Chapitre 20 : Tata Christelle…    -tata : fermes la porte derrière toi-moi :… je fermais la porte…-tata : assieds-toi ma chérie-moi :…-maman : je vais voir les enfants-tata : d’accord sonia à tout à l’heure mimo va m’aider un peu… -tata : ma fille parle moi-moi : tata que veux-tu que je te dise ? -tata : ma chérie, je ne suis pas bête, j’ai vu le jour bien avant toi et je peux t’assurer que ta mine d’effrontée ne me plait pas du tout-moi :…-tata : comment s’appelle-t-il ?-moi :…-tata : mimosa parle-moi : tata il n’y a rien à dire, il n’y a pas de nom-tata : vraiment ?-moi : oui tata-tata : humm ! tu sais ma fille j’ai eu ton âge a

  Chapitre 22 : Parlons-en…    Il était presque 06H00 et toujours pas de sommeil, je n’en pouvais plus, il fallait que je dorme mais comment ? j’avais beau forcer, rien ne se manifestait, aucune once de sommeil, je devenais folle c’était une évidence…A force de trop penser j’ai fini par ne pas dormir de la nuit, et maman qui dit que je maigri il va vraiment falloir que je me reprenne… mais il faut que je dorme même un tout petit peu…    10h00   -clé : mimo !-moi :hum…-clé : mimo ! réveilles-toi on va manger-moi :hum…-clé : mimo ! soulèves-moi-moi : j’ouvrais mes yeux pour voir mon adorable clé qui se tenait juste devant

  Chapitre 24 : Un cousin en Or…    La fête s’était plutôt bien passée, tout avait été parfait jusque-là, aucune embûche et surtout beaucoup de joie autour, ma famille a toujours eu cette particularité d’organiser les festivités de fin d’année dans l’harmonie la plus fluette que je connaisse, chaleureuse et reposante la maison de ma tant avait été le lieu parfait pour toutes ces personnes venues partager leurs joie avec nous, le service avait été exquis et les hôtes accueillant et les invités comblés, rien de mieux qu’un noël merveilleux… Mes éloges sur cette soirée étaient fondés, pourtant moi je ne m’y étais pas retrouvée, j’étais mal, très mal

  Chapitre 26: le retour...     Nous étions le 03 Janvier, le jour de mon départ, j’avais passé les plus beaux congés avec toute ma famille réunie et j’avais aussi pu remettre mes idées en place, savoir que toute cette famille respirait la joie ne me faisait que plus plaisir encore…Me confier à ma tante redonnait à ma perception des choses un tournant favorable et les phrases si exactes et sans état-d ’âme de mon cousin ne les renchérissaient que plus encore…Les jours passaient vites, beaucoup trop vite à mon goût et même si mon plus grand désir était de rentrer au Sénégal là maintenant je ne voulais plus de cette option mais que faire ? Je n’avais pas le choix, il me fallait partir… Il était temps de rentre

  Chapitre 28 : Se laisser aller…     Nous étions là devant chez lui perdus l’un l’autre dans ce monde où nous n’étions que deux…Je ne me reconnaissais pas, je sais juste que c’est la seule option qui m’ait venue à ce moment –là, alors oui j’en étais fière…-giovanni : tu…waouh!… je ne sais pas quoi dire-moi : alors ne dis rienSilence-giovanni : tu es possessive quand tu veux dis donc !-moi toute gênée : je… je-giovanni : ne sois pas gênée petite princesse, mais je t’avoues que le fait que tu sois venue jusqu’ici et que tu veuilles t’en aller par la suite sans même songer à me voir m’a fait énormément de peine-moi :