Lahat ng Kabanata ng Amour mafieux cruel: Kabanata 141 - Kabanata 150

Lara Quand mon téléphone sonne et que je vois le nom d'Emre, mon cœur se serre.Non .Mon Dieu, s'il vous plaît.Mes mains se mettent à trembler et mon pouce plane au-dessus du petit cercle.Il n'y a qu'une seule raison pour laquelle Emre m'appelle.Quelque chose est arrivé à Gabriel.Un sanglot monte dans ma poitrine.« Ton téléphone sonne », dit Nisa.« Je sais. » Je prends une inspiration tremblante, je fais glisser mon doigt sur l' écran et porte le téléphone à mon oreille. « Bonjour. » Ma voix tremble.« Salut, c'est Emre. » « Oui. » Je ferme les yeux.« Je suis avec ta mère. » Mes yeux s'ouvrent brusquement. « Il faut que tu la calmes pour qu'elle vienne avec moi. » « Oui ! » Je me lève d'un bond et me mets à marcher de long en large, mon cœur battant à tout rompre.J'entends du mouvement, puis Emre dit : « Ta fille est en ligne. » Il faut un moment avant que je l'entende sangloter : « Lara ? » « Maman. » Mes oreilles commencent à couler sur mes joues, et je m'en fiche . Les san

Gabriel Après avoir donné à manger à Emre et Viktor, et alors qu'ils sont occupés à l'engloutir, j'entre dans le congélateur. Mazur lève la tête, l'œil gauche injecté de sang à cause du coup qu'il a reçu lors de l'accident. « Enfin. Je pensais que tu n'allais pas te réveiller. » « Va te faire foutre. » Il crache par terre. Je remonte les manches de ma chemise jusqu'aux coudes, puis je m'assois en face de Mazur. Je fixe l'homme du regard et un sourire se dessine au coin de mes lèvres. « Tymon Mazur. Enfin ligoté comme un porc. Prêt à être abattu. » Ses traits se crispent et je vois une lueur de panique. « Pourquoi t'es- tu mêlé de mes affaires ? Pourquoi as-tu attaqué ? » Je le fixe longuement et intensément jusqu'à ce qu'il essaie de se déplacer sur la chaise. Je remarque sa taille, sa moustache ridicule, l' attraction absolument cruelle de ses traits. Seigneur, c'est l'homme que Lara a dû servir toute sa vie. Inspirant profondément, j'expire lentement, puis je dis : « Honnêtement,

Lara Après que nous nous soyons habillés, et que je remarque que Gabriel porte un jean et un pull anthracite, je demande : « Tu restes à la maison aujourd'hui ? » Il hoche la tête et, me serrant contre lui, dit : « J'ai besoin d'un jour de congé. » « Je suis d'accord. » Je renverse la tête en arrière et le fixe du regard.Il lève la main et écarte quelques cheveux de mon visage.« Mazur est mort. » Il m'observe attentivement, guettant ma réaction, et cela me pousse à sonder mes émotions. Je ne ressens que du soulagement, sachant que ce monstre ne pourra blesser ni tuer personne d'autre.Mes lèvres se courbent. « Merci, Aşkım. » J'adore l'appeler mon amour, et je suis heureuse qu'il apprécie ça.« Es-tu prête pour aujourd'hui ? » demande-t-il, l'inquiétude se lisant dans son regard.« Non, mais je vais faire de mon mieux. » Je n'ai aucune idée de comment je vais traverser les dix ans qui nous séparent de ma mère .« Je suis là pour toi », dit-il.J'acquiesce et, passant mes bras autour

Lara L'excitation me tue lorsque j'ouvre la porte de la chambre et entre.Les femmes m'ont occupé, m'emmenant dans un spa pour mon anniversaire. Nous avons aussi fait faire nos coiffures et notre maquillage par des professionnels.Maman est si jolie, et elle a vraiment apprécié la journée. Je suis tellement reconnaissante que tout le monde se soit donné à fond pour qu'elle se sente comme un membre de la famille.Mes pieds s'arrêtent brusquement lorsque je vois une robe de bal époustouflante accrochée dans le dressing.Oh. Mon. Dieu.Elle est en satin, d'un rose sombre.Lentement, je m'approche et lève la main, je caresse le tissu luxueux.Waouh.Gabriel avait dit que mon cadeau m'attendrait dans la chambre, mais je n'aurais jamais pensé que ce serait une si belle robe. La glissant du cintre, je la porte jusqu'au lit et la pose sur les couvertures.Je me dépêche de me déshabiller et, me souvenant de l'ordre de Gabriel de ne pas porter de sous-vêtements ce soir, j'enfile prudemment le s

Mariya Luca ; 34. Mariya ; 26.Rebondissant sur la pointe des pieds, je rigole tandis que papa marche lentement en cercle autour de moi.Mon père est le chef retraité de la bratva, et ma mère est responsable de la chute de nombreux syndicats de trafic sexuel. Mes parents sont durs à cuire et puissants. Par conséquent, lorsque papa dit qu'il est temps de faire une séance d'entraînement, je ne discute pas et je fais ce qu'on me dit.« Allez, vieux. Je n'ai pas toute la journée. Je dois encore aller chercher ma robe et faire des achats de dernière minute... » Mes mots s'interrompent lorsque papa se jette sur moi, puis mes pieds sont arrachés de dessous moi, et mes fesses heurtent violemment le tapis.Je laisse échapper un éclat de rire en gémissant.« Vieux, mon cul », marmonne-t-il. « Petite merde. » Je me lève, puis je me précipite en avant. Saisissant les épaules de papa, je balance mon corps autour du sien et enroule mes jambes autour de son cou. Je le fais tomber d'une torsion de mo