All Chapters of Divorcée et oubliée, elle a ébloui le monde: Chapter 351 - Chapter 360

« Pardon. » La voix de Claire était étranglée.« C’est moi qui te demande pardon. Si seulement j’avais été plus fort à l’époque. »« Non, ce n’est pas ça. »Elle a sangloté doucement, « Si seulement nous ne nous étions jamais rencontrés, tu n’aurais pas subi tout ça, tes mains n’auraient pas été... »Ses paroles inachevées ont été étouffées.Noah a légèrement froncé les sourcils, le coin de ses yeux légèrement rouge. Il a souri, « Ne dis pas comme ça. »« Clairette, nous nous sommes rencontrés dans notre enfance. Je regrette seulement de ne pas t’avoir retrouvée plus tôt. Ces sept années à l’étranger, je n’ai cessé de penser : et si je n’étais pas revenu à Ville de Montjoie avec mes parents à l’époque ? Et si je t’avais dit mon nom plus tôt... est-ce que tout cela ne serait pas arrivé ? »« Mais Clairette, on ne refait pas le passé. »Derrière ses lunettes, ses yeux débordaient d’une tristesse infinie, « Clairette, nous avons encore un long avenir devant nous. Il n’est pas trop

Le soir.Devant un restaurant somptueux aux lumières éclatantes, une Bentley Continental orange s’est arrêtée. Une femme élégante en est descendue, vêtue d’une robe de haute couture en velours vert chatoyant parfaitement ajustée. Les boutons de jade vert du corsage brillaient d’un éclat délicat. Un châle blanc en maille fine couvrait à moitié sa silhouette gracieuse. Elle dégageait une distinction aristocratique naturelle, sa démarche empreinte de raffinement.Un sourire, un regard, et c’était comme une brise printanière traversant une brume légère, faisant vaciller les cœurs, plongeant dans un rêve.Les regards des passants se sont naturellement posés sur elle, mais personne n’osait la fixer directement. Ils jetaient seulement des coups d’œil furtifs, car derrière cette femme douce se tenaient trois gardes du corps imposants et vêtus de noir.Beauté délicate, brutes menaçantes.Elle attirait tous les regards.Ce n’est qu’après que la femme soit entrée dans le restaurant où réson

Théo a froncé les sourcils, « Mais papa et maman, vous ne vous battez pas et ne vous disputez pas. »Claire voulait lui dire que ce n’était pas la crise des sept ans, c’était juste de la haine, mais elle ne savait pas comment l’exprimer. Théo n’avait que sept ans. Les rancunes des adultes ne devaient pas impliquer les enfants. Cela ne ferait que mettre de la pression sur l’enfant, lui faire développer une peur de la famille dès son plus jeune âge, créer des traumatismes psychologiques.Alors qu’elle cherchait les mots justes, une silhouette a soudain accouru au loin, suivie d’un cri d’enfant.« Maman ! »Quelqu’un s’est jeté dans ses bras.Claire était abasourdie. Avant qu’elle ne puisse réagir, Théo assis à côté a explosé. Il a tendu la main pour arracher de force l’enfant qui l’enlaçait par la taille.« C’est quoi ça ! »Le visage de Théo était rouge de colère. Il a crié d’une voix aiguë, « Lâche-la ! Pourquoi tu cries en serrant ma mère ? C’est ma maman ! Ma maman ! »L’enfa

« Maman ! »L’enfant a réalisé ce qui se passait et s’est précipité dehors, mais il a été retenu par un garde du corps qui montait la garde devant la chambre.Claire ne s’est pas retournée. Elle a dit d’un ton détaché, « Raccompagnez Monsieur Théo chez les Morel. »C’était là sa vraie maison....« Maman ! Maman ! »Théo criait en se débattant violemment, essayant de mordre les mains du garde du corps qui le tenait. À ce moment, une voix d’homme grave et autoritaire a résonné devant eux.« Théo !Les gestes de lutte de Théo se sont immédiatement arrêtés. Il a levé les yeux, les yeux rouges, fixant l’homme qui s’approchait. Il a dit d’une voix étranglée, « Papa. »« Rentre à la maison. » Gabriel a dit d’un ton détaché.« Mais... »« Rentre à la maison. »Gabriel n’a fait que répéter ces mots sans expression. L’enfant s’est tu et a laissé Thomas s’avancer pour le prendre dans ses bras et l’emmener dehors.« Ta main... »Gabriel a voulu s’approcher, mais deux gardes du corps

Il est entré dans la chambre.Théo lui tournait le dos, assis par terre, entouré de débris de maquettes éparpillés dans le désordre. Il y avait aussi une lanterne en forme de lotus décorée de petits animaux, déchirée en morceaux.Gabriel se souvenait.Les premiers jours d’école du petit neveu d’Omar, il semblait bien s’entendre avec Théo. Il lui avait même offert cette lanterne en forme de lotus avec des animaux dessinés... En y repensant maintenant, c’était très probablement Claire qui les avait dessinés, puis elle l’avait offerte à Théo.À l’époque, Théo l’avait beaucoup aimée. Il avait même cherché une boîte pour bien la ranger.Aujourd’hui, elle était déchirée et jetée.Il était vraiment bouleversé.Gabriel n’a pas consolé l’enfant malheureux. Il a tiré une chaise et s’est assis, regardant de haut l’enfant qui lui tournait le dos, l’expression impassible.« Tu as pleuré ? »« Non ! » L’enfant a immédiatement protesté, mais sa voix était étranglée.« Tu es très triste ? »