Semua Bab Séduire le beau-père de mon ex: Bab 141 - Bab 150

Je n'ai pas pris la peine de rester pour écouter le reste de leurs discours ; j'en avais assez pour ce soir, et si je devais traîner Judy dehors de force, je l'aurais fait. Heureusement, ça n'a pas été nécessaire. Judy a dit rapidement au revoir, bien que la plupart soient restés sans réponse, puis elle s'est précipitée derrière moi, gardant la tête baissée jusqu'à ce que nous soyons assez loin.« Je suis contente que ce soit fini », elle soufflait en expirant.« Humm », murmurais-je.Nous sommes arrivés devant le manoir, et j'ai vu Bêta Taylor près de la voiture, la portière arrière ouverte.« Comment c'était ? » demandait-il alors que nous approchions.« Un faux pas de plus, et je retire mes fonds de son entreprise », je répondais sans hésiter, faisant sursauter Judy. Elle ignorait probablement que je finançais une grande partie de la boîte de Raymond et que je pouvais tout leur reprendre en un clin d'œil, les laissant sans un sou.« À ce point-là, hein ? » faisait Taylor, amusé.

Elle s'est levée du lit, incapable de vraiment se reposer. Elle s'approchait des tiroirs de la commode et commença à fouiller dedans sans but. Il n'y avait rien à part quelques vêtements qui ne lui allaient sûrement plus. Elle soupirait et se dirigeait vers la table de nuit pour y fouiller aussi.Il n'y avait pas grand-chose, à part une boîte de préservatifs et quelques médicaments.Frustrée, elle est entrée dans la salle de bain attenante, ne sachant pas vraiment ce qu'elle cherchait. Peut-être un signe que Judy y était passée un jour. Le seul élément qui pourrait être un indice était une vieille bouteille de shampooing qu'elle savait ne pas appartenir à Ethan, car ce n'était pas sa marque. Il y avait aussi un stick de déodorant à la lavande, qu'elle savait également ne pas être à lui.Son cœur battait la chamade dans sa poitrine ; ces choses appartenaient-elles à Judy ? Il fallait bien admettre qu'elle n'avait aucune idée du genre de shampooing que Judy utilisait. Elle aurait aimé pr

Elle a enroulé ses jambes autour de sa taille alors qu'il approfondissait le baiser. Il mordillait sa lèvre inférieure.« On s'en va d'ici, » murmurait-il contre ses lèvres.Elle acquiesçait et Ethan appelait l'un de ses subordonnés pour venir les chercher, car il était trop ivre pour conduire. Il la conduisait chez lui, et ils passaient la nuit ensemble.…Point de vue de JudyUne douleur intense a parcouru tout mon corps, commençant par la marque sur mon cou. Mon corps tremblait violemment, et des larmes coulaient sur mes joues. J'avais déjà ressenti de la douleur dans mon cou, chaque fois qu'Ethan embrassait Irène, mais jamais rien de comparable.C'était une toute nouvelle forme de douleur à laquelle je n'étais pas habituée, et que je ne voulais jamais ressentir à nouveau. Mon corps tout entier semblait être électrocuté. Ma louve hurlait de désespoir, et je n'arrivais pas à me débarrasser du bruit dans mes oreilles.Gavin est sorti précipitamment de la salle de bain avec un linge ch

Il soupirait et secouait la tête.« Pas du tout... mais Irène... elle est fragile, » murmurait Gavin, secouant la tête à son tour. « La retirer à Ethan, ça la détruirait, et j'ai peur de ce qu'elle pourrait faire si ça arrivait. C'est ma fille et je ne veux que son bonheur. J'espère juste qu'Ethan se reprendra quand il sera temps de l'épouser, pour ne plus jamais lui faire de mal. »Quand je ne répondais rien, son expression s'est radoucie.« De plus, Irène est adulte maintenant. Je ne peux pas lui dire ce qu'elle doit faire, aussi fortement que j'en ai envie, » continuait-il.« Tu es le président des Lycans, Gavin. Et son père, » lui rappelais-je. « Tu as tous les droits de lui dire ce qu'elle doit faire. »« Mais à quel prix, ma fille ? » me répondait-il. « Je ne peux pas la perdre, Judy. Toi, de tous les gens, tu devrais savoir à quel point la famille est importante. »Ses mots résonnaient en moi, et pour une raison que je ne comprenais pas, je me sentais un peu blessée. Je fis un p

« D'accord, » disais-je finalement après un moment de silence. « On n'a pas besoin d'en parler plus longtemps. »« Tu peux partir maintenant ? » murmurait-elle. « Je suis vraiment fatiguée. »Je hochais la tête et me tournais pour partir, mais je me suis arrêtée soudainement et jetais un regard en arrière vers elle.« Je pensais que tu aimerais savoir qu'Ethan dort dans une chambre d'ami. On l'a trouvé évanoui au bar et on dirait qu'une prostituée allait profiter de lui. »Le visage d'Irène pâlissait immédiatement, et je pouvais pratiquement entendre son cœur battre dans sa poitrine.« Quoi ? » s'écriait-elle. « Pourquoi tu ne m'as pas dit ça plus tôt ? Il faut que j'aille le voir, » disait-elle en courant vers la porte.Je ne l'ai arrêté pas, mais je l'appelais une fois qu'elle était dans le couloir.« Irène, » disais-je, la paralysant dans son mouvement. « Je t'aime. J'espère que tu sais ça. »Elle m'a fixé un moment avant de hocher la tête. Elle ne disait rien, se tournait et se hât