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Episode 5

LA MAUVAISE NOUVELLE

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Auteure :Kadidja chro.( Chroniques de Nadi kadidja)

       Épisode 5: frissons.

            

          ****Rachida*****

La petite tape de ma mère me faire revenir sur terre. Il est vachement beau je l'avoue même s'il a failli m'assassiné.

Doc: Comment tu te sens ?

Moi : j'ai un mal de tête horrible et aussi des vertiges.

Doc : C'est tout à fait normal. Vous serez vite remise.

Il sort me laissant avec le jeune homme qui n'avait j'usque là pas encore placé de mots ainsi que ma mère et Latifa.

Moi : Ma c'est qui ce jeune homme ?

....: Bonjour comment vous allez ?

Moi : je vais bien merci.  Je peux savoir qui vous êtes ?

....: Je m'appelle Hamed et je vous ai renverser....

Moi (le coupant): Assassin pourquoi vouloir me ôter la vie ? Qui as bien pu vous payer pour me tuer ? C'est Ma Halima sûrement. Combien elle vous as payer ?

Ma Biba : Calme toi. Qu'est ce que tu dis là ?

Moi : Maman ces  personne comme lui sont prêts a tous pour de l'argent. Ma Halima a sûrement dû lui remettre une misérable sommes pour qu'il en finisse avec moi. Mais je vous....

.....(craint): assez cessez de trop bavardé je ne vous supporte plus là. Vous étiez entrain de marché comme si la voie vous appartenait.  J'ai essayer d'éviter cet accident malgré mes efforts n'arrêtant pas de klaxonner. Vous êtes tellement maboule...

Moi : Idiot sortez de ma chambre tout de suite.

Ma Biba (intervenant): Sortez jeune homme svp elle est encore sous le choc.

Il sort et fait claquer la porte comme si sa vie en dépendait. Un idiot.

Moi : Ma la cérémonie à eu lieu ?

Ma Biba : Non ma chérie ton frère l'a reporter quand il a été mis au courant de ton accident. Tu aurais dû faire attention en traversant.. Nous avons vraiment eu peur.

Moi : Désolée Ma..

                    ***Hamed***

Moi : on s'en va. Suis moi.

Sidiki: Mais qu'est ce qu'il y a bro ?

J'arrive dans ma voiture et allume le moteur.  Sidik retire les clés aussi rapidement.

Moi : Qu'es ce tu fous ?

Sidik : Tu m'expliques ou on ne bouge pas d'ici a défaut que tu ne renverse une autre personne dans ton état.

Je garde le silence. Elle m'a vraiment taper sur le système là. Comment elle peut m'accuser d'avoir été payer pour l'assassiner ?

Je revenais avec Sidiki d'une sortie qu'on avait organisé entre amis quand  j'aperçois cette fille cette fille sortie de nulle part. Je ne pouvais pas m'arrêter d'un coup. Elle est resté muet malgré tout ces klaxon.

Sidik: Bro calme toi descends de cette voiture.  On ne peut pas l'a laisser ainsi. 

Je fixe le volent quelques minutes puis descends enfin de la voiture j'espère qu'elle saura mesuré ses mots.

...

Moi (m'asseyant): Comment tu vas ? Et je te préviens je suis venu en paix. Garde toi de me lancer des piques.

....: d'accord Alors on peux parler sérieusement ?

Moi : Oui.

....: Comment vous m'avez renverser ?

Je soupire puis me me mets a lui raconter du début à la fin.

Moi : Faîtes plus attention la prochaine fois. Et je vous signale que je n'ai reçu l'ordre de personnes pour vous ôter la vie. Je ne suis pas un Assassin. Je suis un musulman. Alors tu te nomme Rachida ?

Elle hoche la tête en guise de réponse positive.

Moi : D'accord je suis Hamed. Prend soins de toi. Je viendrai te voir souvent.

Elle me regarda mais ne me répond. On aurait dire qu'elle me craignait.

