Lahat ng Kabanata ng La Bête et la Bénie: Kabanata 511 - Kabanata 520

« Maison, » ai-je corrigé. Habituellement, les grottes étaient laissées ouvertes pour que les voyageurs puissent s’arrêter et dormir. Très peu d’entre eux en faisaient leur domicile permanent, et ceux qui le faisaient étaient souvent les vieux sangliers qui avaient décidé de passer le reste de leur vie dans leur fourrure. Avec le temps, le fait de se transformer constamment était devenu trop épuisant, et ils préféraient rester sous une seule forme.« Dans quelle ville vis-tu ? »Je savais déjà qu’il ne cherchait pas à mieux me connaître. Par sa réponse rapide, je savais qu’il essayait d’obtenir quelque chose de moi. Lorsqu’on pose des questions rapidement, les gens répondent vite et sont moins enclins à réfléchir à leurs réponses et à les filtrer.C’était une des tactiques que ma mère m’avait apprises pour négocier les prix quand nous devions aller en ville pour des fournitures. Les gens ne voulaient pas de nous de toute façon et nous facturaient deux à trois fois plus cher pour les

Des frissons ont envahi son corps lorsque l’eau l’a frappé, mais il se réchauffait rapidement. « Où es-tu allée ? » Sa voix grave et profonde m’a enveloppée alors qu’il saisissait mes hanches doucement. Mes yeux se sont fermés, et mes mains ont trouvé leur chemin vers sa poitrine, ayant besoin de m’accrocher à lui, de le garder près de moi. « Je ne suis pas partie. » Sa paume rugueuse s’est glissée dans le bas de mon dos, me maintenant fermement contre lui alors qu’il reposait son menton sur ma tête. « Si, tu es partie. À la seconde où nous avons franchi la porte, tu as levé le menton, et ton dos s’est tendu. Tu jouais un rôle, devenant la Princesse Charlotte. Tu as fait la même chose quand nous sommes arrivés au château. Il n’y a que nous ici en ce moment. Où est passée ma Charlotte ? » Ses mots m’ont fait monter les larmes aux yeux, et j’ai avalé difficilement, essayant d’oublier tout le reste sauf lui. « Je suis là. » Ses mots d’avant lui sont revenus en mémoire et l’ont

Point de vue de CharlieAlex me retenait. Ses griffes s’enfonçaient dans mes poignets, me coinçant contre le matelas, ses hanches entre mes jambes. Il sentait la sueur, et chaque fois qu’il ouvrait la bouche, son haleine me retournait l’estomac. L’odeur lourde d’extrait de fleur de lune dans laquelle il s’était plongé avec quelques autres gardes hors service était entêtante. Je savais que certains d’entre eux le faisaient lorsqu’ils n’étaient pas en service, mais je détestais cela. Ce n’était pas contraire au règlement, mais tout comme pour l’alcool, l’ivresse publique était mal vue. « Arrête de te débattre ! Je te donne ce que tu veux ! » Des larmes coulaient sur mes joues tandis que je me débattais pour me libérer, essayant d’frapper les talons de mes pieds partout où je pouvais atteindre son corps. Il ne semblait même pas le remarquer. Chaque fois que mes hanches se soulevaient dans ma lutte, il grinçait contre moi, sa dureté prouvant qu’il y prenait plaisir. « Tu le veux, sa

J’étais déjà mouillée de ses caresses sous la douche, et aussi nerveuse que j’étais, il n’y avait aucun moyen d’arrêter ma réaction à lui. Quand il a vu ce qu’il cherchait dans mes yeux, ses mains ont glissé le long de mes cous, sur mes seins, puis vers mes hanches avant d’entrelacer ma main gauche avec la sienne. Damien s’est écarté et s’est allongé sur le lit, les genoux pliés et les pieds sur le sol. Son sexe dur était contre son ventre, et il m’a souri chaleureusement, tirant sur ma main. « Viens ici, bébé. » J’ai jeté un coup d’œil vers le bas, observant la couette propre que les domestiques avaient probablement changée au moins deux fois depuis mon arrivée, même si je n’avais pas encore dormi dedans. Il n’y aurait aucune trace d’Alex dans mon lit, il n’y en avait probablement plus depuis des années, mais son souvenir était aussi épais que la soupe de notre dîner. Accablant et répugnant. Un frisson a parcouru mon corps lorsque ma main libre a touché le lit près de la tête

Il a baissé les yeux, et Charlotte a fait de même avant de saisir le panier de vêtements qui avait été laissé près de la porte pour moi la veille au soir. Killian s’est tourné, faisant quelques pas en arrière alors que Charlotte fermait la porte devant lui avec un large sourire. « C’est génial ! J’ai hâte qu’il voie ce que je peux faire et que vous vous connaissiez tous les deux ! » Après nous être rincés et habillés, Killian nous a conduits dans le couloir. Charlotte pétillait d’excitation, et j’ai serré sa main. Je l’avais vue s’entraîner avec ses hommes et je m’étais moi-même entraîné avec elle, mais j’étais curieux de la voir s’entraîner ici avec du matériel plutôt que de simplement combattre corps à corps. Killian s’est retourné quand nous avons atteint les portes grandes ouvertes menant à un immense gymnase. Une moitié était remplie de matériel, et l’autre était ouverte pour le combat. Deux murs étaient composés de portes métalliques roulantes, et je pouvais imaginer à q