Chapitre 1

chapitre 6

Le lendemain matin, Carla s'était habillée d'une chemise et d'un jean que Leila lui avait remis,elle avait la gorge nouée car c'était aujourd'hui que le cheick lui avait dit qu'il allait lui amené ses enfants et pour une raison qu'elle ne connaissait pas elle lui faisait entièrement confiance.

Assise sur son lit elle était très impatiente de revoir ses jumelles et avait la gorge nouée.Retournera t'elle en prison ?quel sort lui réservait le cheikh à présent ?

- Maman crièrent les jumelles en coeur.

Elle était tellement dans ses pensées qu'elle ne s'était pas rendu compte que ses filles accompagné du cheikh avaient fait leur entrée dans sa chambre .Alors dès qu'elle vit ses filles elle courut les prendre dans ses bras,elles lui ont tant manqué.

- Oh merci seigneur,mes petites princesses, comme vous m'aviez manquées dit t'elle avec pleure en les serrant fort dans ses bras,elles étaient sa raison de vivre.

- Maman tu nous a manqué aussi s'enquit Mariella.

- Maman ce grand monsieur nous a sauvé du feu continua Marielle.

Du feu?elle n'y comprennait rien ,alors elle regardait ses enfants avec insistance et remarquait qu'elles sentaient la fumée ,son coeur commençait par battre en désordre et dès que ses yeux s'accrochaient à ceux du cheikh elle su qu'il s'était passé quelque chose.

Franc était t'il mort?

Le cheikh s'abaissa au niveau des jumelles et les retournaient vers lui.

- Alors mes princesses que vouliez vous à présent ?

Elles s'approchaient de lui et commençaient par donner de petits bisous sur son visage défigurée sous le regard choqué du cheikh et du sien.

- Nous sommes dans un palais ?demanda une d'entre elles.

Carla les larmes aux yeux vit pour la première fois que le cheikh était décontenancé,elle même ,ses jumelles n'arrêterons jamais de l'étonner.

D'habitude elles étaient toujours réticente face à un inconnu mais avec le cheikh c'était différent.

- Oui ma chérie c'est un palais répondit t'il avec une voix remplir d'émotions.

- Alors tu est un roi?

Il affichait un léger sourire qui n'était pas trop visible mais c'était déjà ça avant de rétorquer.

- Oui un roi qui dirige un peuple et vous vous êtes mes princesses dit t'il en les chatouillant et elles riaient à gorge déployée car elles aimaient ça.

- Oh Mariella ça voudrait dire qu'on va dorénavant vivre ici dit Marielle.

Le cheikh plongea son regard dans le sien.

- Oui mes princesses, maintenant je vais appeler une gentille dame qui va vous lavé ,vous nourrir et vous reviendrai vers maman d'accord.

- Oui papa répondit t'elle en coeur.

Le sourire du cheikh s'effaça en même temps ce qui éveillait l'étonnement des enfants aussi.

Pour la première de toute sa vie Mohamed se trouvait différent,lui qui n'avait pas été habitué à une vie de famille ou d'amour mais plutôt habitué à la guerre se retrouvait en ce moment dans une situation très délicate.

Mohammed sentait que ses âmes innocente allait chamboulé sa vie à partir d'aujourd'hui car dès qu'il les avait vu pour la première fois il avait été conquis par leur mou innocent et maintenant il commençait par s'attacher à elles ce qui n'était pas bon pour lui ,seulement il ne pouvait s'empêcher d'être égoïste, après tout aucune vie ne les attendait en Amérique?

Leur père sera bientôt six pieds sous terre alors pourquoi ne resteront pas t'elles ici après tout il était le souverain de ce pays.

- Nous nous voulions que tu soit notre père s'il te plaît supplie t'elles les larmes aux yeux.

Il ressentait une haine viscérale envers ce père irresponsable qui avait rejeté ses merveilles qu'il avait comme enfant.Il voyait dans leur yeux qu'un figure parternel leur manquait.

- Les enfants,je...

- Venez dans mes bras répondit t'il en lui coupant la parole.

- Bien sur que je suis votre papa continua t'il en les serrant fort dans ses bras.

Mohamed vit les yeux de la jeune femme qui voulait sorties de leur orbites,elle ne comprenait rien mais il allait tout lui expliquer.

Il fit appel à Leila pour qu'elle puisse venir chercher les enfants.

- Oui votre altesse.

- Je te présente Mariella et Marielle mes jumelles ,montre les leur chambre et occupe toi d'elles.

Leila faillit s'étrangler avec sa salive quand il avait mentionné que c'était ses jumelles .

Les filles fit un bisou à chacun d'eux avant de quitter la pièce en sautillant.

Tout seuls dans la pièce Mohamed dévisagea la jeune femme et vit qu'elle avait repris un peu de couleur,la fatigue était toujours au rendez vous mais c'était mieux que la veille.

- Votre ex mari s'est enfuie mais avant il avait mis le feu à son appartement avec les enfants à l'intérieur..

La jeune femme criait immédiatement de stupéfaction et ses larmes se mirent à coulées.

Carla avait le coeur brisé , heureusement que le cheikh était venu à temps sinon ses petites filles seraient déjà... ,elle ne voulait même pas l' imaginé.

Mon Dieu comment avait t'elle pu être si aveugle pour ne pas s'apercevoir que Franc était un démon? ,il faut dire aussi qu'il l'avait bien berné.

- Ne vous inquiété pas je le trouverai et je l'égorgerai continua t'il le regard noir .

Carla prise de peur ne répondit rien,devant lui ce n'était plus le cheikh adourcir qui parlait avec ses enfants mais c'était le guerrier,le sanguinaire qui lui parlait en ce moment.

Son visage défiguré lui renvoyait la personnalité d'un monstre ce qui ne lui faisait pas peur ,au contraire elle le trouvait courageux et digne d'être souverain.

- Mademoiselle Willard je vous fais peur?

Carla releva les yeux et le vit debout devant elle dans toute sa hauteur, depuis qu'elle était ici jamais il n'avait été si proche d'elle.

Grisée par son imposante carrure son coeur se mit à battre frénétiquement ,elle se pinça les lèvres.

- Non du tout pas répondit t'elle en déglutissant.

- Je ne vous ferai aucun mal alors soyez sincère mon visage vous écoeure?vous repousse ?vous donne envie de vomir?vous?

-Non ,bien sûr que non mais vous êtes un être humain , pourquoi parliez vous comme ci vous étiez une bête crit t'elle.

Sous l'insistance de son regard elle se rendit compte qu'elle avait haussé le ton .

- Mes excuses votre altesse je ..

Il leva la main afin de l'a coupé dans son élan.

- Ne vous Excusé pas mademoiselle Willard.

Elle lui tournait le dos le coeur battant avant de rétorquer.

- Je voudrais vous remercier pour avoir dit aux enfants que vous serez leur père,avec le temps je leur dirai la vérité.

- Non ,à partir d'aujourd'hui je suis leur père répliquait t'il avec force.....