Lahat ng Kabanata ng Contrat Brisé : Le Secret de l'Alpha: Kabanata 81 - Kabanata 90

(Point de vue de Nick)Arrête d'être un idiot ! Voici le conseil de mon fils, simple et efficace. Si seulement il existait un manuel expliquant comment faire. Ce n'était pas comme si je pouvais remonter le temps.Alors que je versais la vodka glacée dans ma gorge, je pensais à comment nous en étions arrivés là, et à tout ce qui s'était passé entre Sara et moi. J'imaginais où nous aurions pu être si j'avais agi différemment à ce moment crucial.Il était maintenant minuit passé, et Alex dormait profondément. Je me suis rendu compte que j'avais besoin de prendre l'air. Mais alors que je me promenais dans les bois, mes pieds me portaient vers la maison de Sara.Elle n'était probablement pas chez elle. Peut-être passait-elle la nuit avec le Sergent Courageux. Pourquoi je me faisais ça ? Je me le demandais. Qu'est-ce que je pouvais espérer, sinon plus de chagrin et de frustration ? Mais je ne pouvais pas m'empêcher de l'espionner.Alors que je me tenais près d'un arbre derrière la pet

La seule réponse qui venait de la gamma qui était censée surveiller mon enfant était le son de son cœur, battant dans sa poitrine. Le mien faisait de même alors que je la regardais, horrifié.En même temps, l'enseignante d'Alex passait par là. Quand elle m’a vu à la grille, elle a arboré un sourire accueillant et s’est approchée.« Bonjour, Monsieur Reign, quelle agréable surprise ! »« Bonjour, Madame Brillant », je me suis forcé à lui rendre son sourire en attendant qu'elle me donne des nouvelles de mon fils.« Mademoiselle James a dit qu'il y avait une urgence familiale. J'espère que ce n'est pas grave », a-t-elle dit.« Elle a dit ça, hein ? »« Oui. Elle est venue chercher Alex ce matin. »« Ah... » J’ai hoché la tête comme si je savais de quoi elle parlait. Pas de raison de paniquer alors, car ils sont ensemble, mère et enfant.« À quelle heure ce matin ? » J’ai jeté un regard autour de moi vers Lison et son partenaire à nouveau.Ils se tenaient maintenant à l'extérieur

C'était la veste de mon fils serrée dans les poings de l'homme. Je savais qu'il était venu avec un message, alors j'ai essayé de retenir ma rage, mais je n'y suis pas arrivé. Je voulais qu'il ressente de la douleur, pour le simple fait d'être impliqué. Alors que je l'ai poussé, Richard et Gérard sont apparus en un instant pour m'empêcher de lui faire plus de mal.J'ai regardé l'homme tomber, rebondir quelques fois sur le sol rocheux. Un petit arbre l'a bloqué, et il a cessé de rouler en s'éloignant de nous.Gérard, le gars de Rich, se tenait devant moi pour m'interdire d'aller vers l'homme.C'était Richard qui s'était approché, le soulevant par le col de sa chemise.Le petit morceau de tissu qui était la veste de mon fils gisait à quelques mètres de là. C'était ainsi qu'il m'avait attiré ici. Était-ce un piège ? Je priais la Déesse que ce soit le cas. Mes griffes et mes dents avaient besoin de se défouler. Gérard a essayé de m'arrêter alors que j'ai tendu la main vers le tissu.

(Point de vue de Sara)À en juger par l'agitation de Grand-Gueule, et par la façon dont sa nuque était devenue rouge plus tôt, je savais qu'il parlait à quelqu'un d'un rang hiérarchique supérieur. Les loups-garous mâles ne pouvaient pas s'empêcher d'avoir cette réaction en présence d'un autre mâle en colère de rang bien supérieur.J'avais saisi les mots « ta putain et ton héritier », ce qui m'indiquait clairement qu'il parlait à Nick. Peu après, ils m'avaient apporté le téléphone ; toutefois, ils ne m'avaient même pas laissée lui parler.Maintenant, je m'accrochais à l'idée que l'Alpha viendrait au moins pour son enfant, son héritier. C'était sûr et certain qu'il viendrait. Peu importait ce qui m'arrivait, tant qu'Alex était sauvé.Oh, mais le son de sa voix m'avait profondément réconfortée. Bien plus que je ne l'aurais espéré. Mais à cet instant précis, j'aurais donné tout pour avoir Alex dans mes bras.Par la suite, Gros-Cou était allé dans l'autre pièce avec le téléphone. Grand

Alex était assis, son ours en peluche préféré serré contre sa poitrine, permettant au Docteur Robert de faire son travail. De l'autre côté de la pièce, une infirmière soignait mes ecchymoses, qui mettaient une éternité à guérir.La pommade piquait un peu, mais la douleur ne semblait pas être la mienne. J'étais concentrée sur le petit garçon à quelques mètres de moi. Il n'avait pas l'air d'avoir vécu un enfer il y a un instant.Quelques instants plus tard, le médecin a poussé un profond soupir, l'air satisfait. C'était le signe qu'il avait terminé avec l'enfant. Écartant la main de l'infirmière de mon visage, je me suis levée pour aller vers Alex. Mon garçon se rasseyait calmement, comme s'il ne s'agissait que d'une visite médicale de routine.Il n'y avait plus aucune trace de peur dans ses yeux. En le regardant, personne n'aurait jamais deviné ce qui nous était arrivé plus tôt.Docteur Robert a commencé à parler. « Il va bien. Pas de blessure du tout ! »Du tout ? J'aurais voulu d