                 ***Rachida***

Quelques jours plus tard.....

Ma Biba : Tu es prête ?

Moi : Oui ma.

Des infirmières sont venus m'installer dans un fauteuil roulant. Je sors de l'hôpital aujourd'hui. Tout va bien sauf au niveau de mon pieds. Je ressens une douleur qui m'empêche de me déplacer pendant longtemps. Le docteur a dire que tout ira bien dans Une semaine ou encore dans quelques jours.  Hamed est aussi present. Il  venait toujours me vois en m'apportant  plusieurs choses mais je demandais à faire tous mettre à la poubelle je n'avais pas confiance en lui.  Il a même voulu nous déposer à la maison. Choses que j'ai catégoriquement refusé je n'ai toujours pas confiance en lui. Par contre il devient de plus en plus beau toujours stylée de la tête au pieds la beauté il avait dans le sang. C'était le genre d'homme que toutes jeune fille rêvait d'avoir. Il avait une carrure magnifique et des bras légèrement musclée.

Il était class, beau gosse et sexy. D'où il tient tout ça ?

Et moi Qu'est ce qui me prend de parler ainsi de mon Assassin ?

....

Nous arrivons à la maison. Avec mon père qui lui même a décidé de nous déposer à la maison. J'étais tellement heureuse car cela faisait un moment qu'on était pas de la sorte. La première qui arrive vers moi est Latifa.

Latifa : Bijou tu m'as manqué.

Moi : Tu m'as aussi manqué mais je suis là maintenant ne t'inquiètes pas.

Il était 16h. J'étais assises sous la véranda avec Latifa après la prière histoire de prendre un peu d'air . Nous parlions de tout et de rien quand tout d'un coup j'aperçois Hamed arrivé habillé en tout blanc tenant un sac dans la main j'en déduis qu'il vient du supermarché. Je le fixe. Plus il avance plus mon rythme cardiaque accélère. Je n'arrivais moi même pas a comprendre ce qui m'arrivait. Je me  reprend aussitôt qu'il se place devant nous. Son parfum n'en parlons pas.

Hamed : Bonsoir les filles.

Nous: Bonsoir.

Hamed (à moi): Comment tu te portes aujourd'hui ?

Moi (timidement): je me porte bien Al hamdouillah.

Hamed (se levant): Je t'ai apporter ça. Je ne peux malheureusement pas resté longtemps. J'ai une réunion. Mais je te promets venir te voir bientôt.

Je réponds par la tête. Puis il part. Sa présence me faisait quand même du bien.  Je le fixait s'en aller j'usqu'a ce que Latifa me donne une petite tape.

Latifa :Ici la terre. On dirait que tu as craquer pour ce jeune homme.

Moi : Comment tu peux dire ça alors qu'il a essayer de m'assassiné ?

Rachida : c'est ça. Alors tu perd tes moyens quand il est là. Tu n'arrive plus a placé de mots tu deviens tout à coup timide en sa présence.

Moi : Trêve de bavardages et range tout ça à l'intérieur.

Elle se  lève et part me laissant seule. Ce que j'ai crû jusqu'a ce que je vois ma Halima venir vers moi en regardant partout les pas précipiter.

Ma Halima (se mettant devant moi): Alors petite .

Moi :Stp laisse moi tranquille. Ton plan pour m'éliminer a échoué comme tu peux le constater.

Elle s'est encore plus rapproché  de moi je me demandais bien ce qu'elle était sur point de faire.

Elle arrive plus près de moi et renverse mon fauteuil puis prend la fuite comme une voleuse. Je me suis mise a crié a cause de la douleur que je ressentais. Ma Halima est une sorcière.

Mon cri à alerter ma mère ainsi que quelques membres de la maison qui sont vite venu m'aider.

Je détestais ma Halima.

