Semua Bab Le Mari Millionnaire: Bab 531 - Bab 540

Sylvie ne savait pas que Michel et Julia avaient déjà commencé à convoiter ses biens et la villa de son gendre. Elle était chez Camille, jouant au mah-jong avec ses copines et n’est pas rentrée chez elle-même s’il était à l’heure du dîner. Les quatre femmes ont commandé du KFC à emporter, et chacune s’amusait heureusement tout en mangeant des cuisses de poulet.Lucas avait préparé un repas et était en train de prendre le dîner avec sa femme et son beau-père. Carina, voyant que sa mère n’était pas encore rentrée, s’est plainte : « Papa, tu devrais instruire maman, ne la laisse pas jouer au mah-jong toute la journée ! »« Je l’instruire ? a répondu Luc, je n’ai pas cette compétence. Si je pouvais contrôler ta mère, je ne me serais pas trouvé en état actuel. Sais-tu pourquoi ta grand-mère favorise ton oncle aîné et ne se soucie pas de moi ? »Carina, l’air surpris, a demandé : « C’est à cause de maman ? »« Oui ! a dit Luc en soupirant, à l’origine, ton grand-père et ta grand-mère ne m’on

Ikisao détestait follement Lucas, néanmoins, il n’a pas osé offenser Lucas. Donc, il ne pouvait que négocier avec Vincent.D’un ton pieux, Ikisao a dit : « M. Vincent, veuillez transmettre à M. Lucas que sur le compte bancaire de notre groupe, il n’y a qu’un de 200 à 300 millions de yens, que de nombreux distributeurs ne nous ont pas encore remboursés, et que nous devons encore plusieurs milliards de prêts bancaires. Bref, je n’ai pas tant d’argent maintenant ! »Vincent a répondu avec indifférence : « M. Lucas est toujours impitoyable et impatient, le fait que tu n’as pas d’argent n’a rien à voir avec M. Lucas. »Ikisao a continué à supplier en disant : « M. Vincent, je suis vraiment dans une situation difficile. Tiens, veuillez demander à M. Lucas de me donner un délai de deux mois. Dans deux mois, je lui transférerai certainement un milliard. Pendant ces deux mois, s’il vous plaît, rassurez-vous que mon frère aîné reste toujours à la Cité J ! »« Un délai de deux mois, a murmuré Vin

Abelin ne pouvait pas vraiment comprendre pourquoi son grand-père respectait tellement Lucas. Néanmoins, Lilian le savait bien. Logiquement, plus on vieillissait, plus on avait envie de vivre plus longtemps, et il en était de même pour Lilian. S’il était respectueux envers Lucas, c’était parce qu’il avait vraiment peur de la mort. Mais quant à Abelin, qui n’avait qu’une trentaine d’années, ne voulait pas ardemment cinq années de vie supplémentaires.Sophie pouvait plus ou moins comprendre les idées de son grand-père. D’ailleurs, elle avait caché une autre pilule dans sa voiture. C’était Lucas qui lui avait secrètement donné cette pilule. Sauf Lucas et elle, personne ne le savait. Avec cette pilule, Sophie a ressenti une tranquillité d’esprit sans précédent, car elle savait que si quelque chose de mal lui arrivait, elle aurait une chance de survivre tant qu’elle avait cette pilule.Quant à Abelin, il savait que la pilule de Lucas était incroyablement précieuse, donc il n’avait jamais

À ce moment précis, à l’Hôpital psychiatrique de Saint Valbert, des infirmières venaient de donner un repas à Arthur qui était frénétique.Après avoir lavé l’estomac d’Arthur, les infirmières sont parties. Et après un moment, Arthur a repris ses esprits. Il était allongé sur le lit d’hôpital, les mains et les pieds liés, l’air désespéré.Quelques infirmières sont sorties de la salle de soins intensifs et sont venues à la salle de repos où se trouvaient Valentino, le père d’Arthur, ainsi que Romaric, le frère d’Arthur.Les infirmières ont dit respectueusement aux deux hommes : « M. Valentino et Romaric, le patient a repris conscience. »Valentino a demandé avec des yeux froids : « Le lavage gastrique a été fini ? »Une infirmière a hoché la tête en disant : « Oui. »Jusqu’à présent, Arthur devait encore manger des ordures toutes les heures. Valentino n’a pas osé l’arrêter, de peur que son cher fils se suicide. À ce stade, Valentino ne pouvait que satisfaire les demandes d’Arthur. Valen

Lorsque l’infirmière a conduit Abelin et Sophie dans la salle extérieure, Valentino et Romaric venaient de sortir de la chambre. Au premier coup d’œil, Romaric a vu Sophie, qui était si belle, et il n’a pu s’empêcher de se figer pendant quelques secondes.Quand Valentino a vu Sophie, il était aussi un peu surpris. Il était l’aîné de Sophie, il n’avait donc pas beaucoup de contacts avec elle, et ne l’avait pas vue depuis plusieurs années. Ainsi, il ne s’attendait pas à ce qu’elle soit si belle maintenant.Abelin a dit avec beaucoup de respect à ce moment-là : « Bonjour, Oncle Valentino, je suis Abelin Bonnet, voici ma cousine Sophie Bonnet. Notre grand-papa a entendu dire que vous êtes à la Cité J, alors il nous a demandé de venir vous rendre visite. »Cela dit, Abelin a repris : « Mon père n’est pas à la Cité J, alors veuillez lui pardonner de ne pas pouvoir venir en personne. »Valentino s’est empressé de dire : « C’est moi qui aurais dû rendre visite à votre père, mais il m’est arri