Semua Bab CHERIE : J'AIME TON FRERE: Bab 51 - Bab 60

TROIS SEMAINES PLUS TARDPatrick entra dans la chambre de Xavier pour vérifier son état, le Dr Fernando et Matthew étaient déjà présents dans la pièce.— « Comment va-t-il ? » demanda Patrick en regardant le Dr Fernando, qui soupira et serra la tête.— « Aucune, mais tout va bien. J'ai fait quelques tests et il n'y a rien de grave. Il a juste besoin de repos. » Il prend sa mallette. — « Je vous laisse, messieurs. » dit-il en s'éloignant.Matthew se leva en silence et sortit, mais Patrick le retint. Il regarda la main de Patrick sur la sienne et comprit le message, il laissa partir de la main de son ami.— « Écoute, mec, les choses ne doivent pas nécessairement être comme ça. Ce qui s'est passé est dans le passé, et ce n'était pas mon intention de— »— « De me voler l'amour de ma vie ? Ouais, bien sûr. » Le ricain.— « Je ne voulais pas qu'elle tombe amoureuse de moi, d'accord ? Je ne l'ai jamais vue autrement qu'une amie, bon sang ! C'est elle qui n'a pas écouté et qui s'est jetée sur

MAISON DE XAVIERLe soirXavier attacha sa robe autour du corps de Catherine. Elle semblait immense sur elle, presque à engloutir tout son petit corps, si ce n'était pas pour son ventre arrondi.— "Est-ce vraiment nécessaire ? Il ne fait même pas si froid", bougonna-t-elle.— "Le temps commence à changer, et je ne veux pas que tu attrapes froid, ni que mon enfant attrape froid, alors oui, c'est nécessaire", murmura-t-il en lui posant ses pantoufles devant elle. — "Vas-y, mets tes petits pieds dedans."— "J'ai les miennes", répondit-elle en roulant des yeux. — "Et c'est moi qui suis censée prendre soin de toi, pas l'inverse ?"— "Tu parles trop", dit-il en l'embrassant pour la faire taire. — "Allez, viens." Il lui prend la main et la guide doucement en bas.Ils descendent lentement les escaliers, et lorsqu'ils entendent des rires, ils échangèrent un regard perplexe.— "Mon fils ! Tu es réveillé !" Mme Xuan se leva dès que Xavier et Catherine pénétrèrent dans la salle à manger.— "Maman

Xavier entre dans la maison, les sourcils froncés. Il a trouvé la maison étrangement calme, ce qui était inhabituel.Il se dirigea en boitant vers la cuisine, mais personne n'y était.— "Où est tout le monde, Dora ! Nounou !" Il monte les escaliers et une servante s'accourt vers lui dès qu'elle entend sa voix.— "Monsieur, ils ne sont pas là. Ils ont emmené Mademoiselle Catherine à l'hôpital."Son cœur fit un lien lorsqu'il entendit cela.— "À l'hôpital ? Pour faire quoi ?" exigea-t-il, l'air inquiet.— "Euh, Mademoiselle Catherine est tombée malade occasionnellement, elle saignait et nous avons essayé de vous joindre, mais vous ne répondiez pas." répondez-elle doucement. Il plongera rapidement sa main dans sa poche et en sortit son téléphone.Il jura silencieusement en voyant les appels manqués de la Nounou et de Catherine. Son téléphone était en mode silencieux, c'est pourquoi il n'avait rien entendu.— "Merde !" jura-t-il. — "Quel hôpital ?" Il la regarde avec insistance.— "L'hôpi

« Xavier... p.… pense à ce que tu fais, mon vieux... » Le battement du cœur de Patrick résonnait fort.Xavier lui lance un regard furieux, baissa sa main, et se tourne vers les gardes.« Regardez-moi ! » tonna-t-il, et les gardes levèrent la tête.Il les fixe un à un, plongeant son regard dans le leur. Ses yeux se posèrent sur la dernière garde.Ce détourna les yeux et regarda ailleurs, la tête haute.« Regardez-moi ! » Il s'avança vers lui, saisit son col. « Dis-moi la vérité, rien que la vérité ! » gronda-t-il entre ses dents.« Je... Je ne sais pas de quoi vous parlez, monsieur ! » balbutia le garde.« Les yeux, Chico, ils ne mentent jamais. » Il le lâcha et l'assomma d'un coup de crosse de son arme, provoquant une série de halètements dans la pièce.« Toi ! Nettoie ce bordel, » ordonna-t-il en pointant un autre garde. « Partez ! Tous. » Il souleva le garde inconscient et le jeta sur son épaule avant de se diriger vers le sous-sol, Patrick sur ses talons.ENTREPÔTLa voix de Sierra

LIEU INCONNUUne silhouette se tient devant la fenêtre, regardant dehors.Une jeune fille blonde entre dans la pièce et ferme la porte.— « Frère, es-tu sûr de ça ? » dit-elle en s'approchant de lui.— « Je n'ai jamais été aussi sûr de ma vie. » il murmure en se tournant vers elle lentement. « Mon costume est arrivé ? » Il se dirige vers une petite table et prend un livre dessus.— « Pas encore mais... »— « Mais quoi, Tasha ? J'en ai besoin aujourd'hui. » Il grogne.— « Frère… » soupira-t-elle. « Le mariage est demain, il n'y a pas besoin de se presser... sois patient. » Elle se tenait devant lui.— « Tu ne comprends pas, ce n'est pas pour le mariage. » Il la regarde.— « Alors quoi... non ! Tu n'es pas en train de… ! » Elle s'écrie.— « Oh, oui. » Il se dirige vers la fenêtre. « Je vais à cette stupide fête de fiançailles. » Il sourit en enfonçant ses mains dans ses poches.À L'HÔPITAL— « Une dernière cuillère. » Xavier tenait la cuillère pleine devant Catherine et elle ouvrait la