Lahat ng Kabanata ng Dieu de la Guerre Sans Souci: Kabanata 121 - Kabanata 130

À Midi, à l’aéroport Charles de Gaulle.Léo a attendu patiemment à l’arrivée internationale B2, regardant les femmes sortir avec leurs valises les unes après les autres. Il devait les comparer avec la photo qu’il avait dans son téléphone, de peur de rater Alice.En même temps, il a brandi une petite pancarte sur laquelle figurait le nom d’Alice Chirac.Enfin, au bout d’une demi-heure, une femme d'âge mûre portant un pantalon blanc, des lunettes de soleil et un chapeau de soleil a franchi la sortie.Léo l'a reconnue en un coup d'œil.Elle était exactement comme celle de la photo.Il s'est approché et a dit en souriant : « Bonjour Mlle Alice, votre grand-père m'a demandé de venir vous chercher. »Alice ne l'a même pas regardé et lui a très habilement tendu son sac : « Prends-le. »Léo a pris le sac.Alice est passée devant Léo avec les mains dans les poches, d'une manière indomptable.Léo l’a suivie de près comme un assistant, portant son sac et est entré dans un restaurant de l'aéroport

Alice était si effrayée qu’elle est devenue toute pâle. Quand avait-elle vu de telles personnes qui ne respectaient pas les règles ?Le couteau du voyou était sur son cou, prêt à la tuer à tout moment.Les policiers étaient aussi terrifiés, ils ont pointé leurs armes sur le gangster les uns après les autres : « Calme-toi, calme-toi. Tu peux prendre ton temps pour trouver une femme comme ça. »Le voyou a crié : « Ça fait quarante ans que j’ai pris mon temps. Comment je prends mon temps encore? Je m'en fiche, je vais être couple avec cette femme aujourd'hui. Je ne peux pas trouver une épouse vivante, mais ça vaut la peine de mourir avec une belle femme ! »La dague tranchante était sur le point de transpercer le cœur d’Alice, à ce moment-là, une baguette a volé droit sur le voyou avec une voix de sifflement.Boum ! La baguette a transpercé la main du voyou.Le poignard dans la main du gangster est tombé au sol.La police l'a entouré et l'a menotté au sol.« Ne bougez pas ! »« Soyez honn

Si les femmes se comparaient, ce serait très effrayant ! Malgré qu'Alice soit arrogante et hautaine, elle était toujours une femme par essence. Elle ne pouvait pas se débarrasser des particularités d'une femme. Ces deux femmes, Alice et Latitia n'arrêtaient pas de choisir des vêtements, c'était vraiment une consommation ostentatoire pour étaler respectivement sa richesse. Quelques minutes après, un vêtement entre leurs mains, il valait plus de 15 000 euros par pièce même plus cher que les diamants. Même si Alice était assez riche, elle ne pouvait pas dépenser sans modération comme ça. Mais son caractère hautain ne lui permettait pas de se soumettre à un tel moment, elle a dû acheter tout ce qu'elle a choisi. Latitia Blanc a refusé d'admettre sa défaite et a pris une pile de vêtements, chacun coûtant plusieurs milliers d'euros et le moins cher coûtant plus de 3000 euros Une pile de vêtements qu'elle avait choisie totalisait plus de cent mille euros... Son mari a froncé ses sourci

En rentrant à la maison, Alice était très contente.Elle s’est reprise vite en disant à Léo : « Merci beaucoup ! Je te rembourserai dès que possible. »Léo a fait un signe de la main : « Ce n’est pas la peine de me rembourser. »« Ah bon ? Tu es aussi généreux ? »« Tu es la petite-fille de l'oncle Jacques. Oncle Jacques a beaucoup contribué au Groupe Fantaisie pendant plusieurs années. Chaque fois que j’ai voulu lui donner de l'argent, il a refusé. Maintenant je dépense de l'argent pour toi comme récompense pour l’oncle Jacques. »Alice était un peu abasourdie. Elle ne s'attendait pas à ce que Léo soit aussi généreux.Ils ne se sont pas reparlés pendant le trajet. Lorsqu'ils sont revenus au Groupe Fantaisie, Léo l'a amenée à Jacques, puis il est parti pour faire ses affaires.« Attends une minute. »« Oui ? »Alice a demandé : « Tu n'as rien à me dire ? »Léo a souri : « Non. »« Tu ne veux pas me parler de la création du divertissement ? »« Je n'aime pas forcer les gens. Si tu ne ve

Léo a créé le Divertissement François en souvenir de François, son frère défunt.Pendant plusieurs jours consécutifs, Léo s'est entièrement consacré à l'entreprise, acquérant deux sociétés coup sur coup et complétant la fusion avec une grosse somme d'argent.La construction de la base du divertissement a été commencée en même temps et sera achevée dans un mois au plus tôt.Alice s’était occupée de régler deux choses : La première est de négocier avec différents canaux de la ville de Jiangnan pour préparer les futures ressources. La seconde est d’organiser continuellement des recrutements pour accueillir les meilleurs talents de l'industrie du divertissement.Tout s'est très bien déroulé.Bien que le fonds de départ soit relativement important, d’après Léo, cela en valait la peine.Ce jour-là, après avoir terminé son travail, Léo est rentré chez lui avec un air fatigué.Dès qu'il est entré dans la maison, il a senti que l'atmosphère était un peu bizarre.Luc, son beau-père, était assis