulot. Il est presque l'heure.

Moi: on va pas au boulot aujourd'hui. C'est moi le patron. Donc profitons de cette belle journée ( l'embrassant dans le coup)

Mariam : mais ahhhhhh

Moi: pas de mais qui tienne laisses toi faire.

Voilà comment nous fîmes l'amour encore une fois jusqu'à l'épuisement. Par épuisement je me suis retrouvé plongé dans un sommeil profond. Conformément à tout ce que j'avais fais précédemment j'ai encore reçu la visite de mon cher Lucifer. Qu'allait il me dire au juste. Même si j'étais effrayé voilà la question que je me suis posé.

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