All Chapters of Le Sang du Clair de Lune: Chapter 211 - Chapter 220

IL Y AVAIT EFFECTIVEMENT une piscine à balles, et bien que rien n'aurait pu me faire entrer dedans, Rabbit était content de s'y plonger, me laissant tous ses tickets à garder. Je me suis assis sur l'un des bancs qui longeaient le mur voisin, rejoignant les autres parents-détenus qui tuaient le temps en jouant avec leurs téléphones.Tu as fini ?Un message de Paco, d'il y a une heure.Presque, ai-je répondu. Encore quinze minutes.J'ai été interrompu dans ma lecture de la réponse de Paco par l'arrivée d'une femme mince et bronzée aux cheveux noirs ondulés et brillants, portant un jean noir, un haut noir décolleté, et un soutien-gorge push-up qui mettait ses seins en valeur. Elle m'a regardé de l'endroit où elle s'était assise, clairement trop près. — Êtes-vous aussi épuisé que moi ? a-t-elle dit, en me lançant un regard las.— Je ne sais pas — je ne suis là que depuis une heure et demie.— Trois heures. J'étais ivre, mais maintenant je suis de nouveau sobre, et si j'entends encore un s

J'ai entendu un bruissement derrière moi, que n'importe quel mortel aurait manqué, et il était difficile de ne pas me retourner brusquement — mais mon avantage était que le membre de la Meute resté en arrière pensait que j'étais humain. Je me suis soigneusement agenouillé comme si j'examinais le cadavre.L'homme derrière moi s'est précipité avec ardeur — je me suis jeté sur le côté et j'ai donné un coup de pied, attrapant ses jambes, l'envoyant s'étaler sur le sol ensanglanté pendant un moment avant qu'il ne rebondisse, essayant de m'attraper avant que je ne puisse me relever. J'ai roulé sur le côté et me suis jeté sur lui. Il a feint et a sauté derrière le canapé, et j'ai réalisé que j'avais un autre avantage également — j'étais entre lui et la porte.C'était l'un des hommes que j'avais vus au bar des loups-garous — celui qui semblait plus âgé, Daziel. — Qu'est-ce que vous voulez à Angela ? ai-je demandé, imitant chacun de ses mouvements comme un miroir, prêt à empêcher sa fuite.— Ç

Tout ce que mes mains s'étaient vu refuser plus tôt, elles le cherchaient maintenant — la peau lisse de son dos, la douceur de ses seins — son soutien-gorge ne dura que quelques instants avant d'être enlevé, révélant des aréoles du même pêche doux que sa robe. Je m'attaquai à l'un d'eux avec ma bouche tandis que son genou glissait entre mes jambes. Sans réfléchir, je me frottai contre lui, palpitant contre elle alors que je suçais, enfouissant mon visage contre sa peau, adorant la façon dont son souffle se coupait chaque fois que ma langue passait sur le bout de ses tétons.— Oh — c'est tellement bon, ronronna-t-elle, puis tourna la tête en direction de Mark. — Tu écoutes, Thor ?— Ai-je le droit de dire si c'est le cas ? demanda-t-il d'une voix grave.Elle rit et appuya plus bas sur moi, de sorte que nous étions peau contre peau à tant d'endroits. Ses mains trouvèrent la ceinture de ma culotte et poussèrent — je me tortillai pour l'aider à me libérer, puis la regardai se libérer elle

En retour, je la léchais avidement. Je ne pouvais prendre que ce qu'elle voulait bien me donner, car je pouvais à peine m'appuyer sur mes bras, mais j'essayais, passant ma langue sur chaque partie d'elle que je pouvais atteindre, tandis qu'elle se pressait contre moi pendant que je descendais. Elle avait un goût de sel, de terre et de musc, et une partie de moi se demandait comment j'avais pu tenir si longtemps sans le goût d'une femme dans ma bouche.Elle haleta, tendant la main pour maintenir ma tête à un endroit précis, et je continuai à faire ce que je faisais avec ma langue. — Oh... oui... juste là, gémit-elle en arquant ses hanches et en écartant largement les jambes. Je continuai, je savais comment obéir aux ordres, frottant ma langue contre le côté de son clitoris, d'avant en arrière, de haut en bas.— Oh mon Dieu, chuchota-t-elle, lâchant ma tête et me faisant confiance, juste au moment où son autre main quittait mon sexe et commençait à remonter.J'entendis Mark haleter alor

— C'est ridicule !— N'est-ce pas ? Il avait déjà déboutonné trois boutons de sa chemise et il s'est arrêté. — J'aime être ridicule avec toi. Presque autant que j'aime te voir terrorisée par des lesbiennes.— Techniquement, la terreur était mutuelle, et j'ai aimé ça.Ses mains se sont arrêtées sur le bouton suivant. — Je sais. C'est ce qui rendait ça si excitant.J'ai enlevé mes chaussures et me suis débarrassée de mes sousvêtements inutiles. — Tu étais inquiet ?— Bien sûr. Qui ne s'inquiéterait pas de te perdre ? Mais je suis assez grand pour savoir que si une nuit avec une autre femme te fait partir, tu n'as jamais vraiment été mienne.J'ai réussi à attraper ma propre fermeture éclair et à retirer ma robe, me retrouvant nue sur le carrelage. Sa chemise était enlevée, et son pantalon était en train de suivre, après qu'il ait enlevé ses chaussures. — Tu sais ce qui m'a fait jouir si fort à la fin, avec elle ?Il s'est libéré de sa dernière chaussette. — Quoi ?— L'idée que tu me bais