Chapitre 3

Moi: oui mon frère parle moi. On a besoin d'idée actuellement.

Laurent : oui Junior a raison. Parle voyons.

Notre Théo restait tout de même silencieux. Il ne voulais pas ouvrir la bouche.

Moi: mais parle voyons.

Théo : voilà d'accord comme vous insistez je vais vous envoyer quelque part aujourd'hui. Au tombé de la nuit. On se donne rdv chez toi Junior.

Laurent : OK mais dis nous au moins à quoi tu penses. C'est quoi ton idée ??

Moi : oui Laurent a raison.

Théo : Avec vous c'est toujours comme ça. Je vous dis que je vous dirai après. Mais malgré tout ça vous vous obstinez. À vous de voir.  Je veux juste vous aider. Dans le cas où vous ne voulez pas c'est pas la peine.

Laurent : mais c'est quoi ça pourquoi tu t'énerves comme ça ?? On n'a pas dis qu'on ne va pas. On voulait juste savoir. Bref le rdv c'est à qu'elle heure ?

Théo : 23h

Après cela Laurent et moi avions tout les deux criés «quoi ????»

Moi : pourquoi aussi tard??

Théo : c'est ainsi alors je vous laisse à ce soir.

Aussitôt il a tourné le dos et est parti. Moi par contre j'étais très intrigué. Et cela était dû à deux choses. La première était l'heure à laquelle il voulait qu'on se voit. Ensuite le deuxième fait était de devoir te laisser seul à la maison. Mais après cela je me suis quand même dis que c'était pour ton bien. Car ton devait être une priorité. Même si j'étais méfiant je devais savoir quand même de quoi il parlait. Comme on le dit. «une occasion ratée est un péché».

En ce moment j'avais 21 ans et toi 1an et demi. Nous habitons à l'époque dans une petite maison à Abobo. En entendant l'heure de mon RDV je me suis occupé de toi et je quand tu t'es endormi. J'ai attendu qu'il soit 22h40 avant que je ne sorte pour les attendre devant ma porte. Avant cela. J'ai pris le soin de bien fermer la porte à clé.

Il était 22h50 quand j'ai vue une silhouette s'approcher de moi. J'avais un peu peur quand même et j'étais sur ma garde. Jusqu'à ce que je reconnaisse la c'était celle de Laurent. Et il est venu s'arrêter à côté de moi.

Moi : où est-il ??

Laurent : ehhh je sais pas oh. Je pensais qu'il serait déjà là.

Moi: oui oui comme il n'est pas encore 23h attendons.

Nous avons donc attendu ce fameux Théo. Et au bout de quelques minutes. Il est apparut avec un sachet en main. Le comble dans tout ça c'était le fait qu'il était arrivé exactement à 23h00. Mais bof un RDV  reste tel.

Laurent : on fait quoi maintenant ??

Théo : on emprunte un Taxi. On va à Yopougon.

Moi: OK mais. C'est quoi ce sachet il y'a quoi dedans ?

Théo : le moment venu tu sauras. Allons-y

Nous avons arrêté un Taxi et sommes montés. Abidjan c'est ainsi et le sait bien il y'a des Taxis à toutes les heures. Lorsque nous sommes montés dans le Taxi c'est Théo qui était chargé de d'indiquer le lieux de notre destination au chauffeur. Et après une heure de temps sous la demande de Théo il s'est arrêté en bordure de route. Moi encore une fois et comme toujours je me demandais pourquoi avions nous garé dans un tel endroit. En plus en bordure de route loin des habitations. «Il fait quoi ce type?»  je me demandais. Même le chauffeur était étonné.

Le chauffeur : quoi?? C'est ici votre destination?

Théo : oui oui tu peux nous laisser ici. Tiens ton argent.

Sans même broncher le chauffeur a prit son argent et a roulé à pleine vitesse. Ça ce voyait qu'il avait peur. Il était terrorisé. Nous par contre, c'est à dire Laurent et moi étions arrêté avec une de ces peurs au ventre.

J'avais envie de m'en fuir en courant mais je ne pouvais pas. C'était beaucoup trop risqué. Je me suis dis. Laurent et moi étions là sans toutefois demander ce qu'on faisait dan un endroit aussi étrange. Notre très cher Théo pris alors la parole. Ce qui nous fis descendre de nos nuages.

Théo: Voilà mes frères. Nous sommes arrivés. À partir d'aujourd'hui notre vie va changer. Nous serons ce que nous devons être. Les problèmes s'achèvent. Nous goûterons nous aussi à la richesse et à la gloire. Notre heure a sonné.

Moi: mais de quoi tu parles tu es devenus fou? Regarde où nous sommes. Et tu parles ainsi. Cet endroit est désert, moi je ne vois aucune usine où nous pourrions travailler pour nous enrichir.

Théo : quoi??? Travailler ?? Depuis que tu travail tu as gagné quoi?? Dis moi, celui que nous partons voir lui ne nous demandera pas de travailler.

Laurent : attends c'est quoi tout ça. Tu es devenu malade ou quoi ?? Comment quelqu'un peut-il nous rendre riche sans nous demander de travailler ??