                 ****Maï****

Le froid entre moi et Ismaël est toujours pesant. Je ne l'accorde pas de temps. J'ai même aménagé dans la chambre d'amis. Je m'enferme toujours dans cette chambre en laissant le bébé au salon lorsque j'entends le bruit du moteur. J'ai toujours su qu'il me trompais mais de là à le faire dans notre maison était de trop. C'est dure de savoir que l'homme pour qui nous sommes prêt à tous peut nous faire du mal sans avoir de remords.

Je dois l'apprendre une leçon cette fois je m'en irai et reviendrai seulement s'il apprend de ses erreurs. Je n'irai pas chez ma mère de toutes façon.

                    **** Ismaël***

Je finis ma douche et descend. J'ai tellement honte de ce que j'ai fais . J'avais pourtant décidé de reprendre à zéro avec elle. Tout est de la faute de cette Olivia. Si elle ne s'était pas présenté chez moi.

Olivia c'était ma petite amie mais j'ai rompu avec elle lorsque j'ai rencontré Maï.

J'arrive au salon et remarque la porte de sa chambre entre ouvert. Le déjeuner était déjà fait. Elle n'a jamais refusé de me fa à manger malgré la situation.

Maï ne me parle plus malgré mes tentatives qui sont restés vain. Cette situation me dépasse. Elle reste toujours enfermé. Lorsque j'essaye de lui parler elle trouve une excuse pour m'échapper.

Je mangeais avec appétit quand mon attention fut attirer par une feuille sur la table.

Je prends la feuille. Le contenu m'a glacer le sang.

« Je ne supporte pas cette trahison venant de toi. Je me suis donc en aller avec mon bébé et ne me cherche pas chez ma mère je ne suis pas chez elle. Tu avais promis ne plus me refaire de mal. Te vois embrassé cette fille m'a tellement fait mal cœur. »

Où est ce que Maï était ? J'ai cru devenir fou. Elle ne peut pas abandonner de la sorte.

           **** Rachida****

Deux mois sont passés. À la maison les querelles avaient cessez. Ma Halima et moi c'était le chat et la souris. J'AI essayer d'expliquer comment elle m'avait poussé de mon fauteuil mais cette fois personne ne le croyais.

J'arrive à remarcher maintenant. Le mari de Maï s'est présenté à la maison avec une délégation nous informer que Maï avait quitté la maison. Elle m'en a parlé au téléphone et m'a fait juré de rien dire. Mais elle m'a aussi promis de revenir.

Avec Hamed on s'entend bien. Nous sommes même devenu des amis proches. On passe souvent du temps ensemble. Il a même eu à me parler de ses parents.Il a 20 ans sa mère est morte lorsqu'elle lui donnait naissance et son père lui ne s'est plus remarier du coup il est l'héritier. J'AI eue à lui parler Un peu de ce qui arrivait à ma famille.

J'étais allongé sur le lit entrain d'écouter de la musique quand mon téléphone se met a sonné je consulte l'écran et vois le numéro d'hamed. Depuis quand il m'appele a cette heure ?

Moi : Allô.

Hamed : Descends stp je suis au portail.

Moi : Tu es fou il est 22h..

Hamed : Stp je dois te remettre un cadeau.

Je suis descendu habillé d'un pyjama. Je le retrouve adossée sur sa voiture. Il effectue un rictus au coin des lèvres lorsqu'il me vois.

Moi : Alors ?

Hamed : Je viens d'une soirée et je suis passé te voir parce que Tu me manque énormément.

Moi ( riant): Comme ça je t'ai manqué ?

Il ne répond pas mais me fixe entrain de sourire. Il s'approche et se met en face de moi.

Hamed : Tu es très belle.

Je rougis suite à sa phrase je n'arrivais plus à placé mot. J'étais hyper gêné .Il rapproche son visage du mien puis pose délicatement ses lèvres sur les miennes j'avais comme des papillons dans le ventre. Il m'embrasse un biaisé auquel je ne pouvais pas répondre. J'étais choqué , heureuse, surexcité, ses lèvres étaient douce et le baisé était magique.

À suivre...

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