Théo : voilà ça recommence, pensez-vous que je ne peux pas partir seul et bénéficier de tout ça?? Moi si je vous parle de cela c'est parce que vous êtes mes frères et que je veux pas être égoïste.

Moi : D'accord d'accord. On fait quoi maintenant ??

Théo : Suivez moi.

Alors nous l'avons suivi. Je ne sais pas pourquoi mais j'étais quand même curieux. C'était très bête de notre part de la suivre sans même chercher à savoir là où on allait. À plus forte raison savoir ce qu'on allait y faire.

Mais on allait bientôt le découvrir. On a marché un peu longtemps en bordure de route. Jusqu'à ce qu'à ce qu'on arrive devant un l'entrée de la forêt.

Laurent : Mais c'est la forêt du Banco?? Donc on va rentrer dans cette forêt à cette heure??

Théo : Oui. N'ayez pas peur je gère tout. Portez ces vêtements.

Il a fait sortir des tissus blanc avec des broderies rouges. C'était vraiment affreux. On aurait dit ce qu'on voit dans les films à caractères fétichistes. Moi j'étais mort de peur je me voyais pas rentrer dans cette forêt à cette heure de la nuit. J'étais un peu soucieux aussi car je ne pouvais pas aussi me retourner je ne connaissais pas le chemin du retour. Alors je voulais seulement attendre en voir le monsieur qui devait nous aider et après cela nous pourrons retrouver le chemin du retour ensemble.

Après avoir enfilé ces vêtements de monstres Théo nous a demandé de le suivre. Laurent et moi c'est ce qu'on a fait. En ce moment nous ne pouvions pas trop parler car lui seul connaissait le chemin du retour. En plus de cela cet endroit faisait déjà trop peur.

Dans l'obscurité nous avons commencé à marcher dans cet endroit aussi vaste qu'étrange. Je sais pas ce qui c'était mais c'était comme si quelque chose volait au dessus de nous. J'avais peur et mes jambes ont commencés à trembler comme si elles allaient se briser. J'étais anéanti et mon coeur battait tellement fort qu'on aurait pus l'entendre de l'extérieur.

Dans le noir je touchait les arbres et je marchais sur les buissons. Les morceaux de bois se clacaient sous mes pieds. Et à chaque fois cela me faisait de plus en plus flipper. L'air que je respirais semblait être envahit par une odeur étrangère, un sentiment nouveau.

Moi : attends Théo c'est quoi ça ??. Depuis là.

Théo : nous sommes presque arrivé. N'ayez pas peur il ne va rien vous arriver.

Laurent : comment toi tu sais ça ??

Théo : Je le sais c'est tout. La ténue que vous avez porté là vous protège déjà des esprits de la forêt.

Laurent : Mais quels esprits ?? De quoi tu parles même mon frère ?

Sans rien dire il a repris son chemin et on allait seulement. C'est ainsi que nous avons marché jusqu'à une cabane étrange. Elle était très petite avec une petite lumière que procurait une seule bougie. Par peur on sait arrêté devant l'entrée. Et Théo quant à lui à commencé à raconter des choses bizarre.

Théo : Oh Dumbaka le médiateur du monde invisible et visible. C'est toi qu'on appel. C'est toi le maître des maîtres. Celui qui donne à tout le monde ce qui lui dû. C'est toi le généreux. C'est l'esprit vivante, j'ai besoin de ton aide. J'implore ta compation pour un simple mortel que je suis.

Il a fait sortir une bougie qu'il a allumé. Puis il du fond de son sachet mon ami a fait sortir la chose la plus étrange que j'ai jamais vue de ma vie. D'abord c'était une chose dont j'arrivais pas à identifier la forme. Cela était emballé dans un drap blanc. Il l'a fait sortir et l'a posé près de la bougie.

Moi j'étais captivé. Je me demandais ce bien qu'est-ce qui était dans le tissus. Après avoir cité une seconde fois des incantations dans une langue dont j'ignorais la provenance. Il a ouvert le tissus, dès que nous avons vu le contenant. Laurent et moi avions tout les deux criés. C'est quoi ça. J'étais terrorisé., c'était la tête de quelqu'un. Il avait transporté la tête d'une personne jusqu'à dans cette forêt. Cette personne il l'avait sûrement tué. Donc Théo était capable de faire une telle chose.

On avait voulut lui demander des comptes. Mais il était en pleine récitation. Je me demandais bien qui il appelait. Et pourquoi il a voulut nous entraîner dans tout ça. Aussi je me demandais encore si je me trompais. Car mon frère disons celui que je considérais comme tel avait transporté jusque dans la forêt la tête d'une personne.

Lorsqu'il a fait sortir la tête. Laurent et moi étions resté immobile, on ne pouvait même pas nous arrêter. Je me disais aussi qu'il allait me tuer et extraire ma tête du reste de mon corps.

Cela faisait une trentaine de minutes que Théo récitait ces choses avec acharnement. Il récitait et criait de plus en plus fort. Et il a finit sa phrase par

Théo: je t'invoque Lucifer.

Comme toujours Laurent et moi nous nous sommes regardé. Et en une fraction de seconde une chose apparut.........